25/07/13

Le génome du genre

(...) Perrette là-dessus saute aussi, transportée.
Le lait tombe ; adieu veau, vache, cochon, couvée ;
La dame de ces biens, quittant d'un oeil marri
Sa fortune ainsi répandue,
Va s'excuser à son mari
En grand danger d'être battue.
Le récit en farce en fut fait ;
On l'appela le Pot au lait.
Quel esprit ne bat la campagne ?
Qui ne fait châteaux en Espagne ?
Picrochole, Pyrrhus, la Laitière, enfin tous,
Autant les sages que les fous ?
Chacun songe en veillant, il n'est rien de plus doux :
Une flatteuse erreur emporte alors nos âmes :
Tout le bien du monde est à nous,
Tous les honneurs, toutes les femmes.
Quand je suis seul, je fais au plus brave un défi ;
Je m'écarte, je vais détrôner le Sophi ;
On m'élit roi, mon peuple m'aime ;
Les diadèmes vont sur ma tête pleuvant :
Quelque accident fait-il que je rentre en moi-même ;
Je suis gros Jean comme devant.
Perrette et le pot au lait, Jean de La Fontaine, Extrait

Représentation tridimensionnelle de l'ADN - Acide Désoxyribo Nucléique[Ill. 1]

Mon ex-titre devient sous-fifre -Petite anecdote robotique- en voulant écrire en portugais le titre qui me venait spontanément, "No caminho do genero" /"sur le chemin du genre", la traductique* taquinée au passage me servit tout de go "marche de l'égalité" omettant la distinction des deux sexes... (petit avant-goût de l'annihilation sexuelle ?) - Où comment les mots à double sens finissent en non sens ou même régressions dans l'indifférence ?

Pour nous même, nous n'irons pas par quatre chemins : je suis de sexe féminin et n'appartient qu'à un seul genre, le genre humain, et pas à deux. Les femmes, dont je suis, ne sont pas réductibles à une catégorie sans sexe, et les petites filles encore moins car leur sexe est bien déterminé dès le premier moment de jonction des deux gamètes. La femme, réduite à une sorte d'eunuque (homme sans sexe mais pas sans sexe...), l'on connait déjà cette thèse bien expliquée en l'ouvrage de Simone de Beauvoir

Du temps où le sexe vu en producteur de génération, il s'appelait genre... Il revient se mordre la queue presque mille ans plus tard.
B. 1. Ca 1200 "sexe" (Dial. Grégoire, 144, 3, ibid. : ... nïent ke il despitoit lo genre [non quia aspernabatur sexum])[1] /"[pas parce qu'il méprisait le sexe]"
L'appellation des "études féministes" était des plus raisonnable. Pourquoi l'avoir virée pour "étude catégorielle", sous entendu du sexisme, n'est-ce pas là du sexisme déjà et encore ? Le "sexage", de même suffisamment particulier pour bien dire ce que voulu, s'est vu dans la foulée dégagé ; en place, voilà que genre est imposé. Le genre passe-partout, passe-muraille. Pourquoi adopter un mot tellement polysémique qu'en lisant les textes, l'on ne sait à quel sein se vouer, d'évidence inapte à servir d'outil conceptuel fin. Qui maitrise le processus d'invisibilisation des sexes ?

Dans la corbeille de pommes, il n'en est pas qu'une seule de talée  - Ou quiconque passe par là remarque que le terme "genre" n'est pas critiqué. Pourtant, le synonyme en est type. Ainsi, l'on devrait pouvoir dire aussi rapport de "type", stéréotype "de type", identité "de type" qui ne veulent pas dire grand chose dire et en fait la lutte contre le sexisme le maintient et s'étonne de patiner !

Alors que nous étions sur la voie d'équilibrer le rapport social des sexes jusqu'ici injuste. Le terme "discrimination" qui n'est qu'une fonction cognitive humaine, dont le suremploi se trouve également être fruit de l'américanisation du lexique, ou politisation américaine de l'intellectuel français qui se livre corps et âme à l'éventail lexical, sert aussi non pas à l'entente mais au conflit. Injustice sexiste, et non pas "de type", dit bien de quoi souffre le sexe féminin de millénaires d'emprise patriarcale généralisée. Pourquoi en rajouter ? Si ce n'est de fondre et confondre le sexe féminin dans la diversity, alors que majoritaire ? Le sexe les dérange, au lieu de dire égalité des sexes, l'on tergiverse, l'on élude. Et voilà que le Ministère de la Condition féminine ou de l'Egalité des sexes, devenu femmes-hommes (alors que la petite fille n'est cependant pas vaccinée contre le sexisme), diversity, égalité des chances et autres périphrases d'identity... Sexe féminin, gêne et horreur, que les mâles ne soient pas cités ?

Précisons donc aussi d'entrée que le féminisme n'a pas de sexe car cela n'a pas l'air évident ou cela est trop évident ? Le féminisme de tous les députés qui ont institué les lois d'égalité des sexes s'est inscrit en actes. Ils n'ont pas fait que dire, et l'on a pu parler plus avant ! Certainement prirent-ils conscience au travers de femmes combattives, de toujours il y en eût. Nos grand-mères... Femme, femelle adulte de l'espèce humaine lassée d'être seconde, secondant, ou secondaire.

L'histoire banale de comment les nanas se sont fait chourer l'idée intéressante du processus de stéréotype différentiel (valence) -démontrant les recoins du sexisme à leur égard-, et leur sexe à terme ?

De l'anglo-américain - Il est intéressant toujours de se pencher sur les relations qu'entretiennent les mots traduits. Ainsi, de "gender" politiquement adopté de l'anglo-américain, qui n'est pas celui de la grammaire française et ses deux catégories, genre féminin et masculin et leur génèse dans les "mixtures" linguistiques précédentes. Pourtant le glissement des sens à l'adoption de gender en français restreint le champ d'application de l'égalité entre les sexes, couverte dès la conception (gynécide des foeticides féminins en Asie) puis la naissance, alors que gender equality, des hommes et des femmes, exclut les enfants, comme si les petites filles n'étaient pas innombrables à subir le féminicide excisionnel* -double, viol féminicide et mutilation féminicide-, par exemple.
"Nous pouvons affirmer qu’à la différence de l’anglais, où gender renvoie à la différence culturelle homme-femme et sex désigne les seules différences biologiques des sexes, en français le terme genre est utilisé comme synonyme de sexe au point de pouvoir être remplacé dans le syntagme en question par entre les hommes et les femmes et/ou entre les sexes tout court. Cette confusion conceptuelle est plus rare en anglais, où l’expression equality between women and men est normalement utilisée de manière « fonctionnelle » (Bertaccini et alia, 2005 : 9), notamment dans les textes contraignants, où le contexte strictement juridique demande l’utilisation d’un lexique réticent aux mécanismes de remaniement du sens préalables à la néologie sémantique.

La première chose que l’on remarque lors de la traduction de gender en français, c’est donc la présence d’une « équivalence plurivoque » (Cosmai, 2007 : 149). Gender équivaut à la fois aux calques sémantiques « entre les hommes et les femmes »/ « entre les sexes », plus rarement au calque structural « genre », ainsi qu’à des formes dérivées de sexe, par exemple les adjectifs « sexiste » ou « sexuel », comme il est recommandé par la COGETERM en 2005.
Citation et tableau, Rachele Raus, Idiomes français à l'international : la traduction du terme gender et des syntagmes dérivés au parlement européen (2004-2009), Éla. Études de linguistique appliquée, 2011/4 (n°164), p. 491-501
https://www.cairn.info/revue-ela-2011-4-page-491.htm

Méfiance toujours devant les apparences - A propos des indications extérieures, principalement. Les différences imperceptibles directement à nos sens et nos mesures actuelles ne disent pas que tout en différence des sexes serait uniquement du domaine de l'acquis social et culturel entre les sexes et devrait empêcher l'égalité en droit.

Dans le "genre", le sexe toujours instrumentalisé. Adopté en anthropologie française, 
"...observation de la différence sexuée qui est au fondement de toute pensée, aussi bien traditionnelle que scientifiqueFrançoise Héritier, Une pensée en mouvement, Odile Jacob, 2009, p. 89

Il paraitrait que 

"Le tabou qui a entouré et continue à entourer le biologique dans le féminisme égalitariste a pourtant fini par imposer le recours à "genre"." Marie-Blanche Tahon, Corps, sexe et genre, Travail, Genre et Sociétés n° 10 – Novembre 2003, p. 202-207 https://www.cairn.info/revue-travail-genre-et-societes-2003-2-page-202.h

Par contre, restreint dans un premier cas, homme et femme au sens culturel, gender identity (John Money parlait bien déjà du total rôle socioculturel du sexe, celui-ci ne faisant pas qu'observer mais prétendant détruire et reconstruire) traduit également égalité des sexes parfois, et toujours plus souvent "identité de genre", à la place, ouvre champ libre à tout discours de sexe masculin s'autodéterminant en s'identifiant aux personnes de sexe féminin et à leurs droits, de protection sexospécifique, refuge, intimité, sécurité et autres.
  • Souvent ce qui est sous nos yeux passe inaperçu, comme, j'en suis sûre, personne ne remarqua La Fontaine évoquant le statut de crème à battre au moindre faux pas de celle qui trébuche ; perdue en imaginations rattrapée par la torgnole de son époux en droit de correction ? Personne ne s'offusque alors de ce que la trempe pleut, la morale ne se préoccupe que, et ses moralistes, de rêve debout et ses risques communs à tous et que donc la fermière n'en mérite pas châtiment...
Est-il remis en cause que la désobéissance féminine n'a pas à être corrigée, je n'en connais pas de fable à morale sur ce point crucial. Et celle-ci n'est pas lue à toute sa juste valeur.

D'autant plus rageant de voir que du droit punitif uxoral, jusqu'à l'uxoricide, l'on bascule à fausser tous décomptes grâce à la nouvelle appellation du sexage, le genre, le type donc : Le fermier, la tête chargée, pourrait se dire fermière, et fermez-là le ban ? Ce qui fait s'interroger sur ce nouveau stéréotype de lubie de prendre le sexe pour "espèce sexuelle". 
Un sac de noeuds ou un cul de sac, ou l'un dans l'autre.

Perrette, jeune femme l'on présume à son allure vive, a été constatée de sexe féminin et ne fût pas assignée à la naissance au genre féminin (inexistant au demeurant en tant que communauté, au titre de plus de moitié du genre humain qui lui existe effectivement), au contraire de ce que pourraient croire certains. Vous pourriez la prénommer Pierre, comme Marie le sont certains garçons ou d'autres Anne, cela n'y changerait rien. D'ailleurs, si son fermier de mari disparaît avant elle de guerre ou de maladie, celle-ci remplira y compris toutes les tâches dévolues socialement à son mâle époux. L'exception est si courante en la matière des rôles qu'il  ne peut pas s'y confirmer de règles diachroniques stables. 

Un objet qui se révèle totalement inutile et qui se fait un malin plaisir de se trouver sous votre pied gauche à chaque pas, devient une vraie peau de banane. 

Ainsi d'un processus qui fait catégorie. Un exemple ? Les rapports sociaux de sexe, processus imposé par certains sans discussion préalable possible prétendu de "genre" -initialement signifiant sorte, espèce, catégorie- Déjà, un premier noeud double. Le pack des stéréotypes sexuels -attachés à chacun des deux sexes- qui en découle, varie sous les cieux, baptisé "genre", au prétexte de les casser. Cela complique encore. On s'avance de travers. Le crabe n'est pas loin.

- Genre, catégorie (statique) subitement devenu processus (dynamique) au pluriel - Il n’y a qu’en grammaire qu’il existe deux catégories, soit genre masculin et féminin, non sexuelles, le neutre latin évaporé.

Le sexage n’est pas un genre et ne produit pas de catégories. Ainsi, les genres féminin et masculin n’ont rien de scientifiques puisqu’ils ont été prouvés invalides et inexistants par l'expérience décisive de John Money tendant à vouloir prouver à toute force ses "gender identity" et "roles", années cinquante profitant de l'aubaine d'un jumeau au pénis déjà mutilé d'une opération malheureuse de cautérisation de phimosis pour prouver à toute force la validité de sa théorie sexuelle.

Au pluriel et à la place d'égalité des sexes, cela parait plutôt débile ? Faible, veux-je dire, car ce serait dire égalité des catégories, en l'occurrence des deux ensembles de rôles masculins et féminins. En premier, cela l'est car, à ce moment-là, plutôt dire "plus de rôles sexués", plutôt que nier les sexes, et, en particulier, celui féminin qui souffre seul dans son coin du sexisme ? En second, catégorie n'est pas processus, même si elle en est issue, et cela fait abus de langage de les interchanger.

Le processus de sexage n'est pas une catégorie. 

La féminité, dont un glissement de langue ferait genre n'est pourtant pas constituée que de stéréotypes forgés de toutes pièces. La féminité n'est ni un genre, ni une espèce- C'est l'anglicisation qui permet l'abus de langage puis l'abus en actes. Plus un mot est polysémique et se module en morphologie, plus on lui fait dire ce que l'on veut, Ce type de termes devraient être banni du vocabulaire féministe, afin de viser à une communication facilitée et honnête. On a aussi l'exemple du "patriarcat" qui signifie le clergé orthodoxe (églises d'Orient) se trouve être en total porte à faux avec le patriarcat devenu à la mode de reproduction de classes, patronat, etc. Prêter à confusion amène à terme à des rejets.
MAJ 2022 - Pour cela, je propose de faire le mot "gynécité"* pour dire la part des attributions sociales sociales variables selon les appartenances de l'individu (aristocrate, guerrier, bourgeois, etc.), les populations et les époques. 

En outre, aurait on imaginé, concernant toute autre catégorie réelle ou "rêvée" de personnes (certaine restant hypothétique tant que n'étant que révélée sans preuve), d'en faire genre sur ce modèle ?

 -Après tout pourquoi pas, parlons d'autres groupes qui supportent des persécutions au sein de leur société- Ainsi pour ceux des Indiens émigrant du
Kerala devenus les Tziganes, pourrait-on imaginer un seul instant que le processus des rapports sociaux naissant entre eux et les autres devienne "un genre". 

Que de suite, on les nomme "genre tzigane" et "genre autre". Ou bien pour celle de basses castes indiennes, toujours les plus noires, les appeler "le genre noir", "le bas genre" ?

J'ai croisé la trame pour bien montrer que nuancer, préciser, et fignoler reste fondamental, ce que ne fait du tout cette débauche de genres.

Cependant et malgré que déjà chose dite et la partie jouée, nous allons remonter la généalogie du genre comme annoncé par le titre -Normalement, j'aurais du m'arrêter là, cela m'aurait épargné du boulot à calepiner-

Seriez-vous étonnées que l'on vous dise de suite que ni le sexe d'un enfant, ni d'un adulte, ne se choisit sur catalogue ? Décider de son sexe, soit refuser de voir celui que l'on a réellement entre les jambes (pour partie, ce n'en est pas toute l'expression), cela rime à quoi ? Pour dire sexe neutre à l'état-civil voudrait dire "je refuse de constater mon sexe" ou que quiconque d'adulte l'ait constaté, surtout ma mère la première à me reconnaître, la réalité, l'évidence...

Ce rejet s'appelle un trouble dysphorique, comme si l'on allait mettre les troubles dyslexiques en critère neutre. Rien de neutre à  l'horizon et cela ne s'améliore pas en inventant des catégories neutres insignifiantes, ou sursignifiantes. Faire entrer en droit les problèmes sexuels de certains au détriment des droits du sexe féminin, c'est à dire de toutes, voire la majorité de l'humanité ?


Sûrement pas. Et aussi ensuite l'âge ? L'âge neutre pour ceux qui ne veulent pas vieillir ou ne veulent pas grandir, ou veulent vieillir et veulent grandir plus vite que les autres parceque tout de même l'âge instrument de pouvoir basé sur la biologie... etc ? Et l'espèce neutre pour ne pas vexer mon chat ?

C'est pourtant à cette tâche confusionniste à laquelle semble s'être attelée poignée d'activistes d'abolition de toutes frontières, du sexe y compris, et de norme, en fait en les déplaçant, créant de nouvelles, mais en quoi cela pourrait-il détruire le "mâle establishment" ?

Au contraire, plus de limites, plus de bornes à son appétit. Droit atomisé, la protection des femmes et leurs enfants, de la veuve et l'orphelin foulés au pied avec, parfois, délectation, d'autres fois, inconscience.

A l'ombre du grand frère relativisme culturel, tout devient possible.

La philosophie identitariste religieuse, obsédée de "relativisme sexuel*" et social fondé sur la complémentarité
(discontinue totalement), délaierait-elle les limites sémantiques pour les inverser ?

Comme entre égalité et identité, entre sexe et genre, et au moyen d'alliances objectives incongrues, voudrait-elle imposer sa vision du bien par l'individualisation à outrance. Désirs, rêves et leur réalisation, sans souci de ce que seraient leurs conséquences sur un espace commun de droit général, qui doit tempérer le droit individuel ?


Mais voyons qu'est-ce que la trouvaille féministe de bon aloi du sexage* et ses antécédences, mutée en outil de casse des protections des spécificités des femmes et des enfants. A savoir que bien évidemment ce qui se dit pour des gallinacés à peine éclos, à qui attribué un sexe masculin au pif, ne vaut pas pour les hominidés (et en cas d'apparence trompeuse des parties génitales malformées) sauf pour la phase sociale après prise de connaissance du sexe de l’homo sapiens sapiens où l'on constate sans difficulté son sexe à la naissance (non ovipare) et même auparavant on le distingue au scan dès très tôt chez ce vivipare. 

Ce qui prouve encore concernant l'espèce humaine, le genre humain,  s'il était besoin, que le sexage ne fait pas le sexe mais le sexe fait le sexage.

Le sexe, combinaison de deux éléments, le X et le Y,  n'est pas "un genre", nous ne sommes pas faits en deux espèces sexuelles ou deux genres sexuels. 

Le sexe n’est pas une catégorie aléatoirement construite par des imaginations survoltées, et que l'on attribuerait arbitrairement. Ce n'est pas un sujet possible de détermination sans frontières. Le sexe reste  déterminant inamovible, individuel, réel et imprescriptible qui ne souffre aucun relativisme, sur lequel  le Droit est assis, et notamment les droits du sexe féminin et des enfants. L'effacer, le troubler, le confondre, c'est voler leurs droits aux fillettes et aux femmes. 
  • -Miss "Maisj'enrage" et "Tuenom"*- MM. Misgendering et Deadnaming 
Le couple gouverne Wikipedia, plateforme de sources avec leurs liens plus ou moins bien introduits, sans pitié. Selon le droit américain, donner civilité, sexe et prénom de naissance à un individu qui les récuse et se détermine "binairement" de l'autre côté -de sexe opposé-, ou inconnu -"la genre", est devenu un délit. 

L'avalanche de pages trucidées par des contributeurs aux ordres transinistes qui virent les vies d'avant devenant invisibles, montre la nocivité de briser le principe de non réroactivité du droit, que nous soulignons depuis 2012 sans écho. 

C'est donc que ce logiciel imprime au monde le droit jurisprudentiel américain et que les pages en français qui y figurent mises sous sa coupe intellectuelle et juridique, sans recours possible ?
 
Résultat de recherche d'images pour "confettis"
Confettis, arc en ciel de couleurs

Le sexe en confettis - Depuis quelques temps dans toutes les phrases, certains remplacent, à tort, "personnalité" par "identité", alors que cela n'a rien à voir. Ou plutôt pire, c'est une inversion métonymique qui confond et délaye. L'arnaque des mots court sur le chemin et de transformer le jus de fruit en lait, c'est comme l'histoire de l'eau en vin ?

On n'a tout de même pas à risquer notre vie car certains idéosociologistes et philosophistes auraient décidé d'annuler notre sexe féminin. A peine les lauriers gagnés des droits à l'égalité et à la sûreté propre et spécifique à notre sexe et pas à autre chose, que d'aucuns tiennent à tout bousiller ? Etre groupie de M. Wittig ou de J. Butler qui croyait en l'interchangeabilité du sexe et du genre vaut-il bien la peine d'y perdre la vie, allant en urgence à l'hôpital, de taire son sexe féminin (non étalon) sur lequel certains produits n'agiront pas ou mal pouvant vous valoir de risquer la mort ? Plus même la peine de recourir aux urgences, restez chez vous ! Une sorte de suicide mais bon chacun son chemin ?

Le féminisme ne pourra jamais se satisfaire de l'instrumentalisation et manipulation à des fins politiques de personnes en difficulté ou de jeunes personnes influençables lorsque les hormones grondent pour la puberté...


Fini le temps des marionnettes. La sortie de tutelle du sexe féminin de sous le masculin dispensant auparavant permission et ordres date du XXe, et encore qu'une partie du siècle. Il est bien compréhensible que la société mette quelques générations à s'y ajuster et à parfaire la porte claquée. Tout reste important pour qu'elle reste fermée à jamais mais aussi pour l'humanité entière. Nous ne sommes pas claquemurés sur une île.

Tout concept, soit-il de sciences (dites dures, exactes) ou 
de sciences (dites molles, exactes aussi) -les premières seraient donc débandées d'emblée ?- devrait être soumis à l'esprit critique le plus impérieux.

Le mot accolé au concept doit être mis sur la sellette. Surtout lorsque l'on voit qu'il facilite maintes dérives destructrices du sexe féminin, prenant le train du concept de construction sociale irréfutable. Qui nierait que les représentations sociales en sont issues et pour grand nombre sont liés au sexe de l'individu ? Et alors ?

D'autant qu'incrédule de naissance, je suis restée les yeux écarquillés de voir que certains utilisent le mot "genre" pour dire "égalité des sexes", ce qui est pour le moins curieux puisque le sexage* au contraire fait toujours inégalité de droits surtout contre les seules filles... Sexage ce ne sera pas que pour les poussins ou les veaux ):z (proposition d'émoticon du veau qui mâche) - On propose avant de disposer.

Sexage n'est pas sexe, et l'on voit de suite mieux le paysage. Pas de dérapage homonymique. Alors que genre (sexuel social, soit stéréotypie) brouillon, de suite, l'abus de langage se glisse, le processus fait catégories, comme déjà détecté plus haut. Plus personne ne sait plus y retrouver veaux, vaches, poussins, cochons.

Le sexage n'est pas synonyme du "genre" - Jusqu'ici le sexage n'était pas égalitaire en assignations sociales mais ne niait jamais le sexe, alors  que le "genre" idéologique se prétendrait l'être  plus en niant les sexes, donc le sexe féminin, et le cannibalisant ? Il n'y a donc plus aucune bonne raison de garder ce barbarisme angliciste dans le vocabulaire officiel en préambule d'une écriture inclusiviste servant le transgenrisme prétendus féministes, puisqu'on lui a trouvé un remplaçant qui ne simule pas, ledit sexage (MAJ et l'acolyte gynécité*

Le poids de Money, qui avait cru avoir trouvé le Pérou avec son césar compacté en genre (gender identity and roles) convainquit des féministes radicales, d'autant qu'inspiré de sa professeur, le tire vers la vase du fond. Troubler le sexe par le genre a le résultat calamiteux que l'on sait. Déjà ce qu'en ce nom il infligea aux jumeaux était là pour mettre la puce à l'oreille puisqu'il y prouva que son identité de genre et ses rôles de genre, ses inventions, n'étaient pas constructibles même avec castrations bardées d'éducation orientée, donc inexistantes.

Certains travaillent d'arrache pied à noyer les responsabilités du système (anthropologique) patriarcal et à brouiller les pistes historiques, et scientifiques en premier. Qui pourrait ne pas voir que les bigoteries des identity politics sont aux premières loges de la manoeuvre dilatoire de genrer et enrôler ? 

Des universitaires bien en chaire, et de tous bords surtout du bout, ne supportent pas la critique de ce terme caméléon, tronqué (la queue des lézards repoussent toujours), que nous sommes un certain nombre à trouver inadéquat par manque de finesse, de précision et de rigueur ; et, par absence de féminisme au fond. Puisque tout le monde finit victimisé au moyen du mot passe partout- Portant, de victimisé à victime, il y a un bien grand pas. Nombre de victimes sans se nier ne se victimisent pas.

Pourtant, il suffit d'être critique du verbe patrilectal pour se demander comment le féminisme pourrait l'adopter, alors que déjà l'étymologie en reste d'une lourdeur inusitée d'épais rideau qui cache tout ce que seules les filles subissent de féminicide

 illustrant le génome humain incolore :
http://ddc.arte.tv/cartes/163

Histoire d'en rire - Petit marcheur (Les femmes ont le mollet fragile) ? Tout erectus était-il chauve ?) Cette frise qui défrise certaines d'entre nous, pas toutes bien sur, indique que les hommes représentent les femmes -pourquoi pas parfois- et c'est ainsi par delà le temps sans limite... jusqu'à même finir par imposer que l'homme est une femme ? Pourtant, à y mieux regarder, pour quelle raison la critique surgirait que ce serait plus typiquement un mâle de l’espèce humaine, alors qu’il s’agit d’une glabre icône d’un bipède asexué de l’espèce humaine ?

Après ce détour par le Rift, reveno
ns à l'actualité que désormais tout le monde pêle-mêle et à sa manière défend "son" genre hors sol, hors sexe. Il est bien temps d'en tenter l'ontogénèse... qui nous ramène aux lointaines brumes où un seul, l'unique père des dieux et des hommes, à l'origine du tout au tout pour les Grecs du VIIIème siècle env. avant notre ère. Où, en tout cas, la racine partie de ce pied-là n'a rien de féministe dans son rayon : 

"Le genos est avant tout un ensemble de familles qui prétendent toutes descendre en ligne masculine d'un ancêtre commun...", p. 51, Emile Mireaux, La vie quotidienne au temps d'Homère, Librairie Hachette, Paris, 1954 
Déjà l'on y voit poindre les lignées royales de grands ancêtres de souffle divin... genre pas de gauche du tout... Il vaudrait mieux ne pas le rendre populaire -au sens noble- juste par réaction à l'attaque droitière... Monsieur Sans Gêne, le clan patrilinéaire ou matrilinéaire (peu importe finalement) patriarcal parle donc tout d'abord de naissance d'un mâle premier, de son "patrilignage (genià)".  http://halshs.archives-ouvertes.fr/docs/00/35/29/76/PDF/Couroucli_2003_GENOS_Ateliers.pdf

Au Mâle, la force productrice, l'ingéniosité, voire le génie, le surplus aux assistantes ? Dont l''illustration en continue jusqu'aux mères d'intention ou d'intérêt (cf. proxénétisme gestatif*) dont l'enfantement restent réservé à toute mais point d'engendrement (genos inside) qui reste toujours dans le giron viril. Le gendre en est bon atout et la belle fille à tout faire qui est d'enfanter.

http://projetbabel.org/mots/index.php?p=gens

Une étymologie "prédictive", performative, visionnaire de ce que le genre en train de faire aux esprits délités - Où l'on verra que s'obstiner à user de ses ramifications p
ar son ambiguïté à peine dissimulée va simplement continuer à cacher, ignorer et annuler le sexe féminin, surtout lorsque utilisé en catégorie de l'ensemble des obligations et privilèges liés à un sexe ou à l'autre. Le sexisme y disparaît, paraissant tout atténué, pas bien grave... 

Il n'y a donc hors langue, et grammaire, pas de genre féminin, puisque le genos, le génie du genre ne tient compte que du gendre et pas de ma grand mère. Même si l'on convenait de dire que genre est sexuel et plus qu'espèce, il ne reste que mâle, nous nous heurtons à une impossibilité, nous n'en pourrons pas changer la racine empoisonnée ! Vous reprendrez bien un peu de manioc. http://base.d-p-h.info/fr/fiches/premierdph/fiche-premierdph-2767.html 


En pratique donc comme en théorie et tout de go, je refuserais de faire simili caractères avec le sexe masculin ;o) me sentant, ressentant, analysant, vivant dans mon sexe. Que je ne prends pas non plus pour une patère identitaire, bien que j'y tienne et m'y accroche... Je n'appartiens ni à la gent masculine, ni au genre masculin (surtout qu'il n'y en a pas, sauf en grammaire), et surtout pas au genre féminin (étant plus que virgule). Pour autant, je n'en suis nullement essentialiste, au contraire, je vous rassure également.
"A.  Langue abstraite et cultivée; langage technique. Ensemble d'êtres ou d'objets ayant la même origine ou liés par la similitude d'un ou de plusieurs caractères." http://www.cnrtl.fr/definition/genre
Ne serait-il donc pas plus efficace, et moins dangereux, pour le féminisme d'utiliser un terme moins patriarcalement connoté ? Et, comme vous allez le voir par ses dessous, ci-dessous, moins ambigu et générateur de conflits et de malentendu -ça rend sourd-, d'opportunisme et de querelles ? Un néologisme à sa place nous aérerait, à moins de s'en tenir à ce que nous possédons en propre. Pour défendre ce barbarisme angliciste, certains feraient allusion à l'ambiguïté historique du négatif "féminisme" à sa naissance. Ce qui ne cesse de montrer qu'aucun terme n'échappe à sa naissance au contexte patriarcal d'émission de l'androlecte ou du patrilecte mais ne légitime pas cependant la validité de s'agripper au genre (sexuel). Un poil d'ethnolinguistique ne nous fera pas grand mal (j'ai bien dit un poil, rien d'académique).

Tout n'est pas égal par ailleurs - Entre ce mot qui retrace l'origine de l'individu uniquement de consistance d'une ligne masculine, niant donc l'existence de contribution féminine et maternelle, et un autre qui, au moins part de la racine de notre appellation de femme (feo), la gradation parait favorable au second (féminisme), qui de plus a depuis gagné ses lettres de noblesse à arracher droits de vote, de chèque, de circuler, d'étudier... Alors que l'on se demande en quoi le premier (genre) aurait prouvé sa bonté pour les tenantes du sexe féminin. "Délétère", diluant le féminisme en mise à plat, en mise à bas. http://salondandree.blogspot.ca/2014/06/entrez-entrez.html
"Quand le queer s'entiche du genre" ? (cf. Sheila Jeffreys)
En tout cas, il reste utile de savoir d'où émerge et qui le mit à la mode en psychologie avant que l'organisation des Nations Unies et des féministes américaines décident d'imposer le terme égalité des genres en développement, à la place d'égalité des sexes. Comme si l'égalité des sexes en Droit gênait quelqu'un ? Cui bono...
"La théorie du genre a toujours été queer. La drag queen est la figure iconique d'un certain féminisme. http://next.liberation.fr/sexe/2013/04/29/la-theorie-du-genre-a-toujours-ete-queer_899849
Certain féminisme dont il vaudrait mieux dire "féminisme incertain"* ? Celui grâce auquel la manie de remplacer "féministes" par "genre [sexuel social] envahit nos universités, pour faire branchées ?

Cet anglicisme venu de "gender" peut raisonnablement être précédé de l'article "de" et il serait utile si de suite, il n'avait pas été également accolé à "des", ce qui nous met doublement dans la panade, on ne peut plus employer ce terme-là barbarisme qui roule pour le masculinisme. Repeat after me again and again, Mr. Money, il n'y a pas de genre féminin et les filles ne sont pas un genre. 

Les stéréotypes sexistes de discrimination négative envers le sexe féminin et le processus d'attribution de ces préjugés aux fillettes femmes ne peuvent et ne doivent surtout pas être regroupés sous le terme des gender roles de J. C. Money. Pourtant, cela pousse fort pour le faire admettre au pinacle :( même chez des féministes générocritiques mais pas trop -histoire de ne pas trop déranger les éditoriaux politiques et leurs agendas- ? 

Effacer les termes "féministe" et "sexisme", que d'ambition ! Et le transinimse rejette "femme" et "mère", et voilà le parent indifférencié dans l'arène... Ouste les femmes. Ex. Etudes féministes, qui était tout à fait compréhensible remplacé au forcing, sans nulle concertation et sans avis scientifique, tout comme sexes et égalité des sexes maquillé en égalité des genres même à l'ONU Femmes, devenu "études de genre"...

> Il faudrait mieux en faire "études du sexisme", si études féministes vous heurtent.


L'identitarisme s'accapare tout et toutes. Encore étude en sexage, cela signifierait mieux. Mais le pire est que l'on ne sait de quel concile et comment la nomologie scientifique fonctionne ; en tout cas, l'on ne peut que constater que, sans aucune concertation, certains ont basculé "féministe" de bon augure en "gender" glissant comme une anguille.
  • Ce qui va beaucoup plus loin que la simplicité scientifique du rasoir d'Okham - Simplicité ne peut pas être réductionnisme et révisionnisme biologique !
Ce qui permet de réduire la complexité d'une personne de sexe féminin à une identité que l'on peut confisquer ? Et en toute contradiction, on dit que le sexe (dilué ou double) n'y serait pour vraiment rien puisque c'est le genre sexuel social du sexage que l'on dépasse et transcende mais il faudrait tout de même l'annihiler par castrations chimiques et physiques ?! La castration favorisée par ce réductionnisme étale grassement :

- une négation de la biologie,
- la croyance toute puissante créatrice humaine (par peur de son insignifiance ?) et
- la croyance en la bisexualité spiritiste que l'on biseaute au scalpel :(
  • Les chevaliers des genres - Un homme, aussi bien et joliment vêtu (talons, coiffure, bas, maquillage) ou travesti soit-il, représenterait les droits des femmes à l'égalité ? Il est permis d'en douter. Tout comme s'habiller en homme serait une marque d'homosexualité, ou en femme... 
Römer Willy Josef Meißauer devant sa boutique à Mühldorf am Inn Après 1910.
Sur la base du rapport de Magnus Hirschfeld (1868-1935), intitulé Les travestis, la préfecture de police autorise aux hommes le port de vêtements féminins. https://www.photo.rmn.fr/archive/18-500702-2C6NU0AKHMLZV.html
"Rendre visible. Aux origines de la sexologieMAJ Damien Delille, « Trans-archive. Magnus Hirschfeld et l’atlas visuel des sexualités de l’entre-deux-guerres », Genre & Histoire, 23 | Printemps 2019  https://journals.openedition.org/genrehistoire/4215
Le libéralisme prétendrait devenir féministe et lutter à coups du sacro-saint genre contre les préjugés sur la sexualité, généraleme1899 à 1923nt masculine ? Que de complications pour pas grand chose - Sur les passeports, l'administration inscrit un sexe (jamais un genre, puisque de genre biologique, que nenni) - Les pays qui soudainement inscrivent un troisième sexe se créent du boulot pour rien, puisque de sexe neutre, il n'y eût, et n'y aura. Il fallait juste pouvoir dire, les deux, pour les cas peu communs d'hermaphroditisme, dont il est à la mode de dire le plus technocratique "intersexuation". A moins que ce ne soit pour fragiliser plusieurs principes des droits nationaux qui les gênent dans leurs avancées transmondialistes*, les frontières entravent le commerce ?

Deux cases, aucun besoin d'une troisième, le strict nécessaire déjà présent - De suite pour écarter tout embarras civil en matière d'hermaphroditisme, il n'y a nulle contre indication si le souhait était général de cocher les deux cas de sexe à l'état-civile. Pourquoi compliquer les choses simples et que franchement se peut dire désormais ?
1899 à 1923 - 
(...) Hirschfeld reprend à son compte la théorie du « troisième sexe » développée par Karl Heinrich Ulrichs. Il avance l'idée de stades « intermédiaires sexuels » (en allemand, sexuelle Zwischenstufen) : une échelle allant, indépendamment du sexe biologique, de la masculinité à la féminité. L'homosexualité, considérée comme innée et comme une question, alors, d'ordre médical, ne pouvait être pénalement répréhensible.

"Les positions de Hirschfeld ne font pas l'unanimité au sein du comité et des conflits apparaissent rapidement. Certains, comme Benedict Friedlaender (en), désapprouvent la comparaison que Hirschfeld fait entre homosexuels et handicapés. Ils estiment également que les « uraniens » ne sont pas nécessairement féminins. En 1903, une scission a lieu et certains, avec Adolf Brand, créent la Gemeinschaft der Eigenen (GdE) ou « communauté de l'unique » (à comprendre comme « communauté des gens singuliers »).

Il fonde aussi en 1918 l'Institut de recherche sexuelle à Berlin, qui fut la cible des nazis, où ils firent les premiers autodafés avec l'importante bibliothèque qui s'y trouvait. Ses écrits, conférences et ouvrages ont été d'une importance capitale pour la « révolution sexuelle » qui s'annonça au XXe siècle et ont eu une influence déterminante sur les travaux des scientifiques et chercheurs pionniers de la sexualité Wilhelm Reich et Alfred Kinsey." 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Magnus_Hirschfeld
Genrification mondiale - Nous reviendrons plus bas sur l'échelle "sexuelle Zwischenstufe" qui a débouché sur une genrification d'Etat, d'administrations et des réseaux sociaux et autres platfeormes numériques. 
  • 1990 - Genre "queer theory" à la croisée. cf. Maxime Cervulle, Françoise Duroux, Lise Gaignard, Teresa de Lauretis et la politique des différences, "À plusieurs voix" autour de Teresa de Lauretis, Théorie queer et cultures populaires, de Foucault à Cronenberg, Mouvements, La Découverte, 2009/1 (n° 57), https://www.cairn.info/revue-mouvements-2009-1-page-138.htm
  • Départager judicieusement entre stéréotypes
Juste en passant et alors que nous ne cessons de l'écrire partout depuis des années, je mets à jour que l'on doit écrire tout simplement "stéréotypes de sexe" ou sexiste (on le sait désormais que la politique générée jusqu'ici par le système anthropologique patriarcal ne savait pas fonctionner sans cela) ; Il y a bien deux sexes en tout et pour tout, et le sexe peut désigner une catégorie de personne car ce n'est pas un processus, et cela fonctionne de toute façon pareillement avec cent sexes ; Le genre sexuel ne le pouvant pas plus en langue s'en acquitter. Ainsi, les utilisations fantaisistes à l'égal de "genre masculin" portées par des locuteurs confondant un phénomène grammatical avec un processus social font confusion ou abus d'usage de langage,
"Encart terminologique - Nous utilisons la notion de « stéréotype de sexe » et non celle de « stéréotype de genre ». En effet, les stéréotypes attribuent des caractéristiques à des personnes catégorisées selon un critère particulier, ici le sexe. Le genre en tant que « système de normes hiérarchisé et hiérarchisant de masculinité/féminité » ne désigne pas des catégories de personnes. « Stéréotype de genre » est donc un abus d’usage.p. 10 du rapport du 20 octobre 2014 http://www.haut-conseil-egalite.gouv.fr/IMG/pdf/rapport_hce-2014-1020-ster-013.pdf
Ainsi fût construit le concept de race, de même l'idéologie queeriste aborde le genre queer, allant au gré des marées de la féminité outrancière à la masculinité, dit l'éventail de genres qui va trouver son plafond mais pour lors les catégories s'enchevêtrent, chacun se case.

Barbarisme anglais "de genre" placé subrepticement en place de "féministe" ! Alors que dans le sens de construction sociale, il concerne tant les hommes que les femmes et, somme toute, nie notre subordination systémique depuis toujours, enfin ébréchée durablement par les lois féministes établies du milieu du XXe.

En sus de sa première émission vers 1955 et des peu reluisants "gender roles" (du domaine de la psychologie comportementaliste de J. Money (1963) -ledit connu en héritier de A. Kinsey et salué de la médaille M. Hirschfeld, puis suivi de la psychanalyse de J. Stoller & alii comme nous l'allons voir d'un pas alerte ci-bas-)


Surtout que donc nous venons de voir qu'il n'y a pas deux genres, il n'y a pas des genres ! Tentative ultra individualiste de faire de chaque individu un genre, une espèce en soi, qui dérape et trappe l'homonculus. Si vous souhaitez vous servir du "terme savonnette"*, genre, il s'agit de savoir d'un processus de sexage et non pas de catégories- Mettre genres au pluriel reste un abus de langage, il est temps de vérifier de près vos notions du cru...

Un gros coin dans la sécurité - Et on en voit l'illustration revendicative de mixité du petit coin par le transinisme qui en fait un point d'honneur... 
Tout le monde oublie donc que ménager de l'intimité au sexe féminin, des toilettes publiques selon le sexe ait été le résultat d'une raison de sécurité très évidente de protéger les femmes. Trouver des inconnus dans ses jambes étant forcément inconfortable pour majorité d'entre nous, beaucoup moins pénible lorsqu'il s'agit d'une personne de même sexe, même si exceptionnellement, l'on s'en accommode toujours crispée. Quant au sexage (distribution de rôles sociaux selon le sexe) il ne forme pas de genre grammatical, ce confusionnisme ne profite pas au Droit du sexe féminin, jeune ou vieux.
voir note 14 Dreger, Alice Domurat, Hermaphrodites and the Medical Invention of Sex (Cambridge, Massachusetts: Harvard University Press, 1998), pp. 158-59; Gherovici, Patricia, Please Select Your Gender: From the Invention of Hysteria to the Democratizing of Transgenderism (New York: Routledge, 2010), p. 31; Reis, Elizabeth, Bodies in Doubt: An American History of Intersex (Baltimore, Maryland: Johns Hopkins University Press, 2009), p. 99 cité par http://spooksrus.tripod.com/circle/tranhist-timeline.html 
Alors qu'en 1907/1908, signifiant rapport entre les sexes, "transsexual love" (littéralement hétérosexuel)  avec l'autre sexe, signifiant du désir de mixité sociale et de liberté sexuelle féminine - Concernant l'article critique de "Une fille qui voyageait seule", quant au harcèlement d'une femme sortant sans chaperon, non escortée. 
  • 1952 - Thèse soutenue par John William Money en vue du Doctorat de Philosophie des relations sociales de l'Université d'Harvard - mots clés Intersexualité - Aspects sociaux - Identité de genre 
Le terme transsexualisme passe dans l'escarcelle de transgenrisme, histoire de rendre scientifique la chirurgie faiseuse de genre [sexuel socio culturel], ou de sexage, selon ce dernier terme par nous privilégié... 1923, Hirschfeld émet 'seelischer transsexualismus' (transsexualisme psychique) dans l'article ‘Die intersexuelle konstitution’
"1965, États-Unis : Le mot "transgenre" est utilisé pour la première fois dans un texte médical du Dr John F. Oliven, où il l'utilise pour désigner le transsexualisme.* Il prend un sens tout à fait différent et est popularisé par Virginia Prince (1913-2009). dans les années 1970. Prince prétend avoir inventé le mot elle-même et l'utilise pour définir les personnes qui vivent à plein temps dans le sexe de leur choix, sans nécessairement avoir subi, ni même vouloir subir, une opération de confirmation de sexe. La différence de sens entre l'utilisation de ce mot par Oliven et Prince crée encore aujourd'hui du mécontentement et des divisions dans certaines sections de la communauté trans." Oliven JF, Sexual hygiene and pathology: a manual for the physician and the professions, Philadelphia: Lippincott, 1965, p. 514

1973 - Athéorisme DSM - Le collectif de psychiatres américains (pondant leur manuel des troubles mentaux, probablement très imprégnés de psychanalyse, on y sent les pattes de Benjamin et Stoller)  parti sur sa bonne lancée de refuser le diagnostic psychiatrique de sexualité homosexuelle sous la pression de l'opinion ; plus de consultations pour homosexualité, moins de patientèle.

"Pour notre part, en regard de notre expérience clinique, nous nous focaliserons surtout sur les troubles sexuels et les troubles de l’identité de genre Sexual and Gender Identity Disorders. Il semble que le terme…, plus précisément sur lesdites « paraphilies », soit littéralement les « manières d’aimer à côté », troubles cliniques que l’on range sur l’axe I du DSM (...) Ce néologisme, empruntant à la Grèce et à la noblesse de l’Antiquité une sorte de sonorité savante et légitimatrice, relève d’un aveu terminologique : à travers l’usage de ce nouveau signifiant se donne à entendre la manœuvre d’exclusion du terme « perversion », péjoratif et soi-disant moralement connoté (comme si les classes du DSM ne l’étaient pas…).' (...) "En matière de psychiatrie, le trompe-l’œil a trouvé son bréviaire dans le DSM-IV. En principe, apolitique et athéorique – en tout cas ascientifique – le DSM n’avait à ses débuts que l’ambition modeste d’offrir aux psychiatres du monde entier un outil de communication. Mais d’a-théorique cet inventaire est devenu carrément anti-conceptuel, en même temps qu’au fil d’un silencieux coup de force il se muait, de manuel de conversation clinique, en répertoire mondial obligé des écarts à la norme (disorders). Dans le mode d’emploi actuel du DSM, penser n’est qu’une variable parasite faisant perdre du temps à l’évaluateur. À l’heure du coaching, diagnostiquer, c’est cocher. Il s’ensuit que tout clinicien qui veut travailler correctement sans pour autant risquer sa carrière, se voit obligé de traduire ses dossiers en CIM-10 (…) invoquant F60.4 (…) au grand jour."" Christophe Adam, Jalons pour une théorie critique du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM), Déviance et Société, 2012/2 (Vol. 36), p. 137-169. https://www.cairn.info/revue-deviance-et-societe-2012-2-page-137.htm

Par ce défaut de réflexion fondamentale, APA repart en roue libre dans tous les sens : tout ce qui relève du sexe et de la sexualité, paraphilique (histoire d'affection, plus de sexe), devient affectueux sauf que ses nouvelles créations identitaro-genristes entrainent l'inverse, puisque abouti au 5 à adopter l'idée que les personnes troublées qui ne veulent pas de leur sexe principalement car elles refusent les stéréotypes sociaux qui y sont variablement attachés doivent être accompagnées louablement dans leur intoxication aux hormones et mutilations sexuelles qui les entretiendront dans l'illusion du changement de sexe... 

"Sexual and Gender Identity Disorders. Il semble que le terme "genre" remplace celui de "sexuel" sans que cette opération n’ait fait l’objet, à notre connaissance, d’une discussion."

  • Binarité conflictuelle activée  - Créer deux camps d'affrontement - Responsables et coupables
de toutes les discriminations et de tous les harcèlements, cisgenres par opposition aux transgenres. Selon site de publicité transactiviste, l'on voit l'émergence identitariste inspirée de John Money (gender identity) marié à Charles Taylor

En 1975 déjà les hommes s'autodéterminant transsexuels prétendent être des lesbiennes... et que les lesbiennes n'ont pas compris. cf  Margo, An editorial by a transsexual lesbian, addressing the issues and misconceptions about trans lesbian identity. Originally published on pages 6 and 7 of volume 2 number 35 of Gay Community News https://www.digitaltransgenderarchive.net/files/r207tp58j

An editorial by a transsexual lesbian, addressing the issues and misconceptions about trans lesbian identity. Originally published on pages 6 and 7 of volume 2 number 35 of Gay Community News https://www.digitaltransgenderarchive.net/files/r207tp58j
  • 1979, George William Christine Jorgensen rejette transsexuel
Etre une femme dans un corps d'homme, selon ses propres termes, est imposé à l'entourage :  il s'agit donc d'une croyance personnelle devant laquelle la société doit se plier. Si le nombre en augmente, et s'organise, cela ressemblera à un mouvement religieux.
"commence à prendre de sa propre initiative une hormone féminine, l'éthinylestradiolhttps://fr.wikipedia.org/wiki/Christine_Jorgensen
" le genre n'a rien à voir avec votre partenaire mais avec votre identité"
"gender doesn't have to do with the bed partners, it has to do with identity
Importation en cours : 854528 octets sur 854528 importés.

1952 - Tapage médiatique - La célébrité - L'opinion publique frappée par sa plastique, facilitant l'identitarisation en marche...  
"ce genre d'opération avait déjà été pratiqué par des médecins allemands, pionniers en la matière, à la fin des années 1920 et au début des années 1930. L'artiste danoise Lili Elbe et "Dorchen", toutes deux patientes du Dr Magnus Hirschfeld à l'Institut des sciences sexuelles de Berlin, avaient déjà bénéficié d'une telle opération en 1930-31 "...les cliniciens danois de Jorgensen, les Drs Christian Hamburger, Georg Stürup et Dahl-Iversen ont écrit pour le Journal of the American Medical Association en 1953." Les spécialistes danois Preben Hertoft et Thorkil Sørensen qui ont étudié les dossiers médicaux et interrogé le Dr Georg Stürup, un psychiatre, affirment que "l'intention première de l'équipe médicale n'était pas de changer un homme en une femme, mais d'aider un homme qui souffrait de ses pulsions homosexuelles" 
- Décès en 1989 à "62 ans d'un cancer de la vessie et des poumons" https://fr.wikipedia.org/wiki/Christine_Jorgensen
1984, "Communauté transgenre", utilisation en terme-parapluie, palier identitaire supplémentaire

1992
, Conférence internationale, "transgenre" déploie le parapluie sous lequel "transsexuels, transgenderistes, cross dressing" et quiconque "transitionne". La transition, ou conversion, consiste en castrations chimiques et chirurgicales - La médicalisation sexuelle continue commencée avec Freud à Vienne (ablation de Sa prostate) et avec Hirschfeld de Berlin sautant en Afrique du Nord, enjambant l'océan avec Benjamin pour se rejoindre chez Burrou.

On retrouve le parapluie rouge correspondant chez Strass, transactiviste, qui prétend réglementer la prostitution contre l'abolitionnisme du proxénétisme.

Un blog 
transéducatif* prétend dater "transgenre" de 1978. L'on sait, en tout cas, que transvestiten vient de Tante Magnésie, alias Magnus Hirschfeld, publiant en 1910, Die transvestiten, le même terme de l'acronyme de son association STAR (Transvestite) de Sylvia Rae Rivera de Stonewall. Ainsi que trans sexualismus, vu plus haut.

Que le "gender confirming" aboutisse à l'hormonalisation et la chirurgie, ou reste telle quelle, c'est-à-dire sans actes invasifs, uniquement de travestissement comme avant les expérimentations uranistes-, l'exigence à terme reste toujours d'obliger les règlements à changer le sexe d'un citoyen (sur la base juridique de ce qui fût posé de la conception utilitaire du sexe féminin par des juges (Neufchâtel et aux EUA) - Louable de ne pas mutiler mais le risque prend quelque ampleur pour la sécurité du sexe féminin, à lire les verbatims délictueux et criminels qui s'allongent contre des femmes, hétérosexuelles ou lesbiennes. 

Où il est bien question de croyance : être une femme, ce qui est être de sexe féminin n'est manifestement pas un genre, une espèce. Faire espèce féminine ne fait qu'essentialisation destructrice de la réalité scientifique. 

Dès qu'un terme se déploie sa critique vient a contrario. La première niait jusqu'à la catégorie biologique, le versant du sexe leur paraissant uniquement social. C'est bien cet autre propos générocritique, qui croyait s'attaquer au déterminisme social, en vain puisqu'il va pourtant permettre l'épanouissement du trangenrisme* transexuel queeristique*, qui marque le plus cruellement certaines lesbiennes en chair de l'aspiration à la neutralité -de négation du dimorphisme sexuel humain et de leur propre sexe de naissance, qui n'est pas social mais biologique, chromosomiquement parlant-

Lorsque, assez vite dès la tentative d'imposer "le genre" (sexuel) en catégorie, la générocritique* naissait sous sa première forme, malheureusement niant le sexe féminin et à terme il deviendra impossible de protéger le sexe qui aime du même sexe, le lesbianisme, la lesbianité et les lesbiennes donc, ou comment creuser sa propre tombe après s'être tirée une balle dans le pied...
"Comme Wittig, Mary Daly dénonce le terme 'genre', en illustrant son manque de précision et de force pour contester les catégories : est-ce que Simone de Beauvoir aurait pu intituler son livre Le Deuxième genre ? (Daly, 1998 : 135)" Kate Robin, Au-delà du sexe : le projet utopique de Monique Wittig - Beyond Sex: The Utopian Project of Monique Wittig p. 71-97, Journal des anthropologues 124-125 | 2011 : Les rapports de sexe sont-ils solubles dans le genre ? https://jda.revues.org/527
Non elle ne l'aurait pu et d'ailleurs n'en avait nul besoin, c'est donc que l'inutilité en est patente pour commencer. Parmi les travaux de femmes  enterrés par le queerisme genriste - La critique de la dissociation et son influence néfaste en féminisme . cf.  Dossier  Critique de la valeur, genre et dominations : Roswitha Scholz et la " dissociation-valeur ", 21 Mars 2010 http://www.palim-psao.fr/article-dossier-critique-de-la-valeur-genre-et-dominations-47134207.html
Et qu'il le soit ou pas, aux deux bouts trônent les deux sexes. Il y a peut être une erreur à contester la catégorie biologique de sexe car la catégorie biologique n'est pas fautive, mais bien ses conséquences modales selon les ethnies ? On voit bien que cette obsession du neutre, de l'androgynie et de l'hermaphrodisme, qui ferait unique catégorie, ou mille et une en spectrum et fluidité, en déboulonnant toute autre se trouve mise en oeuvre par le "queer gender" et ses acolytes offrant à l'industrie plastique* des bourses d'or (*chirurgie cosmétique et laboratoires de stéroïdes synthétiques)- Elles peuvent y croire, pénétrées de la croyance androgyne de leurs pères honnis mais on a le droit de générocritiquer les deux positions qui aboutissent à laisser ou faire se mutiler des jeunes femmes pour ressembler à la dominance virile...

Comme si le sexe biologique féminin qu'ils s'attribuent ne mériterait pas débat public et participation de toute la citoyenneté ? Cinquante ans plus tard, des féministes commencent à peine et partiellement à réaliser le problème que pose un projet de règlement gouvernemental non débattu de changement transgenriste qui se prétend de sexe. http://sisyphe.org/spip.php?article5069

Confusion entretenue désormais avec le terme scientifique "cis" latin de chimie et génétique. Pour mémoire des mots composé à partir de notre terme examiné - Après le passage de transsexuel à transexuel, puis transgenre, les transactivistes ont créé l'antonyme "cisgenre", pour tout ce qui n'est pas trans. http://fr.wikipedia.org/wiki/Cis

Ce montage ne reste-t-il pas contradictoire et sans vertu opératoire, puisqu'une fois la personne trans enregistré à l'état civil selon son désir, ne se trouve-t-elle aussi redevenir "cis" ? Dès que l'Etat concède de modifier le sexe inscrit sur les papiers d'identité et dans les bases de données d'état-civil, la personne redevient cisgenre :
"Qualifie une personne dont l’identité de genre est en concordance avec son sexe déclaré à l’état civil." http://www.genrespluriels.be/Glossaire.html#LettreC
Par contre, notre générocritique* s'attaque au processus social et pense le genre sexuel en processus de sexage, qui ne doit justifier d'appesantir sur les femmes aucune assignation de rôle mais ne peut que respecter la fonction biologique sans injonction, et, surtout pas, en catégorie relevant d'abus de langage. En sus, elle voit clairement que c'est faire double bénéfice de critique le genos et le sexage / genre sexuel, comprenant tous ses apanages patriarcaux. Anthropologiquement parlant et non pas à la Bachofen qui créa la croyance matriarcale communiste du 19e, illusion qui ne permet pas de construire les fondations du féminisme : le féminisme ne peut être matriarcal car il s'étoufferait de caresser l'illusion du stéréotype de mère meilleure juge que tout homme, et sous tendu de l'idée que toute lesbienne plus lucide que l'hétérosexuelle, soupçonnée essentiellement de collusion avec son oppresseur dans l'ignorance que tout mâle se fait maître ?

Tout de go, posons les questions douloureuses de castration délibérée du féminisme par des idéologues invasifs : 
    • Sur la pertinence indigeste d'utiliser le concept à toutes les sauces
Pour faire le point sur les études de genre que Christine Bard et plusieurs universitaires présentent comme digérant les études féministes, ou de femmes -pourtant bien largement antécédentes et complètes favorables à étudier tout genre sexuel, pas spécifiquement aux membres du sexe féminin- et certains objets d'étude ayant été créés de toute pièce pour servir la cause, au passage, il suffit de lire le paragraphe dédié en article d'une encyclopédie collaborative et d'en souligner les impacts prévus :
"Les féminismes" libéraux déroutent donc tout le substrat de droit commun du Féminisme au profit du droit individuel tout puissant, du désir de soi, du ressenti identitaire et de l'ethnocentrisme. Multiples genres, multiples sexualités, multiplication des pains, où est la prétendue subversion butlérienne ? La déconstruction sociale s'est arrêtée très largement avant d'être arrivée à la gare et égarée dans les champs ? Cela parait plutôt aller contre les principes du féminisme. http://www.erudit.org/revue/RF/2007/v20/n2/017606ar.html

Les tropes du fluidisme genriste censés combattre le vilain binarisme -lisez scissiparité- L'obsession d'échapper à la binarité sexuelle (niée) et de croire que le monde n'est qu'illusion doivent être éprouvants à vivre ? En tout cas, cela ne préserve pas les hommes se sentant femmes ou "autres" d'exercer leur violence machiste, à  lire les longs verbatims criminels, qui ne fait pas de tous les transvestiten des délinquants mais laisse à penser que cette nouvelle norme fluidiste pose de graves problèmes quant à la sécurité féminine et prévention des abus contre elle. voir Transgender Tropes 101, December 26, 2010 https://gendertrender.wordpress.com/2010/12/26/transgender-tropes-101/


Justement, s'il y avait spectre ou fluide de bouquet de sexes, pourquoi alors vouloir à tout prix faire femme ou homme, en copiant à la virgule de l'extérieur ces sexes respectifs uniquement ?
  • Intriguée que l'expression études féministes ou études de femmes soient reléguées aux oubliettes, nous avons donc rapidement découvert ce que les généromilitants* visaient par la propagation de celle des "études de genre", qui ne cassent pas trois pattes à un canard...
a) le féminisme amoindri, autant dire viré
b) l'universalisme supplanté par le relativisme religieux
c) les Droits universels, passant sous la coupe de religieux*

-*ceux-ci parfois suprématistes prétendus gardiens moraux- Voilà dirait-on le tour de passe passe des Identity politics-

"Le concept de genre présente deux avantages principaux. D'un point de vue épistémologique, les rapports sociaux entre les hommes et les femmes sont considérés comme centraux dans la construction des pratiques et des représentations. Cette prise de position va permettre une distanciation de l'universalité considérée comme masculine, ainsi que l'étude des faits sociaux considérés comme naturels (le sexe) ou culturel (le genre). D'un point de vue stratégique, ce concept permet de dépolitiser les recherches académiques. Par conséquent, il permet d'amoindrir le militantisme féministe et favorise l'acceptation de ces études par le monde universitaire.https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tudes_de_genre
Abattre l'universalité, considérée masculine, et dépolitiser les recherches en les politisant ? En fait, le résultat est clairement une surpolitisation de la recherche académique et hors académisme. Refus relativiste de l'universalisme et des Droits universels de l'Homme. L'on  ne voit pas bien pourquoi l'universalité et l'universalisme ne serait pas considérée féminine, et l'on n'acceptera pas que les droits du sexe féminin ne soit pas à l'identique stricte de ceux de l'espèce homo sapiens sapiens, espèce humaine ?

Salade cuite - Passation de pouvoir du genre sexuel au genrisme, et du transgenrisme au transinisme. Nous sommes cuites, faites comme la romaine. Ce n'est pas tout, hormis dépolitiser les recherches académiques, amoindrir le militantisme féministe, voyez que les institutions internationales se hâtent de troquer l'identité à l'égalité. De jouer des mots, elles aggravent les maux des femmes en supprimant l'égalité des sexes pour que ne se profile plus que l'identité de genre /des genres. Tentant ou faisant croire à la neutralité typiquement agenriste* à la Wittig "lesbianiste radicale" (générocriticisme neutral*) et sa théorie dite de "féminisme matérialiste" (reprise par Christine Delphy, par ailleurs très curieusement tolérante et perméable aux imamah tant chiites que sunnites, alors qu'imperméables à tout pasteur, chrétien ou juif, les autres croyance restant dans un flou vague sans consistance) car on aurait pu croire que le matérialisme goûtait peu l'opium ? ? http://susaufeminicides.blogspot.fr/2013/10/feminicide-categorie-genericide.html
  • Petit virage, dérapage contrôlé sur les jantes vers la définition juridique passée en vigueur du sexe féminin imaginaire
Jante personnalisable "mystic aluminum wheels" chez Schmidtt révolution

Sans concertation civile, scientifique et, en premier lieu, des principales intéressées. 
Sans même que vous le sachiez, Mesdames, en plus de la féminité corsetée ou débraillée à leur main...  Oyez, oyez bonne jante, gente dame, en 1945, un jugement suisse de Neufchâtel distingue entre "femme de fait" et "femme de droit".

Ou en 1975, constater ici qu'est-ce qu'une femme selon des juges et des médecins, apparences, sentiments... du moment qu'on nous ressemble tout va bien :) C'est de première juridiction transgenriste, première brique lancée dans le lac, pour mettre en échec le sexe biologique de naissance, la non rétroactivité du Droit, la garantie du critère de fixe d'état-civil (arraché aux religieux) de sexe et de la citoyenneté, et l'intégrité du corps, soit à nouveau les Droits universels mités par le sentiment viril. Le sexe devient une blague, de la barbe à la barbie, plus qu'un sentiment. http://www.dianeetlesexedesanges.ch/3colset008/_qui_suis_je/jugement-acte-etat-civil.pdf

1968 - Deuxième pavé en jurisprudence - Un autre, américain, définit femme a contrario, en dépit même du bon sens. Voilà c'est bon, le sexe féminin défini fait jurisprudence-socle sur un mot-valise qui sert à l'envi à tous ceux qui prétendent à notre sexe travesti en genre, coups de maître... je badine. Ces beaux messieurs des beaux quartiers créateur du sexe féminin sans que personne ne récrimine !? Conclu in petto que mettre des robes et du maquillage serait changement vers le sexe féminin (travestissement des plus classiques) avec quelques arrangements sous les jupes. Cet alibi de vouloir bénéficier des aspects de la féminité du genre dicté par notre obligatoire séductivité* à la marylin ou à la môman. C'est cela même retailler un stéréotype sexxiste ? A peine lifté l'ancien, et encore ! Les lapins courent hors du chapeau haut de forme, en veux tu en voilà-
La définition de "la" "Femme" par des hommes reste en roue libre... parole substituée, parole volée...
"Une affaire qui a créé un précédent récemment est celle d’un Français originaire de Villeneuve-sur-Lot (47), qui est devenu légalement femme, sans avoir subi d’opération.http://www.aufeminin.com/news-societe/transsexualite-un-homme-accouche-d-un-garcon-en-allemagne-s164109.html
(l'opération dont il est question étant une mutilation sexuelle de transition, ou conversion sexuelle -difficile d'apostasier-
 "Ablation accidentelle ou volontaire, retranchement d'un organe externe qui cause une atteinte grave et irréversible. Syn. amputation, mutilation rituelle, sexuelle" http://www.cnrtl.fr/definition/mutilation )
  • Créneau de la linguistique contemporaine - Suffit de l'antiquité, E-car prend son vol vers le futur... aucune critique n'est interdite.
Les mêmes généromilitants, de l'inclusivité intersectionnelle (point inclusif ou tiret inclusif, deux chapelle du hachoir des mots), qui pourfendent l'académisme et voudraient faire croire qu'il y aurait censure de sa part mais c'est bien par lui qu'ils sont pourtant arrivés et accrochés en fac' et autres milieux universitaires, institutionnels de haut mandarinat qui ne jurent et n'usent que d'articles académiques ? Point de salut hors leurs académies. Si Richelieu n'était pas dans leurs petits papiers, et n'étant du tout tout puissant, pourquoi alors lui donner tant d'écho, vouloir le forcer avec son assemblée et lui demander en révérence à son autorité de changer la grammaire, les règles, la ponctuation, la graphie ? Surtout que le dictionnaire n'entérine que l'usage. Thérèse Locoh et Monique Meron, Le "genre" interdit ? Hommage à Madeleine Guilbert, Revue Travail, genre et sociétés, 16|2006 http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=TGS_016_0119

Point de vue prudent et bien vue de l'expression "rapports sociaux de sexe" préconisée le 22 juillet 2005 par l'Académie française et qui n'embrasse que partie du problème :

"La substitution de genre à sexe ne répond donc pas à un besoin linguistique et l’extension de sens du mot genre ne se justifie pas en français.http://www.dglflf.culture.gouv.fr/cogeter/gender.htm
Pourrait-on dire "théorie de la sorte" ou "études des sortes" ? Genre grammatical n'étant que catégorie. Grammaire n'étant pas grand mère arriérée, mais plutôt l'art de tracer les lignes, l'on pourrait dire aussi "théorie de la catégorie" ? Pourquoi faudrait-il garder à tout prix la notion de lignée génésique virile et son souffle vital premier ? http://www.lexilogos.com/latin/gaffiot.php?p=722

Mais where is donc Orn'I car ? - Un détour vers l'emploi grandissant du mot genre en anglais après 1945. Voir David Haig, The Inexorable Rise of Gender and the Decline of Sex: Social Change in Academic Titles, 1945–2001, Archives of Sexual Behavior, vol. 33, no 2,‎ avril 2004, p. 87-96  http://www.oeb.harvard.edu/faculty/haig/publications_files/04inexorablerise.pdf

Essentialisme démocratique - Toujours sur le même rayonnage, l'on voit que les démocrates américains semblent confondre constamment sexe et genre puisque argué que les sex assaults seraient "non gender specific" (et hop protection des femmes exit) : En dépit que ni parité, ni égalité, l'on y voit la minceur de leur féminisme, toujours vouloir comparer que les hommes aussi seraient victimes, mais toujours en retard d'un train, alors que se croyant à la pointe du progrès. Simple à confirmer toute la spécificité, ou sexospécificité unilatérale de toutes les agressions féminicides, tellement patente en nombre, proportion et en conséquences ; cela ne leur met pas la puce à l'oreille les viols féminicides dans l'us army (pourtant d'apparent statut et métier viril, ne les protègent pas, et cela n'a rien à voir avec le rituel initiatique du bizutage entre soldats) ? http://abonnes.lemonde.fr/ameriques/article/2013/05/31/us-army-l-epidemie-silencieuse_3420904_3222.html

L'éternel non pas féminin mais va et vient nature-culture - Depuis les années 80 environ, des féministes américaines puis françaises ont passé outre la racine "génique" du mâle, en le raccourcissant à "genre" pour dire "genre sexuel" ou "sexe social" -concept précédemment, soit psychiatrique, psychologique, psychanalytique, soit de sciences sociales- désignation des différences non biologiques entre les des deux sexes, sous le sceau de la construction sociale. Pas très étonnant chez une espèce d'animal social pétri de sociétés... p. 291-304, Karen Offen, Le gender est-il une invention américaine ?*, Clio, 24 | 2006 : Variations http://clio.revues.org/4702
  • Synonymie et proxémie -chronologie-
a) 1955 - "rôle de genre" (du au psychologue comportementaliste, déjà évoqué en introïtus pour sa thèse de 1952,) glissement ou métamorphose de "rôle sexué".

Relativisme et culturalisme au rendez vous - En effet, le transactivisme embrigade dans l'expression présente dans les écrits Margaret Mead -à la croisée du fonctionnalisme et du culturalisme (élève de Frantz Boas)- en précurseur dès 1935 du concept de "rôle sexué" (Iles Samoa) largement repris par les études sexologiques berlinoises et viennoises. Réaménagé par Evelyne Hooker, behavioriste, puis son élève John Money, à partir du "sexe d'élevage" de Talcott Parson. http://fr.wikipedia.org/wiki/Evelyn_Hooker
"Le rôle de genre [sexuel] est l'expression "publique" de l'identité de genre [sexuel], qui est l'expression "privée" du rôle de genre [sexuel]" / "Gender role is the public expression of gender identity, and gender identity is the private expression of gender role." p. 4, John Money et Anke Ehrhardt, Man and woman, boy and girl. The differentiation and dimorphism of gender identity from conception to maturity Johns Hopkins University Press,‎ 1972 http://fr.wikipedia.org/wiki/Genre_(sciences_sociales)
L'effroyable "cobayage" comportementaliste du psychologue John Money sur une dyade de jumeaux qui visa à prouver la constructivité des rôles de genre participant de l'identité de genre -à qui l'on doit donc ces deux concepts qui ont fondu comme neige au soleil de la raison- a échoué totalement et au contraire a prouvé indubitablement que ces deux notions sont fautives. Pourtant, cinquante ans plus tard, ils surnagent réchauffés au court bouillon. Quel est le but de ceux qui s'y prêtent ? 
"John William Money a étudié la conscience sexuelle des troubles du développement sexuel et a préconisé le concept de genre en 1957. Par la suite, la disparité entre le sexe anatomique et l'identité de genre a été appelée la condition psychopathologique du trouble de l'identité de genre, et cela a été utilisé pour son nom diagnostique. lorsqu'il a été introduit dans le DSM-III en 1980." Jun Koh [The history of the concept of gender identity disorder]. Seishin Shinkeigaku Zasshi. 2012;114(6):673-80. Japanese. PMID: 22844818. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22844818/

Totalement zappé le sexe de l'enfant, l'on nait fille, l'on ne naît pas femme, bien évidemment, et il est hasardeux d'avoir prétendu que le nourrisson n'aurait pas de sexe en quelque sorte, et ce n'est qu'un modèle féminin qui est formé par l'entourage, rien de naturel sauf que de pressions des maîtres de maison... 

"Première partie - Formation - Chapitre premier Enfance - On ne naît pas femme : on le devient. Aucun destin biologique, psychique, économique ne définit la figureque revêt au sein de la société la femelle humaine ; c'est l'ensemble de la civilisation qui élabore ce produit intermédiaire entre le mâle et le castrat que l'on qualifie de féminin". p. 13, Simone de Beauvoir, Le deuxième sexe II L'expérience vécue, Gallimard Folio essais, 1949, renouvelé en 1976

Ainsi prouvé que la "théorie du genre" en quelque sorte n'existe plus puisque son axe central "l'identité de genre" est invalidée par la destruction des jumeaux Reimer. A survécu la théorie queer, revendiquée haut la main par Judith Butler, rumination des thèses de Monique Wittig et la french theory en général, relecture tronquée de Beauvoir. Celle-ci aurait tout de suite débusqué que la femme confondue à l'eunuque, au castrat, par les queers, renforcé le modèle sexiste.

Cette illustration de couverture, comme en tâtonnant, pratiquement sans le vouloir, nous donne la clef.

Folio Essais Gallimard 21/04/1986

b) "Sexage" - Celui retenu ici en place de gender, pratique et théorique à la fois, sous réserve qu'il soit étendu. Simple et clair, mais mis au placard aux balais ? voir item DENI http://susaufeminicides.blogspot.fr/2013/02/index-illustre-bal-feministe.html

Pourquoi passer sous silence "sexage", de peur d'être prises pour sexologues ? Bien sur, nous ne sommes pas des poussins à trier mais l'on voit bien que la mécanique du déterminisme social peut revêtir aisément en la matière cette jaquette qui dit clairement son but. http://www.cnrtl.fr/definition/sexe

Ni forcées de se restreindre au foncier, ni au classisme, le terme pourrait être élargi à tout le mécanisme, sans se laisser circonvenir par le genrisme (dans un cas, activement favorable au queerisme et son transactivisme et; dans un second, moins butlerien mais plus dworkinien; le soutenant charitablement, au motif de la doxa marxiste -fondé sur le bien connu précepte de ce que tant que l'harmonie inexistante du fait des classes ne.surviendra de la dissolution du droit n'ayant plus lieu d'être dans un monde idéal sans classe, il faut combattre toute oppression, en soutenant tout opprimé) :
"Nommé «esclavage» et «servage» dans l'économie foncière, ce type de rapport pourrait être désigné sous le terme «sexage» pour ce qui concerne l'économie domestique moderne, lorsqu'il concerne les rapports de classes de sexe." ? Colette Guillaumin, février 1978 http://entreespoiretcolere.free.fr/PG/Colette-Guillaumin-Pratique-du-pouvoir.pdf
Repris aussi par Michelle Causse, serais-je médaille de bronze ? Ne nous laissons pas brider par l'économisme ambiant, il n'y a pas que cette analyse qui frise désormais l'économystique* qui doive prévaloir.
"de même disparaîtra demain le sexage, forme également admise à l'heure actuelle de l'existence des êtres humains appelés femmes (du latin foemina, de moindre foi). Dans cet ouvrage, Michèle Causse s'attache à montrer que la condition de celles qu'on appelle "dividues" n'est pas éternelle et qu'un jour prochain elles ne se laisseront plus sexiser ni sexualiser mais seront des êtres non divisibles dotés d'un soi à soi." https://books.google.fr/books/about/Contre_le_sexage.html?id=3OezAAAAIAAJ&hl=fr
Moins alourdi et n'ayant pas statut de concept dérouté par libéraux libertariens et libertaires, la civilité Mademoiselle a été assise sur siège éjectable de nous dire bonne à marier, que de damoiseau l'on n'a cure, que de la maîtresse il ne faut pas s'effrayer, et nous offusquant, alors qu'à comparer, c'est une peccadille qui devrait être mise au rencard, car politiquement elle n'a aucune des conséquences graves de ce concept de genre, boulet qui sourd d'une longue et glauque histoire patriarcale (au sens anthropologique, s'entend)...

L'avantage consiste en ce que "sexage" ne se pourrait substituer, comme il est fait de plus en plus comme on l'a vu à tort, au mot "sexe". Et sa conformation parait plus adaptée par son suffixe "age", qui indique une collection, une action ou son résultat. La polysémie et l'imprécision de genre entrave les retombées positives. http://bv.alloprof.qc.ca/francais/le-lexique-et-le-vocabulaire/la-formation-des-mots/la-derivation/le-suffixe.aspx

L'économie et tout autre domaine de société, chasseur cueilleur ou impérialiste, voient les marques du sexage. L'économie domestique n'est qu'un des écheveaux.


b) "Identité sexuelle" en 1990

"L’identité sexuelle reste une idée. L’identité sexuelle -croyance en la virilité, la féminité et en la nécessité d’être soit homme, soit femme- fait partie des idées des plus fondamentales en jeu dans nos interprétations autobiogaphiques." Sexual identity is an idea. Sexual identity—the belief that there is maleness and femaleness and that therefore one is either man or woman—is among the most fundamental ideas with which we interpret our experience." p. 2 http://www.feministes-radicales.org/wp-content/uploads/2010/11/Stoltenberg-Refusing-to-be-a-Man.pdf
Disparaissant en 2013 en "identité genrée". http://www.isabelle-alonso.com/john-stoltenberg/

c) Identité sexuelle = "identité de genre ou expression de genre", casée en études de genre, et toute la confusion entretenue juridiquement :

"Gender Identity or Gender Expression), 2012" http://www.e-laws.gov.on.ca/html/source/statutes/english/2012/elaws_src_s12007_e.htm
Ce qui fait en tout oublier l'égalité des sexes, s'entend en Droit, et la bafouer (cf. Sénatrice Nancy Ruth) en laissant croire à une synonymie avec "identité de genre", identité n'est pas égalité, genre n'est pas sexe ! Et des femmes battues par des hommes ont le droit à sauvegarder toute leur intimité entre femmes, la mixité n'est pas tolérable en cette matière !
"DiNovo characterized same-sex meetings as “reprehensible” and vowed to use Toby’s Act to eliminate and prosecute current and future same-sex gatherings of women or lesbians in the province. “I’m hoping that now under Toby’s law, this will be considered illegal.” http://gendertrender.wordpress.com/2013/07/07/mpp-cheri-dinovo-tobys-act-made-same-sex-gatherings-in-ontario-illegal-for-women/
Point ici le "genre social" couplé à "identité de genre", écrit en place de "genre sexuel" :

Extrait de "Identité de genre, droit et médecine : un débat à bas bruit ?" Diane Roman, mai 2012
http://www.raison-publique.fr/article530.html


La politique de l'identité / identity politics, et l'identitarisme du queerisme, ont-il été mis en place par les écrits de Creenshaw ? http://mith.umd.edu/crge/ird/pdf_entry.php?id=113
sur le modèle de l'historien Arthur Schlesinger Jr ? http://fr.wikipedia.org/wiki/Identit%C3%A9_politique
Voir aussi LGBT issues : Queer nationalism and Political lesbianism. http://en.wikipedia.org/wiki/Identity_politics

L'aide des tayloristes (Charles Taylor, grand fan de l'expression religieuse pilariste, de renforcement religieux) a-t-elle contribué au couronnement de ce concept juridique dolosif d'identité de genre, qui ne croit pas deux seconde à l'égalité des sexes - le mariage de ces deux termes se révélant une bombe terroriste contre le féminisme (politique) ? L'inclusivisme évangéliste en sous main.

Philosophiquement, comment peut-on mélanger les concepts de personnalité et d'identité, afin de mieux coincer les femmes dans les stéréotypes religieux de complémentarité et créationnisme ?
  • Antonyme - Aucun - Tout stéréotype varie, diminue, s'érode ou grandit mais ne disparaît jamais chez aucun groupe humain.
Entre parenthèses, que l'on accole au genre (sexuel), les termes de théorie, concept, idée, idéologie ou études, il s'agit toujours en cause de la construction sociale (fruit des interactions à tous les degrés -maison, école, travail, toutes sphères en cause- de la vie de l'individu) des différences sexuées- Pourtant, répétons encore que quelque genre soit-il, il ne laisse pas de trace sous la couette*. Le genre ne se fait qu'en manière. Que changement de genre ne peut se traduire par changement de sexe, comme on changerait de cavalier. Notre sexe ne changera pas, l'on peut tirer, couper, raboter, limer, rien n'y fera... Que changement de genre ne se peut faire qu'en changeant les lois et la société. Evangélistes libertariens, ou évangéliques, aucuns tours de passe passe ne parviendront à pousser à l'eau darwinisme et universalisme que l'on tient désormais pour acquis d'humanité, en dépit de toutes les tentatives de la naturalisation du genre (sexuel).
http://susaufeminicides.blogspot.fr/2013/10/feminicide-categorie-genericide.html
*Distinguer la couette (petit oreiller) de la couette "(diminutif de l'ancien français coue, du latin cauda, "queue") désigne chacune des petites queues de cheveuxpour faire fifille qui n'est pas du tout une natte. Ayant passé mon enfance à défaire toutes couettes, en rejet de fleur de peau, je ne supporte que la première. http://fr.wiktionary.org/wiki/couette

Qui doute de l'inimitable sexe féminin ? Sa partie clitoridienne restée jusque là dans l'ombre faite en 3D existe depuis la sculpture américaine, plus que clitoris ou vagin, utérus et trompes, sans parler d'autres de nos attributs glorieux. Tout, tout, tout, je vous dirai tout sur notre beau sexe.

A noter quelques précédents :
  • Avec le triste épisode Distilbène -prescrit environ de 1945 à 1977-, "... hormone de synthèse était sensée protéger des fausses couches", encore une négligence pharmacologique venue de décisions majoritairement masculines que les femmes payent cher..., des organes féminins mal conformés par une "erreur médicale", concernant des millions de femmes enceintes, qui n'a pas transformé leurs 160 000 nouvelles nées concernées en garçons, malgré leurs organes sexuels souvent malformés. http://www.e-sante.fr/victime-distilbene-ou-histoire-erreur-medicale/actualite/790
Apogée du romantisme en vue- Grâce au jeu tout à fait marrant mené dans la dernière partie des "papous dans la tête", encore plus rigolo car personne n'a trouvé ce que dissimulaient deux des phrases du texte à deviner l'auteur, à peine effleuré à un moment j'ai cru que ça y était et puis non, Eva pressentait, elle aussi, quelque chose mais en vain... Le climax romantique (viril) déjà pressenti, nommé, de ce temps qui mutile (sa réflexion allait tellement plus loin que l'amour romantique dans ces deux phrases, et tout le monde n'y voit que du feu ? en deux phrases dans le passage de l'ascenseur). Mais je vous laisse écouter, ce sera plus simple :) le "DLA" de fin de partie du 20 octobre 2013. Papoues, faisant danser les poux. http://www.franceculture.fr/emission-des-papous-dans-la-tete-les-papous-a-tout-casser-restent-les-brisures-2013-10-20

http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Pediculus_humanus_var_capitis.jpg

Evacuons d'emblée le sujet sylleptique, fort intéressant en analyse syntaxique mais que je ne traiterai, ni ne maltraiterai en cet item, n'étant pas grammairienne et bien que secouant tant que je peux le bocal du patrilecte et androlecte. De toute façon, je m'accorde avec qui je veux.

En tout cas, tant que dans chaque cellule de l'individu, on n'aura pas fait repousser le X cassé, dit Y, jusqu'à faire le zouave ou plutôt le X... pas moyen de changer de sexe... Faire une brebis Dollx ?

Trouvé dans dans http://www.fonddutiroir.com/blog/?p=8678

Plus moyen de camoufler le dimorphisme sexuel, déjà placentaire, il va bien falloir définitivement le prendre en compte en faveur, ou plutôt, en réhabilitation de toute la négation de ce qui dépend du sexe féminin. Indifférencié, asexué, bisexué, tous ces mots n'ont pas le même sens.
"Il est en effet bien connu que l'ablation hormonale ne parvient pas toujours à éliminer complètement ces différences, ni la supplémentation hormonale à les recréer." p. 186 "Pendant longtemps les tissus extra embryonnaires, en particulier le placenta, ont été considérés comme des organes asexués, la plupart des études ne prenant pas en compte le sexe de l’embryon [14]. Des travaux récents - dont ceux de notre laboratoire - ont montré, par une approche d’analyse de gènes candidats ou transcriptomique, des profils d’expression sexuellement dimorphiques dans le placenta de bovins, de rongeurs et humains" http://www.medecinesciences.org/articles/medsci/pdf/2012/02/medsci2012282p185.pdf
Indifférencialisme* politique - Face à la science, l'idéologie genriste s'évertue...
Tableau traduit - Utilisé pour l'éducation sexuelle au Québec
http://itspronouncedmetrosexual.com/

"Essentialisation de l'indifférencié" jouxtant le mythe de toute puissance masculine jusqu'à "prendre place en femme". On rase, on triture, on hormonise sans harmoniser. Un peu de miel et le bonhomme de pain d'épice fleure bon la racine aphrodisiaque du gingembre. Mais tout y est faux car le processus de sexage n'a pas pu donner deux catégories de sexe (l'hermaphrodisme étant ou de l'un ou de l'autre ou des deux) ; l'on peut s'évertuer à remplacer par processus de genre sexuel, cela ne fait pas plus catégories en genre (voir abus de langage), que d'aucuns voudraient neutre (transvestite) parfois, fluide pour d'autres, féminin et masculin.

Il reste de notoriété scientifique que le sexe féminin n'est pas le genre humain ; et que le "genre sexuel" n'est pas le sexe biologique.

Féminiser un homme n'en peut concevoir une femme, ni l'inverse, aussi fort que désir et volonté soient, cela reste une velléité. Au tout début, c'était le sens initial du terme féminisme et cela plait toujours beaucoup aux masculinistes qui manifestement mettent tout en oeuvre pour le réaliser, ou plutôt le faire réaliser par d'autres ? http://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/06/rosier-pourpre.html?view=sidebar
  • Cheminement géographiqus - Au pas de course, et de fond, le marathon du genre / gender -
Continuons donc à déconstruire tous faits sociaux, phénomènes banals, esprits grégaires. Où sommes-nous parvenues à la dénaturalisation de la féminité stéréotypée, ou à la démolition de l'identité féminine ; ou à une reconstruction neutre ou masculine -autant dire de suite masculine à la mode hoministe- ?

Voyons attentivement la chronologie d'apparition des termes désormais brandis pour faire mal aux femmes récalcitrantes à laisser passer toutes leurs "affections" sexuelles sans limite d'âge... 

  • 1915, quarante ans avant  - Premiers usages anglais de "genre" dans un sens qui  ne soit pas grammatical
L'hermaphroditisme précède la célèbre prétendue réassignation sexuelle des "gender roles", années 50 selon John Money - Johns Hopkins hospital Baltimore http://www.hopkinsmedicine.org/psychiatry/about/anniversary/stars/john_money.html
Sexe d'élevage élargi à identité de genre - Prise en prétexte et pervertie, la célèbre formule de Beauvoir de 1949 pour s'indigner du sort réservé aux filles en premier lieu par l'éducation restrictive (qui imprègne à vie en subordination) afin d'entériner des expériences sur des garçonnets. Hormis le déterminisme social dont l'on sait la pertinence et dont personne ne doute plus. Quoi de commun entre la formule féministe et la première théorisation du concept du genre défini en "sexe d'élevage" par John Money, bien qu'il ait prétendu s'appuyer sur la liberté sexuelle. Ses mensonges et mauvais traitements ont été dénoncés par son patient. Où John Money emploie le concept de genre, 
"(...) reçu de Evelyn Hooker, d'après l'idée de "rôle" appliquée à la différence des sexes par Talcott Parsons" (professeur au département de relations sociales à Harvard), "le "sexe d'élevage" prime sur le "sexe biologique" (in Hermaphroditism, gender and precocity in hyeradrenocorticism : Psychologic findings -
Finalement démarche considérée comme frauduleuse ayant conduit aux décès tragiques des jumeaux homozygotes sur lesquels il avait prétendu fonder sa théorie de l'apprentissage social sexuel, invalidée par une analyse de 1997 de Milton Diamond et Keith Sigmundson, biologiste et psychiatre, ens "Archives of Pediatric & Adolescent Medicine" et une enquête journalistique de John Colapinto, As Nature Made Him: The Boy who Was Raised as a Girl, HarperCollins)

John Money et Harry Benjamin 
Dépendant de la théorie organisationnelle du cerveau et de perturbations hormonales de l'ontogénèse, les orientations de ce psychologue comportementaliste s'étant penché sur l'hermaphroditisme, puis à ce titre ayant expérimenté ses hypothèses sexuelles sur des enfants non hermaphrodites, sont critiquées par les féministes, tout comme de Milton Diamond, biologiste, qui le réfute ensemble le milieu queer qui s'est détaché de son apport. Pourtant en continuant constamment à revendiquer la "sex reassignation" pour changer le sexage, afin de permettre les opérations chirurgicales à la demande. http://www.cairn.info/article.php?REVUE=cahiers-du-genre&ANNEE=2003&NUMERO=1&PP=81

L'article "Condition féminine" où John Money reste sans critique http://fr.wikipedia.org/wiki/Condition_f%C3%A9minine
restant traduit par "Gender roleshttp://en.wikipedia.org/wiki/Gender_role
Gender (catégorie, espèce, sorte) terme contracté de catégorie sexuelle sociale.

Il n'aura pas prouvé le "genre" assigné et assignable mais le contraire et pourtant tout le monde suit l'exemple ?! Afin de "réparer" l'ablation involontaire du pénis de l'un des jumeaux (Bruce>Brenda>David et Brian Reimer) suite à cautérisation de phimosis mal menée, il lui inculque les normes de féminité de l'époque et le travestit en le forçant avec son frère Brian à des actes sexuels, à quoi il aura été constamment rétif comme il le raconte dans un livre avant son suicide à trente-huit ans. La confusion continue à être nourrie par d'autres articles, dont un qui nous donne quelques précision sur le calvaire des jumeaux, notamment concernant les Intactivistes qui brandissent le cas comme éloquent, afin de refuser l'ablation du prépuce de la circoncision religieuse mais se refusent à analyser plus loin la théorie de Money et ses fraudes qui permettent la mutilation sexuelle élective d'ablation de tout l'organe sexuel et alii sur laquelle ils refusent par contre de se prononcer. http://fr.wikipedia.org/wiki/David_Reimer


Ses expériences, elles aussi uranistes, consistaient en "réattributions sexuelles", devenu depuis réassignations (alors que le sexe est déclaré, déjà un hic, oups), où l'on voit que confondant genre (sexuel) et sexe, naturalisant ainsi ce genre, ce qui ne constitue au fond rien d'autre que négationnisme du constructivisme déterministe qui sera celui du féminisme.

Portrait allégorique d'Uranie, par un disciple de Louis Tocqué


Cette naturalisation du genre aurait-elle été permise par la génération de la french theory, en particulier l'assertion de Monique Wittig que le sexe est le genre, ou l'inverse, et qu'ainsi le concept genre ne sert à rien. Le mot certes, le concept que je préfère dire "sexage", si, oh combien pourtant, aux études féministes. 
Ayant réussi à légitimer les opérations mutilatoires de transitions, où il avait bricolé les organes, les attributs, et dressé les enfants jumeaux, il a cru que le tour était joué. http://biosex.univ-paris1.fr/dossiers-thematiques/scientifiques-du-genre-2/

Pour toile de fond la liberté sexuelle, vu en héritier de Kinsey, malgré les réassignations forcées avec "élevage sexuel" des jumeaux, en 2002 à titre posthume, John Money reçoit la médaille Hirschfeld créée par ILGA (fédération lgbtqia -lesbian gay bi trans queer intersex allies) ; ce qui n'a pas peu contribué à propager ses fausses conclusionshttp://www.rolf-gindorf.de/kongress2012.htm#medaillen
  • Scandale de santé publique - Au nom des pères de l'identité de genre /gender identity - Rien que le titre des Standards de soins HB/WPATH, qui use de l'expression "genres sociaux non conformes" montre une abyssale idéologie destructive ("déconstructive"*) puisque ne pas adhérer aux stéréotypes sociaux sexuels ne consistent pas à mutiler son sexe, organes et caractères secondaires, mais simplement à ne pas se soumettre aux pratiques.
Exemple - Comment des gosses ou des alolescents comprendraient-ils toutes les implications, alors que même les adultes n'en saisissent pas la portée sur l'amputation de leur sexualité et de leur santé ?!
"L'intervention en début d'adolescence doit être menée avec des conseils d'endocrinologues pédiatriques, lorsqu'ils sont disponibles. Les adolescents aux organes génitaux masculins qui commencent à prendre des analogues du GnRH au début de la puberté doivent être informés que cela pourrait entraîner une insuffisance de tissu pénien pour les techniques de vaginoplastie par inversion du pénis (des techniques alternatives, telles que l'utilisation d'une greffe de peau ou de tissu du côlon, sont disponibles)." / "(...) Intervention in early adolescence should be managed with pediatricendocrinological advice, when available. Adolescents with male genitalia who start GnRHanalogues early in puberty should be informedthat this could result in insufficient penile tissuefor penile inversion vaginoplasty techniques(alternative techniques, such as the use of a skingraft or colon tissue, are available)" Standards of Care for the Health of Transsexual, Transgender, and Gender-Nonconforming People, Version 7, August 2012 International Journal of Transgenderism 13(4):165-232 p. 178 https://www.researchgate.net/publication/254366000_Standards_of_Care_for_the_Health_of_Transsexual_Transgender_and_Gender-Nonconforming_People_Version_7
Early use of puberty-suppressing hormones
may avert negative social and emotional con-
sequences of gender dysphoria more effectively
than their later use would. Intervention in early
adolescence should be managed with pediatric
endocrinological advice, when available. Ado-
lescents with male genitalia who start GnRH
analogues early in puberty should be informed
that this could result in insufficient penile tissue
for penile inversion vaginoplasty techniques
(alternative techniques, such as the use of a skin
graft or colon tissue, are available)
Organes réduits à néant par les nouveaux puritains ? L'on peut donc questionner l'Etat sur son adoption contre tout principe de politique de santé scientifique les standards 7ème version (la 1ère de 1979) établis par l'établissement Harry Benjamin (réalisant les théories uranistes de Magnus Hirschfeld, tout comme John Money -rôle de genre, fiasco de l'expérimentation des jumeaux Reimer-) devenus WPATH, accompagnent l'automutilation sexuelle, tout d'abord symbolique puis hormonale (stéroïdes de synthèse -le Premarin, à base d'urine de jument, qu'expérimenta le Dr Benjamin pour la castration chimique du patient mineur 0 n'est plus prescrit), les deux dernières irréversibles pour l'essentiel. Standards de soins pour la santé des personnes transsexuelles, transgenres et de genre sociaux non conformes, 7ème Version, Septembre 2013 https://www.wpath.org/media/cms/Documents/SOC%20v7/SOC%20V7_French.pdf
  • Arrêtons nous un instant sur l'intersex apparu en articles de transactivistes biologistes et queeristes. La forme "intersex" reste curieuse, ce serait "entre" ou "de l'un à l'autre", ou évoquant un troisième chromosome qui n'a pas encore été découvert autre que les deux X et Y ?
Le terme intersexué et intersexuation parait donc mal fondé en science, car, de plus, ne faisant que reprendre et reproduire la fausse classification qui regroupait hermaphroditisme, mêlant faux et vrais, rien de nouveau si ce n'est de faire troisième cas psychologiste et psychanalytiques, toujours pas de preuves scientifiques en ces "sciences".
  • 1830 -Transvestite, J. Friedreich Versuch Eines Niterangeschichte der Pathologic und Therapie der Psychischen Krankheiten, Wurzburg, "Sadisten und homoerotische Priester, auf Transvestiten und Flagellanten"
"une âme de femme dans un corps d'homme"
-sous pseudonyme, dans Recherches sur l’énigme de l’amour entre hommes- Il est manifeste que Magnus Hirchfeld dans cette vague inspiratrice fondera ses ouvrages et institut de sexologie sur transvestiten.
Déterminisme social aigu  ? Cela fait entendre que certains homosexuels sont transvestite, transsexuel, et d'autres restent virils. L'on peut ainsi se demander si ce ne sont pas les apprentissages sociaux multiséculaires qui ont enseigné à partie, au moins moité, des homosexuels à "faire la femme".

Pour mémoire - 1868, Karl-Maria Kertbeny crée "homosexuel"

Première occurrence du terme homosexual Karl Maria Kertbeny im Jahr 1868 Foto: Ungarische Nationalbibliothek
"Homosexual", et son antonyme "Heterosexual", opposé à "normalsexuel"". En français, "homophilie" existe également,"Attirance sentimentale ou sexuelle d'un individu pour un individu du même sexe ».Certes, des circonstances particulières favorisent l'homophilie occasionnelle, qui s'achève en général avec la possibilité de rapports hétérosexuels (Bertr.-Lapie 1970)" http://www.cnrtl.fr/definition/homophilie
A savoir que l'antonyme exact d'hétérosexualité (comprenant reproduction et jouissances facilitatrices de la fécondation) reste scissiparité.

Ainsi, nous ne pouvons que remarquer que, dès lors que les sociologistes et sexologistes s'appuient sur homosexualité comme prétendu inverse d'hétérosexualité, ils se positionnent hors du champ scientifique et entre en fossé idéologique.
Cupidon, l'ange de l'amour - Hermaphroditus, enfant d'Hermès et d'Aphrodite, dit aussi parfois Eros - Avec l'hermaphrodisme, la nature n'a pas fait dans la nuance, soulignant les deux sexes en présence, cette prétendument insupportable "binarité" incontournable et nous montre que le sexe est double et non pas binaire et il a simplement inspiré un modèle ternaire essentialiste, qui se voit notamment chez Aristophane, le Banquet de Platon (380 av. E. C.), de  "l'hermaphrodisme" divin (pointé dans SAF Androcide). La puissance et le pouvoir hermaphrodites d'Aristophane menaçant le modèle du soleil et de la terre.

- enfants du soleil, hommes,
- enfants de la terre, femmes
- enfants de la lune, hermaphrodites, vus en un état divin d'unicité, d'union, d'unification.

Eros hermaphrodite, 4e av. E. C., Rhode Island School of Design Museum

L'exemple bien documenté d'un des membres du cercle américain, June, homosexuel à l'allure androgyne, mis à l'index en souffre énormément. Par la suite, il effectue ce qui est appelé de nos jours une castration élective avec l'appui d'un médecin prétendu compréhensif, les autres traitements de conversion de sexualité n'ayant pas réussi.
"June published his first autobiography, The Autobiography of an Androgyne in 1918, and his second, The Female-Impersonators in 1922. June compares himself to this ancient deity Hermaphroditus in his own self-portrait photography. Membre du Hermaphroditos circle en 1895" https://fr.wikipedia.org/wiki/Jennie_June_(%C3%A9crivain)
Cercle uraniste new-yorkais - Hermaphroditos circle
"(La transcription du manuscrit de L'énigme des enfers l'appelle également Dr Robert S. Newton, donnant ce nom à deux médecins différents, ce qui est une erreur de transcription.) L'aliéniste a enseigné à June qu'être androgyne était naturel pour lui, et non une "dépravation". Cela a finalement guéri la dépression de toute une vie de June, car au lieu d'essayer de se purger de son inversion de peur que ce soit un péché, il a plutôt conclu que Dieu l'avait prédestiné à être un inverti" (...) "Le phénomène global qu'il appelait Uranismus (dans l'original allemand, Urningtum), les homosexuels étaient des uraniens (urnings allemands ), les lesbiennes étaient des uraniads (urningin allemand , car -in est le suffixe féminin), alors que les hétérosexuels étaient des dionings, les hommes bisexuels étaient des uranodionings, et ainsi de suite, qui étaient tous distincts de zwitter (intersexe). Ulrichs a basé ce système de nommage sur " le symposium de Platon , où deux types d'amour différents [... sont] gouvernés par deux déesses différentes de l'amour - Aphrodite, fille d' Uranus, et Aphrodite , fille de Zeus et Dioné."
"Par exemple, en ce qui concerne les homosexuels féminins ou les reines (qu'il appelait Weiblings), Ulrichs écrivit en 1879, "Le Weibling est un mélange total de mâle et de femelle, dans lequel l'élément féminin est même prédominant, un être profondément organisé hermaphrodiquement. Malgré ses organes sexuels masculins, il est plus femme qu'homme. C'est une femme avec des organes sexuels masculins. C'est un sexe neutre. C'est un neutre . C'est l' hermaphrodite des anciens. June se compare à cette ancienne divinité Hermaphrodite dans sa propre photographie d'autoportrait."
Le Cercle Hermaphroditos a été la première organisation informelle connue de défense des transgenres aux États-Unis, fondée en 1895 à New York "pour s'unir pour la défense contre la persécution amère du monde". Le groupe s'est réuni au Paresis Hall , également appelé Columbia Hall ou simplement "the Hall", qui était un centre de la vie nocturne homosexuelle à New York . Là, les travailleurs du sexe sollicitaient des hommes sous un personnage efféminé. À une époque où le travestissement était socialement inacceptable et un crime punissable, des endroits comme Paresis Hall offraient un lieu où se décrivaient les « imitatrices instinctives », les androgynes ,les reines , les fées ou les Uraniens pourraient se rassembler et se sentir plus libres de s'exprimer et de socialiser avec des personnes similaires.
https://en.wikipedia.org/wiki/Cercle_Hermaphroditos
Weiblings (reines) - On voit dans l'uranisme se dessiner l'origine des Queens (drags). Merci Ulrichs.

1886 - von Krafft-Ebing décrit les "philia" sexuelles, dont la pédophilie, laissant entendre qu'il s'agirait d'affection, d'amour (eros et agapê, dite aussi caritas, amours non concernés ?) Inspiré manifestement par Ulrichs, l'uraniste (l'homosexualité spiritualiste, l'âme d'une femme dans un corps d'homme) et popularise  'pédophilie', alors que pourtant sachant bien qu'il ne s'agit pas de sentiment mais de désir sexuel envers des enfants physiquement et mentalement inaptes à des relations sexuelles.

Pourquoi ce décalage, qui perdure encore ? Il ont  trouvé zélé successeur chez Wolkmar Sigush, patron d'institut de sexologie. A partir de la norme transgenre, en 1998, celui-ci "académise" Zisgender, entérinant son emploi de 1994 par Dana Leland Defosse et 1995, Carl Buijs,
 (lateinisch cis- ‚diesseits‘ und englisch gender ‚soziales Geschlecht‘), teilweise auch Zisgender https://de.wikipedia.org/wiki/Zisgender
Et la "révolution néosexuelle" (...)  souhaitait prendre en compte. la phase de la soi-disant révolution sexuelle (à partir de 1968 ) - Dans son institut de sexologie travaille Schmidt "cofondateur d'une sexologie constructiviste". 
"Il fait valoir que face aux discours sexuels sur la libéralisation et l'autodétermination, une moralité sexuelle condamnant un comportement sexuel concret est remplacée par une moralité moderne qui se limite à évaluer si le comportement sexuel entre deux partenaires égaux a été négocié de manière adéquate.  (...) Dès la fin des années 1990, Schmidt a pris ses distances avec l'hypothèse, qui était encore largement répandue à l'époque dans le domaine de la sexologie, selon laquelle il pourrait y avoir un risque de contact sexuel avec des adultes pour des enfants. Il existe un déséquilibre des pouvoirs qui menace de primer sur l'autodétermination sexuelle de l'enfant." Gunter Schmidt: À propos de la tragédie des hommes pédophiles . Dans: Journal of Sexual Research , n ° 2/99, p.133-139
Magnus Hirchfeld / Tata Magnésie
  • 1910 - Le revendiquant à son compte personnel également. Magnus Hirschfeldauteur en 1910 de Die Transvestiten: Eine Untersuchung über den erotischen Verkleidungstrieb, mit umfangreichem kasuistischem und historischem Material. Verlag Alfred Pulvermacher, Berlin, et pour "inversion" parle en 1923 de "seelischen Transsexualismus", ou "transsexualisme mental". "Eugéniste social-démocrate". Liliane Crips, p. 104-114, vol. 87, L'Homme et la société,1988 -http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/homso_0018-4306_1988_num_87_1_3210
Très brièvement, il reste bon de rappeler qu'aucune croyance, aucune substitution, ni même l'anomie ne permettront de sauvegarder quelque droit que ce soit, L'anormativité* reste impossible, même, s'il est tenté de revenir par certains aspects à l'homonormativité antique toujours de mise pour certaines ethnies, tout du moins passagèrement, à titre de formation pédérastique, ou chez des populations masculines adultes. http://www.lisapoyakama.org/lhomosexualite-a-t-elle-existe-en-afrique/

Une nouvelle norme se trouve recréée, que d'aucuns jugent plus juste par rapport à leur propre cadre de référence.

Pour mon compte, jamais je n'aurais confondu l'homosexualité dans cet embrouillamini mais ce sont ceux qui le firent et le font, même subrepticement, qu'il faut viser.

  • 1903 - Opération en sommeil jusqu'en 1956 ou Georges Burrou réintroduit la technique ?
Appareil sexuel masculin mal conformé d'une personne de 20 ans, faux hermaphroditisme, mosaïcisme, choisissant le sexe féminin - A partir de peau de pénis retourné pour produire une invagination. cf. J. Roddle Goffe, A pseudohermaphrodite, dans lequel les caractéristiques femelles prédominaient Opération pour le retrait du pénis et de l'utilisation de la peau le recouvrant pour la formation d'un canal vaginal, American Journal of Obstetrics et maladies des femmes et des enfants , 48 : 6, 1903: 755-763

L'opération que le 
queerisme servant le transvestisme opératoire en poussant des personnes saines et sans syndrome à des mutilations et reconstructions semble prétendre que toute dysphorie sexuelle serait la révélation d' l'hermaphrodisme psychologique -

 De plus en plus, des jeunes femmes ciblées, qui ont perdu ou n'ont jamais possédé l'estime de soi et de son sexe, que le féminisme a mis tant d'efforts à promouvoir... Copier les hommes devenant un nouveau vieux leitmotiv qui fustige la binarité sexuelle qui serait au contraire spectrale. Continuum ou non, peu importe, à ce moment-là quel serait l'intérêt d'exiger d'être de sexe masculin, ou féminin, puisque selon cette idéologie, les deux sexes n'existent pas et seraient à proscrire.

Les amputations identitaires, soutenues par l'idéologie du droit à l'autodétermination des peuples et des individus, vont faire suite, s'affiner et se confondre avec ces reconstructions en cas de mosaïcisme (syndromes chromosomiques), auxquelles auparavant procédé sur les nouveaux nés afin d'éviter les risques, notamment cancérigènes, également sociaux, et qui sont désormais pour certains pays laissées à l'appréciation de l'âge adulte des faux hermaphrodites.
  • 1916 - D'un siècle à l'autre, Urania se réveille à Paris en 2019 en mère supérieure

    On la préférait le chignon dans les nuages, en muse de l'astronomie.
Portrait allégorique d'Uranie, par un disciple de Louis Tocqué

Sans Urania (journal christiano-uraniste, nymphe toute convaincue par Karl -les homosexophiles s'identifiant à des frères et des soeurs en troisième genre ?), lesbianiste et suffragiste, auquel participe un Thomas Baty sous pseudo féminin, le scoptisme aurait-il vu le jour avec autant de facilité, adopté confraternellement par le lesbianisme radical ? A peine abordée l'égalité des sexes, infléchissant tout le féminisme radical cherchant son apogée avec l'aide de chirurgiens complaisants la négation du sexe. Alison Oram (2001) Feminism, Androgyny and Love between Women in Urania, 1916-1940, Media History, 7:1, 57-70 https://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/1368800120048245

Pur esprit, l'accident du corps -Le créateur s'est trompé- On s'y substitue, on dégage les organes, le corps, pour faire croire que ne subsisterait que la catégorie sociale, la pure idée à terme unique de personne sans sexe, comme l'appela de ses voeux, Urania (muse céleste) servant au pied de la lettre la croyance de l'uranisme d'Ulrichs, reprise pas Hirchfeld (eugéniste), Benjamin, Kinsey, Money & alii
"En Uranie, il n'y a ni "hommes", ni "femmes"" -"Le sexe est un accident" / "There are no 'men' or 'women' in Urania." - "Sex is an accident"
Du vrai pour partie ne fait pas la Vérité - Ainsi de Wittig -"la lesbienne n'est pas une femme", dit-elle, une sorte de négation du désir personnel féminin, qui ne serait que dicté par la société, ainsi que du fait biologique, biochimie, génétique-, et bien évidemment que l'on naît fille. Puis bien plus récemment, Preciado / Despentes, françaises contemporaines, ont emboité le pas comme un seul homme de croire que la mutilation sexuelle résoudra les problèmes. Pas très matérialiste tout cela et daté. Comme s'il n'y avait que la relation sociale qui fasse femme, si cela était de son temps concernant aristocrates et bourgeoises principalement, cela ne l'était déjà plus pour nombres de filles grandissant en France de la génération suivante, comme la mienne. Bien illusoire, puisqu'elle a repris les grandes lignes de l'uranisme créé par des hommes et pour des hommes..
"ce qui fait une femme c’est une relation sociale particulière à un homme, […] relation à laquelle les lesbiennes échappent en refusant de devenir ou de rester hétérosexuelles » (1980b)https://worldgender.cnrs.fr/notices/monique-wittig-ou-le-lesbianisme-intraduisible/
Alors que sans sexe, le sexe féminin également détruit, le féminisme de l'égalité des sexes est annihilé. De l'anti-féminisme à l'état pur, doublé de la négation de l'homosexualité ?!
"Je ne suis pas homme je ne suis pas une femme je ne suis pas hétérosexuel je ne suis pas homosexuel je ne suis pas bisexuel. Je suis un dissident du système genre un genre. Je suis la multiplicité du cosmos..." Paul Preciado, Un Appartement sur Uranus, préface Virginie Despentes, Grasset, 2019 
La revue anglaise ne parait pas si féministe que cela, hormis partiellement de son action de suffragisme et de liberté sexuelle, puisqu'il milite pour la disparition des sexes. Quand le féminisme a-t-il jamais consisté à effacer le sexe féminin dans son entier ou son détail et, par conséquent, les individus du sexe ? Ourania, a fortement impressionné certains esprits avec une sorte de rejet total de son propre sexe féminin ?

Foin des injonctions, monothéiste, polythéiste ou uraniste
- Heureusement, que ni mère supérieure, ni père n'ont plus à dicter que l'on devrait être lesbienne pour ne plus subir une féminité soumise, ou hétérosexuelle pour mener en sous main, ou être menée !
  • 1918 - Who is the 1st FtoM ? (Acronyme Female to Male)
De woman à man, suffirait de couper le wo ? Hystérectomie "volontaire" d'Alberta Lucille Hart to Alan Lucil prétendant la rendre ex-female devenue male.
"...psychiatre américain Joshua Gilbert. Gilbert en vint à la conclusion que Hart était psychologiquement un homme en bonne santé mentale bien qu'il ait un corps de femme."  http://spooksrus.tripod.com/circle/tranhist-timeline.html
  • 1922 - 1er MtoF (male to female au sens moderne puisque dans l'antiquité on en connut)
Rudolph Richer >Dorchen - Bon à tout faire dns l'Institut, castré par Felix Abraham, élève de Magnus Hirchfled (sexologue et eugéniste berlinois) et en 1931 amputé de son pénis par Levy-Lenz qui devint par la suite chirurgien plastique au Caire -On ne sait s'il eût des contacts avec Georges Burrou qui opéra Coccinelle, artiste de music'hall, travesti opéré célèbre, dont documentaire tout à fait intéressant, où disant que si c'était à refaire, ce ne serait peut être pas l'option retenue (à l'époque, aucune information scientifique) -http://www.hirschfeld.in-berlin.de/institut/en/personen/pers_11.html
http://www.hirschfeld.in-berlin.de/institut/en/personen/pers_34.html

Toujours de constructions élaborées par de mâles architectes, inventions plastiques ? Il est vrai que les ovaires découvertes qu'en 1672,

 "A peine quatre ans plus tard, Van Leuuwenhoek  découvre les spermatozoïdes. Patatras, tout s’écroule. Voilà brusquement la femme démasquée : il ne s’agissait pas d’un homme !?http://sexes.blogs.liberation.fr/agnes_giard/2014/02/invention-de-la-femme-viens-poupoule-viens-.html 
  • 1930 - Tentative de greffe d'ovaires - Un des cobayes victimes du sexologue politique Hirschfeld et ses acolytes fût Einar Mogens Wegener /Lili Elbe succombe lors de sa cinquième opération par Kurt Warnekros à Dresde.
Lors de la seconde opération, le pénis est enlevé et des ovaires sont transplantés. Ceux-ci sont par la suite retirés à cause de complications exigeant une troisième et une quatrième chirurgie, durant lesquelles on trouve des preuves de la présence d’organes masculins et féminins. http://europeupstairs.com/2011/03/25/lili-elbe-la-premiere-intersexuelle-operee-etait-danoise-2/ 
Celui qui sert post mortem à la propagande transactiviste a été victime de la tendance d'être obligé de sortir de l'état d'hermaphrodite par la mutilation et l'hormonalisation, alors que cette même mouvance se sert des hermaphrodites, dits intersexués désormais, pour fustiger les mères, parents, médecins qui choisissaient le mieux conformé des deux sexes pour le nouveau-né...L'emploi de "transsexualité" désormais perçu comme injurieux, nous utilisons l'expression plus aisée de "personnes trans" ou transvesties.

Toujours dans l'aura d'influence de la sexologie naissante hirschfeldienne et freudienne - Ceci s'inscrit logiquement dans les balbutiements des greffes, et la tendance eugéniste de l'époque, à lire les expériences et greffes lamellaires du Dr Samuel Serge Voronoff qui défrayèrent la chronique de l'époque. 
500 millionnaires cédèrent aux sirènes endocrines. https://stringfixer.com/fr/Serge_Voronoff
"C’est en Egypte, où il part officier en tant que chirurgien auprès du Khédive en 1896, que le médecin observe et compare la physionomie des eunuques. Le jeune docteur établit des liens entre l’apparence physique et les organe génitaux. Il reste en Egypte pendant 14 ans et rentre en France après son divorce avec son épouse Margueritte Barbe, fille de François Paul Barbe, promoteur de la dynamite en France."
"Au début des années 1930, plus de cinq cents hommes avaient été traités en France par sa technique de rajeunissement, et des milliers d'autres encore de par le monde, à tel point qu'une clinique spécialisée fut construite à Alger" https://fr.wikipedia.org/wiki/Serge_Voronoff
"Entre 1896 et 1910 le docteur Serge Voronoff va y acquérir une fort belle position sociale, sa situation officielle et influente l'autorisant à donner un élan moderne à la médecine en Egypte. Il épouse une demoiselle Barbe en 1897. (...) Bie n que la notion "d'hormone " soit acquise depuis 1905 (W. B. Hardy) la physiologie endocrine n'était pas percée à jour. Il présente au XXVe Congrès Français de Chirurgie de 1912 à Paris ses premiers résultats sur des greffes ovariennes expérimentales sur brebis castrées. Il affirme la vitalité du greffon un an après, au contrôle histologique et la fécondité des brebis greffées, résultats qu'il confirma à Londres au XVIIe Congrès International de Médecine en 1913 (...) U ne fois la grande guerre terminée, Voronoff se consacre à la recherche "des moyens de rajeunir un organisme affaibli, vieilli et d'augmente son énergie vitale", étant convaincu du rôle hormonal des testicules comme stimulants de cette énergie à la suite de ses observations faites au Caire sur des eunuques et des publications de T. Willis (1674), Brown Sequart (1869) et Marro et Sacchi (début XXe), non seulement responsables des caractères sexuels secondaires mais stimulants directs ou indirects de tout l'organisme. L'implantation de testicules de divers animaux à d'autres, dans différentes localisations de leur corps, a été réalisée dès 1767 par John Hunter suivi entre autres par Berfhold (1849), Philipeaux (1858), Paul Bert (1863), Griffith (1898), Castle et Philipps (1909) et Pezard (1912) avec, comme résultat, la résorption rapide des greffons après une phase inflammatoire aseptique.
Les expérimentation s de Serge Voronoff ont début é en 1917 avec 120 boucs et béliers installés dans les écuries du Parc des Princes que possède la Station Physiologique du Collège de France. Il greffe des testicules entiers sous la peau, dans les muscles, dans le péritoine puis dans les bourses et constate une rapide résorption, en l'absence d'anastomose vasculaire réalisable. L'implantation de petits fragments est
aussi un échec. L'observation lui fait choisir définitivement le feuillet pariétal de lavaginale entourant les testicules comme site de ses greffons en respectant les testiculesexistants. Chaque site reçoit un testicule découpé en 4 à 6 languettes de 5 m m d'épaisseur" https://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx1996x030x002/HSMx1996x030x002x0163.pdf

 Avant lui, d'autres empiriques  

Le physiologiste Charles-Edouard Brown-Séquard (1817-1894), successeur de Claude Bernard à la chaire de médecine expérimentale du Collège de France, avait initié le mouvement en ingérant de l’extrait de testicule de singe (notant un renouvellement de ses prouesses sexuelles), puis en concoctant un brouet couille de hamster et de chien, semence et sang, destiné à prolonger la vie, rebooster la sexualité, aiguiser la cognition et — ça ne peut pas faire de mal — « améliorer significativement le flux urinaire et la puissance de la défécation ». À sa suite, le Grec Skevos Zervos (1875 – 1966), délaissant la popote pour le chriurgical, avait transplantés les gonades de jeunes chiens et lapins dans de vieux chiens et lapins, suivant le principe de bons sens qu’il valait mieux directement transplanter l’usine à substance chimique afin de bénéficier en continu de sa production en interne plutôt que de s’injecter des substances externes au pouvoir éphémère. C’est ce même Zervos qui le premier, en 1910, appliqua la recette sur le singe et l’homme. L’Américain G. Frank Lydston (1858 – 1923) passa ensuite à l’étape suivante : greffer des testicules humains sur un humain. Les donneurs étaient deux adolescents accidentellement décédés et le receveur nul autre que lui-même, ce qui, reconnaissons-le, suppose tout de même d’en avoir une belle paire, même si on ne sait plus très bien à qui elle appartient… Dans la foulée, le Dr Leo Stanley (1886 – 1976), chirurgien en chef de la riante Prison d’État de San Quentin, en Californie, manipula en nombre des gonades de détenus, de boucs et de cervidés." https://headbangingscience.fr/quand-la-recherche-part-en-couilles-de-singe/

On peut dire là que les femmes se trouvent définitivement embringuées dans les castrations qui n'étaient que masculines jusqu'au XXème, et pour justifier, venir en apport humaniste d'égalité des deux sexes, confondus donc. On peut dire que c'est de l'instrumentalisation du sexe féminin par ces messieurs, féminisées mais non pas féministes au sens politique, même lorsqu'ils s'allient les lesbiennes et les suffragistes en prônant le vote féminin.

Mathilde de Morny, Missy - Colette et Willy

Paris, victime des croyances uranistes, adolescente poussée par son beau-père de Sesto à croire à sa virilité juste parcequ'elle aime les femmes, comme La Fragosa, toréador ? Une carte postale de publicité - Où Willy joue sur l'androgynisation* de Colette par le costume masculin, influencée, comme on le lit dans ses écrits, à croire à l'androgynie toute puissante, croyances gnostiques de la scission punitive en deux sexes ?

L'on connait Mathilde de Morny, travestie et lesbienne (de 1905 à 1911, amante officielle de Colette, délaissée par Willy, qui penche pour le troisième sexe, des moeurs berlinoises décrites par le même citant Hirschfeld ?) qui se met en scène dans des rôles dominants voire violents, peut-être inspirés par Berlin et les Skoptzy russes de faire procéder à une hystérectomie et masectomie double (sous réserve) se faisant appeler M. le Maruis. Pour l'instant sans sources sur les lieu et chirurgien -autre légende comme Einar Elbe qui nourrit le transgenrisme-, qui la menèrent à son trépas après un hara-kiri raté
"en 1944, se suicidant par le gaz,à 86 ans, renfermée sur elle-même, ruinée et très seulehttp://aventdudomainepublic.org/morny

Curieuse opinion et raisonnement, les relations sexuelles féminines évitant toute grossesse, comme ce faisant dans les harems depuis toujours


Gérard Bonal, Des Américaines à Paris : 1850-1920, 2019
https://www.babelio.com/livres/Bonal-Des-americaines-a-Paris--1850-1920/1242364

Les stades sexuels intermédiaires d'Hirschfeld pacsés avec la gender identity / roles de Money aboutissent à des montages genrifiants divers qui brouillent les deux sexes, la scissiparité mais surtout portent atteinte aux droits à la protection et sécurité des fillettes et des femmes en premier. Benjamin suit et Kinsey. 

Construit sa notoriété sur The transsexual Phenomenon, qui parait en 1966, influencé et s'étant manifestement concerté avec Magnus Hirschfeld (qu'il visite plusieurs fois à Berlin où Hirchfeld lui fait faire le tour des grands ducs des boîtes transvestiten, notamment L'Eldorado), Georges Burrou et John Money - HBS, Syndrome Harry Benjamin, son site recommande de ne pas utiliser le vocabulaire "trans" concernant HBS,
"We strongly recommend that you NEVER use Transpeak Terminology to refer to yourself or others. It only spreads the misconceptions that are already current in society.http://www.shb-info.org/syndromeharrybenjamin.html
"(...) « les vrais transsexuels ont le sentiment qu’ils appartiennent à l’autre sexe, ils veulent être et fonctionner en tant que membres du sexe opposé, (...) La caractéristique principale du syndrome repose sur la conviction : il s’agit, chez un sujet dont la physiologie est normale, de la conviction d’appartenir à l’autre sexe. Cette conviction, souvent issue de l’enfance, est constante et donne lieu à l’âge adulte à des manifestations telles que le travestissement, d’abord privé puis public,..." http://fr.wikipedia.org/wiki/Transsexualisme
Ainsi, une patiente fortunée soutiendra son service et entretiendra dès lors son réseau de facilitation des transitions, Rita Alma Erickson, connue pour avoir subi double castration, hormonale et chirurgicale totale, devenue Reed Erickson. http://en.wikipedia.org/wiki/Reed_Erickson

Sur son modèle, des médecins ne cesseront plus désormais de se croire fondés à réaliser des "sex reassignation" et "gender reassignation", castrations (mutilations du sexe) , en prolongeant toujours plus avant le fond des thèses uranistes et de ses premiers expérimentateurs que furent Magnus Hirschled, Felix Abraham, Eugène Steinach. http://www.fastbleep.com/medical-notes/surgery/26/73/560
  • 1958 - Casablanca, Georges Burrou - Celui-ci introduit au Maroc le traitement hormonal et convainc un artiste travesti, Coccinelle, pour l'opération. Cette clinique avait-elle un lien avec l'établissement Voronoff, évoqué plus haut au Maroc puis à Algezr ?
Sa technique est reprise aux Etats Unis dans la foulée par Harry Benjamin. 

Pourtant, aucun besoin d'être essentialiste -ce que le présent blog sans âme ne peut en aucun cas couvrir, puisque tout d'un bloc hylémorphique- pour comprendre de quoi se rendit coupable John Money et que prolonge ses héritiers. http://cafaitgenre.org/2014/02/25/genre-et-feminisme-pourquoi-vont-ils-de-pair/

Pourtant dans les faits, cela ne comporte rien de féministe puisque, dans un cas, ces opérateurs font passer pour partie congrue l'organe sexuel fort complexe des femmes, en prétendant à leur patient qu'une invagination serait un vagin (vaginale des testicules retournée ?), un pénis arasé pour un succédané de clitoris, un scrotum réagencé en approximatives nymphes, des poches de liquide physiologique pour des seins. Et, dans l'autre cas FtoM, ce sont les plus lourdes opérations d'ablations non seulement de l'organe sexuel mais aussi de tous les attributs secondaires avec des prises d'hormones massives (sans Mediator) puis encore une série de d'opérations pour s'approcher du sexe opposé, là aussi en approximation et apparence. Les satisfactions restent très inégales et les estimations de suicide suite aux opérations paraissent élevées. L'on peut questionner en quoi cela consiste un progrès pour les patientes et les patients. 
  • Entre juillet 1963 et 1985 - Robert Jesse Stoller et Greenson, psychanalystes, freudiens
Le roman de définition des femmes par des hommes- Où l'on peut se poser question de la vision des prêtres puis de celui de la psychanalyse si concordantes quelque part (je ne vous dis pas où, vous trouverez seuls) sur leur vue de la lesbienne (trop gros clitoris suralimenté en terminaisons sanguines -prolapsus raté ?) et donc de l'organe sexuel féminin plus généralement-
"La manière dont le corps des femmes était compris à l'époque reste liée à la conception de la sexualité féminine d'alors. La vulve était vu en pénis rent(é ; l'homme représentant la perfection naturelle, l'on pensait que la nature tentait de se corriger par ce prolapsus génital, transformant le vagin de certaines femmes en pénis" p. 14–16, Rebecca Jennings, A Lesbian History of Britain, Greenwood World Publishing,‎ 2007
On sent poindre le nez de l'orientalisme yin yang - Voulant prolonger ses pistes sur la bisexualité originelle, certains font entrer définitivement le genre (sexuel socio culturel) dans le champ psychologique. http://link.springer.com/article/10.1007%2Fs10508-010-9665-5#page-1
"Le terme identité de genre (…) renvoie au mélange de masculinité et de féminité dans un individu, ce qui implique que l’on trouve et la masculinité et la féminité chez chacun, mais sous des formes différentes et à des degrés différents.". Voir p. 91 et 93, David Haig, The Inexorable Rise of Gender and the Decline of Sex: Social Change in Academic Titles, 1945–2001,  Archives of Sexual Behavior, Vol. 33, No. 2, April 2004, pp. 87–96. http://www.oeb.harvard.edu/faculty/haig/publications_files/04inexorablerise.pdf
R. J. StollerSex and Gender, Hogarth, 1968 -
"Systèmes cérébraux" / 1985 - "identité de genre" - précise et contribue à la consécration de "gender", "en dehors de quelques exceptions il existe deux sexes: l'un mâle, l'autre femelle » ....( Il semble qu'à l'avenir sera ajouté un nouveau critère : celui des systèmes cérébraux.)", restant sous un angle pathologique et de la "fragilité du système psychique d'identité sexuelle" http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Stoller
Il a constamment travaillé à partir de Arnold Lowman/Virginia Charles Prince, pharmacologue, http://www.glbtq.com/social-sciences/prince_vc.html
qui éditait Transvestia, devenant une célébrité d'organiser un solide réseau. http://en.wikipedia.org/wiki/Virginia_Prince
  • Taxonomie Blanchard
Vers 80, Blanchard catégorise les hommes transgenres, ex-transexuels, ex transsexuels, en androphile -dysphorie créée par les attentes et préjugés sociaux envers l'homosexuel, "inverti", "femmelette", "tapette", etc.- et autogynéphile -excitation d'imagerie érotique personnelle de ce qui représente à leurs yeux le sexe féminin et ses membres- https://fr.wikipedia.org/wiki/Classification_des_personnes_transsexuelles#Typologie_du_transsexualisme_de_Blanchard_(ann%C3%A9es_1980)

Alors le fait  principalement d'hétérosexuels transvestis, travestis en maîtresse de maison pomponnée américaine (règne des stéréotypes sexistes en tout, s'il en est, et non remis en cause dans les prises de parole du documentaire américain) perçus comme une rébellion politique par certaines personnes (A voir à ce sujet l'illustration documentaire de Casa Susanna (Tito Valenti et d'autres chefs de "bonne famille"), maison de villégiature de 1959 à 1968 à Hunter dans la région de l’Etat de New York des Catskills -Où n'est relaté par eux nul lien avec les queers du bar de racolage Stonewall, à partir d'où des transexuels hormonés prostitués  exigèrent l'ajout du T au sigle LGB, puis le Q. https://www.youtube.com/watch?v=AEbmzkLD2-0) 
  • Les hommes, y compris queeristes transinistes, définissent juridiquement "la femme" et le sexe féminin par défaut de pénis et dosages artificiels d'hormones stéroïdes
Deux décisions notables de départ (déjà évoquées plus haut), pavés machistes (macho droit devant), sur lesquelles sont construites toutes les demandes de changement administratif de sexe d'état-civil, et légitime les toujours plus nombreuses revendications transgenristes, comme celles d'ILGA ou d'Existrans, et la prétention à des droits des genres*, trans entre autres, obligatoirement concurrents du Droit du sexe féminin.

La définition de ce qu'est une femme a toujours été dite par les mâles de l'espèce, et en tribunal de droit moderne, la première fois ci-dessous. Sur ces deux décisions de justice définissantes se basent juridiquement toutes demandes de changement de prénom et de sexe administratif de dénégation sexuelle, qu'ils se reconnaissent transsexuels (pathologie de dysphorie sexuelle), transexuel (croyance du sexe indifférencié), ou transgenre (négation du sexe biologique, choix et autodétermination), avec ou sans hormones de synthèse et mutilations sexuelles et reconstructions de ressemblance.
L'union sacrée de la définition des femmes par les hommes ! Passés les deux seuils et le marié est dans la place...

- 1945
 - Seuil 1 - En Droit helvète, femme de droit à défaut de fait :
Juridiquement, la première substitution du sexe par le genre se trouve relatée par la décision du Tribunal Cantonal de Neufchâtel- La Chaux de Fond, à Requête de Arnold-Léon Leber (Recueil de jugements) établit que Mme Arlette-Irène Leber est une femme en droit, sinon dans les faits, et rejette de la demande d'un de ses experts de ne pas l'autoriser à se marier en tant que femme. C'est coton à suivre...

- 1969 - Seuil 2 - Francis N. Pecora, juge US, édicte a contrario ce qu'est une femme de fait et de droit
"Un transsexxuel mâle soumis à une réassignation sexuelle est anatomiquement et psychologiquement une femme de fait." / "a male transsexual who submits to sex-reassignment is anatomically and psychologically a female in fact."Meyerowitz, Joanne, How Sex Changed: A History of Transsexuality in the United States Cambridge, Massachusetts: Harvard University Press, 2002
Croire que le sexe féminin serait copiable par mutilations sexuelles, non seulement en passe de devenir une norme, s'incarne plus récemment dans la tendance de femmes convaincues de la prétendue utilité des mutilations sexuelles pour gagner le lieu hiérarchique masculin, pour ce faire, se munissant d'une copie de pénis ; Freud performatif avant l'heure s'est-il réincarné ? Leur nombre croit régulièrement puisque cette vision mystique du sexe est adoubée par le Conseil de l'ordre, en place du "primum non nocere", avec ses membres favorisent la croyance de ce que le sexe féminin serait copiable et interchangeable. Joli arrangement qui permet de faire entrer dans les moeurs : 

- suprémacisme des croyances individuelles, 

- sabordage du principe de non atteinte à l'intégrité du corps, 
- déstabilisation de l'identité administrative par l'identité psychologique, au gré de désirs personnels,
- enfants convoqués à stopper leur puberté pour faciliter les mutilations génésiques à leur majorité.

Si le genre n'est qu'idées, le sexe n'en est pas qu'une, ce que ne parait pas savoir ce juge de droit divin qui définit la femme à sa guise, mieux qu'un théologien ? Pourtant, ces juges, avocats, médecins, psychanalystes définisseurs ont pourtant séjourné avant de naître en tant qu'homme, et être humain et être de sexe masculin, dans un organe féminin, et le nier ensuite et conformer à leur idée castratrice, diminuante, tant physiquement que symboliquement !  Il faut donc faire un détour mystique :
  • 1772 - Sous le sceau des croyances et de la mystique du sexe
Hors les coutumières mutilations sexuelles de quatre types, notamment infibulations et excisions féminicides, l'on ne connait qu'une seule secte qui eût recours aux mutilations sexuelles transcendantales des deux sexes
Nous venons donc de voir que l'exemple contemporain prétend annihiler les genres, et de fait les sexes aussi et nous avons donc cet exemple des Skoptzys ("скопцы") qui s'achètent un karma en négatif en détruisant le plus possible le sexe impur ? Résurgence de la croyance théogonique du 3ème sexe androgyne (voir Hésiode, ainsi qu'une trentaine de divinités de par le monde) et des gnostiques chrétiens, néo syncrétisme de la mystique du sexe ? 


Cette secte en 1772 à Toula - 
Refus des organes et attributs sexuels par dégoût de la sexualité censée appartenir au domaine du mal, rappelant bogomilisme et catharisme liant la pureté à l'abstinence-

Secte sexuelle et blasphématrices honnies ? L'on voit un certain lien avec la queeristique sectaire, qui calomnie et injurie tout examen raisonné du phénomène en nous traitant de TERF. Cette expression acronymique reste en effet dite dans un but insultant envers les femmes et les féministes critiques et générocritiques. L'accusation de transphobie, peureuse pathologique (définition de la phobie) va aussi contre la société, vue comme malade, ainsi que ses membres hétérosexuels, les cis aveugles, handicapés, incompétents de ne pas voir les bienfaits transgenristes ?

Nouveaux gnostiques peu à peu cheminant jusqu'au 21ème siècle, sauveurs du genre humain ? Le sexe féminin est le mal, on s'en sera
it douté, et le sexe en général en prime.... pratique de courir deux lièvres à la fois. Ce qui rappelle fort les positions antiques...

"...la racine du mal... ne sera détruite qu'à travers la reconstitution de l'unité androgyne originaire..." p. 229, Claudio Moreschini, Enrico Norelli, Histoire de la littérature chrétienne ancienne grecque et latine, Editions Labor et Fides, Genève, 2000
Nous retrouverons plus bas, la version modernisée psychologiste avec test psychométrique à l'appui. Ou lorsque la néognostique fait sa scientiste, oubliant d'être scientifique ?
"Inventaire des Rôles de Sexe (Bem Sex Role Inventory, B.S.R.I., 1974) (...)...chercheuse Américaine croit en l’androgynie psychologique"http://osp.revues.org/3421
En fait copiée par tous plus ou moins avec quelques variations - Magnus au début du XXème siècle, orientaliste fasciné par les coutumes sexuelles (d'autres le sont par les croyances amérindiennes en la matière). Malgré ses expérimentations d'ablation d'organes sexuels du fait de sa croyance dans la bisexualité génique (vu plus haut). Il est vrai que peu importe de savoir si l'homosexualité acquise ou innée, les deux situations ont leurs défauts et qualités. Où l'on voit que se prétendant contributeur 
    "...à l'ethnologie sxuelle, une science qui est "la plus ancienne en regard de son propos, la plus récente au regard de sa méthode"" /"..to sexual ethnology, a science that is "the oldest with regard to its contents, the youngest with regard to its method"" http://intersections.anu.edu.au/issue14/bauer.html

    Bitologie* - Il suffit de se la regarder pour se réclamer de anthropologie ou de la sexologie ? Tous ces chercheurs toujours focalisés sur leur déroutant fascinus devraient passer comme Sigmund et Magnus se sont érigés en anthropologues et sexologues ? Tous donnés pour immenses, alors que fonctionnant pour leurs recherches à l'identique à partir de leurs propres orientations, de leur ego qu'il projette sur autrui, sexe opposé compris. De quoi l'on peut craindre qu'ils aient tenté de justifier par leur travaux parfois contestés, et visiblement pour un grand pan plus que contestables.  

    • 1972 -Anne Oackley - Une féministe britannique adopte "le genre"
    Ce qui n'équilibre de rien le sexage -Autrement dit, cela en est fait de notre liberté d'autodétermination - On a loupé le coche. Les mouches restent en boîte. Celle-ci se charge simplement de transférer les projections de Money et Stoller en sociologie britannique. 
    "En opposant le "sexe biologique" et le "genre comme construction sociale", Ann Oackley enfonçait donc une porte ouverte. Depuis Hérodote au moins (je le répète), personne n’a jamais eu besoin du mot "genre" pour comprendre que les rôles sociaux attribués aux hommes et aux femmes varient dans l’espace et dans le temps et qu’il en va de même des marqueurs symboliques permettant de distinguer le masculin du féminin."http://pedrocordoba.blog.lemonde.fr/2014/03/16/la-quenelle-leau-benite-et-le-loukoum-2-a-poil-le-sexe/ 
    Instinct maternel ? ;) Il paraîtrait donc que des féministes ne seraient pas à l'origine du concept mais l'adoptant malgré les aléas vus ci-dessus.. Convergence idéologique de chapelles nihilistes, identitaires, relativistes ?
    "L’appropriation féministe du genre, au cours des années 1970, se déroulait sur fond de convergences transatlantiques." Éric Fassin, L'empire du genre, L'Homme 3/2008, n° 187-188, p. 375-392. http:/www.cairn.info/revue-l-homme-2008-3-page-375.htm
    Citer l'inventeur du terme genre, pourtant convaincu d'escroquerie de toute façon en la matière, en passant sous silence ses manipulations hormonalistess et comportementalistes sur les jumeaux , reculera de combien de temps le changement de nom des labos qui risquent de devoir se rebaptiser un jour ou l'autre ? Certaines des sciences politiques féministes y voient là déjà comme un catafalque. http://beyourownwomon.wordpress.com/2012/07/31/le-genre-tombeau-des-femmes-mort-du-feminisme/

    Seules les opérations d'adultes seraient admises par la Sécurité sociale après un an de travestissement et un suivi psychologique. Leur nombre n'en est pas connu.  On peut tirer quelque projection du panégyrique de ce chirurgien. http://www.txy.fr/blog/2013/06/25/lincroyable-retard-de-la-france-dans-la-prise-en-charge-des-chirurgies-des-trans/
    Ancestralité des gender identities / identités sexuelles facebookiennes - Après le comportementalisme et la psychanalyse, théorie cognitiviste de l'androgynie de Sandra Bem reprend le graal de la lignée des Numa et de ses héritiers Hirchfeld, Money et Kinsey ? http://pt.wikipedia.org/wiki/Sandra_Ruth_Lipsitz_Bem

    Le fluidisme* germe :
    "Concernant Sandra Bem, hommes et femmes androgynes sont plus flexibles et mentalement plus sains que les mêmes virils et féminines" /"According to Sandra Bem, androgynous men and women are more flexible and more mentally healthy than either masculine or feminine individuals". http://en.wikipedia.org/wiki/Androgyny
    On y peut voir que le commun à tous est l'androgynie, et que l'hétérosexualité ou hétérosexophilie devient sous catégorielle de l'état androgyne. http://en.wikipedia.org/wiki/Gender_schema_theory

    Le BSRI transformé au fil des années en "schéma de genreaurait-il donc donné son impulsion aux 56 étiquettes allosexuelles, queeres, dont la dernière prend en compte l'androgynie sacrée des berdaches (voir plus haut mystique du sexe), selon l'employé de facebook qui mit en place ces autodictions* en s'inspirant de Bem.


    De Bem à hen (cf. éducation scolaire neutre suédoise)- La démultiplication androgynique - Semble avoir essaimé par le neuromarketing des réseaux sociaux ? Ainsi, les filles (qu'elles soient lesbiennes ou pas) par engouement de masse vont pour certaines se déclarer cis (antonyme de transgenre/transvestiten) ... toujours devant s'ajuster à la fonction du neutre épicène masculin ; en un mot, pas de grand changement puisque depuis toujours forcées de s'ajuster aux pères & fils. http://www.france24.com/fr/20140214-facebook-homosexualite-lgbt-genre-internet-choix-transgenre/
    • "3/4" (à partir de 60 données croisées ci dessous indiquées, de caractéristiques autodictives* où l'on distingue les sexualités périphériques) - En fait à regarder de près, la psychologue Sandra Bem n'a conçu que trois états, 
    "masculine, feminine, androgynous, or undifferentiated"

    La polarisation du sexage  sur la base de l'androgynie, qui rappelle la bisexualité freudienne des origines (inspirée des gnoses), considère l'éventail des rôles sexués -Inutile d'ajouter social à rôle, autant éviter la lapalissade du qualificatif-, au contraire de la bicatégorisation circonscrite à la masculinité  et à la part sociale de la féminité. Cette conception perlée a entraîné l'apparition du rejet militant de ces deux pôles. Ceux-là se trouvent dilué à l'infini désormais. 

    • "5" - La militante queer Fausto-Sterling, biologiste, listant les "abnormalities" se contenterait de reprendre Kinsey ?  "mâlefemelle, merm, ferm, et herm". Où il se voit facilement qu'elle ne fait rien de plus que dissocier lesdits auparavant faux et vrai hermaphroditisme.
    Sur la question de cette multiplicité de l'hermaphroditisme nouvellement dite par le queer intersexuation, qui en soi ne serait donc pas un sexe mais un "entresexe", certains à l'autre bout abolissent tout. Certains humanistes athées sont séduits et défendent becs et ongles la quintitude sexuelle. D'aucuns dissocient le sexe biologique du genre, d'autres intègrent le sexe biologique dans le genre. La thèse du genre unique et ses fluidités se superposant à la formule genre humain pour espèce humaine. voir p. 18-23, The Five Sexes, Revisited, Sciences, vol. 40, n° 4, New York, 2000 http://archive.wikiwix.com/cache/?url=http://bms.brown.edu/faculty/f/afs/5sexesrevprnt.pdf&title=texte%20int%C3%A9gral

    • "7" érotismes principaux - Kinsey et ses rapports en sept cases

    ScoreExplication
    0Exclusivement hétérosexuel(le)
    1Prédominance hétérosexuelle, expérience homosexuelle
    2Prédominance hétérosexuelle, occasionnellement homosexuel(le)
    3Bisexuel sans préférence
    4Prédominance homosexuelle, occasionnellement hétérosexuelle(le)
    5Prédominance homosexuelle, expérience hétérosexuelle
    6Exclusivement homosexuel(le)

    Ce schéma montre la diversité possible des orientations sexuelles. Selon Kinsey, tout être humain porte en lui une composante hétérosexuelle et une composante homosexuelle.https://fr.wikipedia.org/wiki/Rapports_Kinsey

    • "48" - Le sociologue Eric Macé prétend à un peu moins, en réagençant en éventail

    "il en existe 48, soit le continuum d'intersexe entre le pôle mâle et le pôle femelle."  (...) « Comprendre les relations entre sexe et genre à partir de l’intersexuation : la nature et la médicalisation en question », par Eric Macé, dans Médecine, santé et sciences humaines, dirigé par Jean-Marc Mouillie, Céline Lefève  et Laurent Visier, Paris, Les Belles Lettres, 2011, (612-619)"http://sexes.blogs.liberation.fr/agnes_giard/2013/06/il-nexiste-pas-2-sexes-m%C3%A2le-et-femelle-mais-48.html

    Déjà que vient faire en biologie un sociologue ? Et, donc être hermaphrodite serait entre les sexes (on pourrait aussi dire avec les deux "consexué*"

    Les queeristes* biologistes transactivistes parlent précisément d'"abnormality" dans leur rapport scientifique, qui confirme ainsi les deux sexes avec chacun ses anormalités. Il existe donc bien un continuum des féminicides grâce au sexage mais de continuum sexuel, fondé sur le mosaïcisme (des syndromes ailleurs cités)... ? Continuum reste un terme séduisant mais sujet à caution qui confirme parfois un illogisme. Les intersexes, syndromes d'"anomalité" génétique" sexuelle dépendant soit du sexe féminin, soit du sexe masculin (23e hétérochromosome), toujours deux en causes X et Y, cas auparavant appelés "faux et vrais hermaphroditismes". Plutôt rares, et n'atteignant pas 4 % comme John Money, le psychologue comportementaliste, l'estimait.
    "Les normes statistiques sont constituées de valeurs moyennes et de leurs données de dispersion et s'appliquent uniquement à un groupe correspondant. Ainsi, les normes statistiques indiquent mathématiquement la valeur caractéristique moyenne."

    Nous voilà toujours à la case départ.

    "31" pour NYC, nombre arrêté par la commission des droits de l'homme de New York. Permet d'interdire toute discrimination à l'égard de ceux qui s'en réclament et marque d'une nouvelle pierre noire le reflux des droits des femmes au nom de toilettes mixtes, où elles sont soumises à l'amende si elles osaient commenter ou refuser la présence d'un homme qui a choisi une des "propositions féminines". L'identité de genre et l'expression du genre déclinées dans le document du planning familial qui ne s'occupe plus de contraception et avortement des droits reproductifs des femmes mais d'exprimer sans retenue tous types de sexualité en public, lesdistes sexualités périphériques regroupées en généralistes queers* de toutes croyances sexuelles opposées à la femme de la rue. En pratique, cela aboutit à une amende pour toute femme refusant un "homme indécis", un "ex-homme" dans les sanitaires, ou toute autre circonstance, la libre expression des femmes mise à mal en ce qui concerne leur propre sexe et protection en intimité, autant dire adieu tranquillité et sécurité. Les droits virils au firmament ? https://www.planning-familial.org/sites/internet/files/declaration-droits-sexuels-ippf.pdf

    Ce qui démontre un grand défaut de démocratie et surtout la mort de la liberté d'expression des femmes.
    31 cases de sexage isolées par la carte d'identité émise par New York interdits de discrimination
    "bi-gendered x Cross-dresser x drag king x drag queen x femme queen x female-to-male x FTM x gender bender x genderqueer x male-to-female x MTF x non-op x hijra x pangender xx transexual/transsexual x trans person woman x man x butch x two-spirit x trans x agender third sex xx gender fluid x non-binary trangendre androgyne x gender gifted x gender blender x femme person of transgender experience x androgynous" 

    Amende et condamnations pénales de femmes de ne pas croire au fluide, au spectre, au continuum, et le dire ouvertement ?! Penser biologiquement les deux sexes serait censuré car cela vexe les messieurs qui s'identifient à autre chose que leur sexe mâle. Vous ne croyez pas à l'essence unique de l'espèce, à son fluide unique et androgyne à divers degrés noués  ? Voilà donc que cela coûte cher de ne pas vouloir marcher dans la croyance du sexage unique, du sexe unique en continuum fluide. Si vous ne croyez pas au fluidisme, vous êtes estampillée vilaine désormais dans beaucoup de villes, et poursuivies, sorcières indociles...

    A partir de tous les documents biologiques et médicaux compulsés, nous pouvons constater qu'il n'existe toujours aucune preuve scientifique de la "féminité" en homosexophilie masculine. Et l'on voit toujours nombre de "gays" souffrant de cette image féminisante de leur sexualité, tout comme, les lesbiennes restent victimes de l'image masculinisante de leur sexualité.


    A noter que finalement, ces stéréotypes négatifs sont masqué par le néologisme globalisant à la mode de l'anathème lancé par le mouvement lgbtqia d'homophobe, de transphobe qui jouxte celui d'islamophobe, venu tout droit du globish identitaire ? La censure sexuelle et religieuse atteint des sommets, et on ferait passer la critique des sectes pour de la peur panique et pathologique ?
    • 1985 - 1995 - UN - Nations Unies - "gender mainstreaming" ("suprématie du genre")
    Third World Conference on Women, NairobiKenya. The idea has been developed in the United  Nations development" community. http://en.wikipedia.org/wiki/Gender_mainstreaming -
    "relations entre hommes et femmes basées sur des rôles socialement définis que l’on assigne à l’un ou l’autre sexe". Annexe IV Déclaration sur le sens général du terme "gender". Chen Muhua, Présidente p. 239. http://www.un.org/fr/documents/view_doc.asp?symbol=A/CONF.177/20/Rev.1
     235 occurrences de genre en place sexe. Cela annonce le document plus haut cité du planning familial international que l'ONU adoube des deux mains des droits sexuels qui couronne l'identité de genre si néfaste aux droits des femmes. http://www.un.org/womenwatch/daw/beijing/pdf/BDPfA%20E.pdf
    • 2012 - Union Européenne- Voir également Rapport Züber - L'égalité des sexes métamorphosée par miracle en égalité des genres, voulant dire égalité des rôles sociaux-
    Pourtant le sexe n'est pas le genre, et le genre n'est pas le sexe, et en ce qui concerne les droits des filles et des femmes, qu'il s'agit de protéger, il faut dire qu'il n'y a pas de genre féminin, ou seulement le genre grammatical dit féminin. La gent féminine n'étant pas un genre, l'anglobiche qui ne connait cette nuance a encore frappé avec gendercide / généricidehttp://susaufeminicides.blogspot.fr/2013/10/feminicide-categorie-genericide.html
    • 1986 - L'historienne américaine Joan Wallach Scott  - Cette amie de Judith Butler édifie 
    "Le genre comme catégorie utile d’analyse historique", Les Cahiers du Grif, 1988, numéro 37-38 -http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/grif_0770-6081_1988_num_37_1_1759 
    Appropriation ou imposition, on peut se questionner lorsque l'on voit la prétendue troisième vague du féminisme (on se demande qui l'assigne à un symbole si traître, voire scélérate) qui contiendrait autant de courants opposés ? Cela ne fait pas plus une barque solide voguant vers l'unique droit des femmes mais bien encombrée de rames qui tirent à hue et à dia, les unes vers l'avant, les autres, l'arrière. Une vraie galère. http://fr.wikipedia.org/wiki/Troisi%C3%A8me_vague_f%C3%A9ministe

    Trente ans passés, chérissant toujours le genre ? 

    "Dans un article de 2009 (publié en français dans la revue Diogène) elle a ajouté un triste point d’interrogation à son titre initial : "Le genre : une catégorie d’analyse toujours utile ?"" http://pedrocordoba.blog.lemonde.fr/2014/03/16/la-quenelle-leau-benite-et-le-loukoum-2-a-poil-le-sexe/
    1990 - Littérature, rhétorique et philosophie américaine, Judith Butler, théorie du genre queer

    La théorie queer est devenue sa marque et une autre théoricienne allosexuelle parle de "théorie païenne de la sexualité". Toute proportion gardée, très proche par certains aspects de la théorie de la sexualité humaine freudienne. Camille Paglia, No law in the arena : A pagan theory o sexuality in The vamps and tramps, Vintage books New York, 1994


    De multiples et récentes précisions sur les études de genre (ou de genres) et la (ou les) théorie du genre - Certains, généralement les aficionados du queer butlérien, utilisent les deux expressions de façon équivalente, "théorie queer" ou "théorie du genre", Judith ButlerGender Trouble : Feminism and the subversion of identity, Routledge, 1990. http://fr.wikipedia.org/wiki/Judith_Butler:

    "Dans les années 1980 et 1990, le croisement de la tradition anthropologique américaine et du structuralisme français a donné naissance à la théorie du genre." http://bibliobs.nouvelobs.com/essais/20131213.OBS9493/theorie-du-genre-judith-butler-repond-a-ses-detracteurs.html
    En sa description du genre ne convoque-t-elle pas cette substance, comme une "anima" cousine de celle ressentie et désirée par l'uranisme prussien et le psychanalyste Jung,
    "...qui se figent avec le temps de telle sorte qu’ils finissent par produire l’apparence de la substance, un genre naturel de l’être." ?
    Enfilée donc la soutane de "pionnière de la queer theory" (pour sur, comment aurait-elle refusé ce subi pont d'or offert pour détruire son père spirituel religieux qui l'indispose depuis toujours) et met le turbo dans ce cadre depuis la fin des années 2000, dont le titre montre bien tant une sorte de logique identitariste et nationaliste (cf. queer nationalism). Judith Butler, Trouble dans le genre. Le féminisme et la subversion de l'identité, Paris, La découverte,‎ 2006, p. 109
    "11 - En réalité dans un entretien du [] 1993, Butler déclare ne pas avoir connaissance de l'existence d'une théorie queer dont elle serait une contributrice majeure : "Je savais que Teresa de Laure[n]tis avait publié un numéro de Différences appelé "Queer theory". Je pensais qu'il s'agissait de quelque chose qu'elle avait fabriqué. C'est sur que je n'avais aucune idée de faire partie de la théorie queer"." De l’espace genré à l’espace « queerisé, p. 112 Quelques réflexions sur le concept de performance et sur son usage en géographie Rachele Borghi http://eso.cnrs.fr/TELECHARGEMENTS/revue/ESO_33/Borghi2.pdf

    "J’ai certainement été, avec Gender Trouble, l’une des personnes qui ont contribué à fonder la queer theory. À l’époque, je n’en ai pas eu conscience. Mais je m’en félicite. Je continue à écrire, et à soutenir un certain nombre d’universitaires plus jeunes dans ce domaine. Mais certain/e/s théoricien/ne/s queer se sont proclamé/e/s post-féministes [sic], ce que je ne suis pas " (Jami 2003 : 127). Voir aussi Butler (2005a : 13-14; 2006 : 21)" note 3, p. 62, Alexandre Baril, De la construction du genre à la construction du sexe, les thèses féministes post-modernes dans l'oeuvre de Judith Butler.
    Eurêka, Télérama juge de subversivité, et après tant de péripéties a donc finalement dégoté une "pionnière de la théorie du genre" alias "gender studies", alors qu'on nous rabat les lobes, que "ça N'existe PAS ? Mettez donc vos montres à l'heure, ah c'est vrai ce n'est plus possible, plus que l'heure atomique, plus de petit remontoir pour bouger les petites aiguilles... 

    “Dire « je suis contre le genre », c'est dire « je veux que rien ne change jamais" ?" Décidément, on ne lit pas la même presse car je vois partout que, de droite à gauche, tout le monde défend le genre et les nouvelles règles du je, il n'y a que ça, à tous les carrefours, où manquent les horloges- Je l'ai écouté à France Culture attentivement et si elle lit le français aussi bien qu'elle le parle, j'ai peur qu'elle ne se soit que contentée de redire ce qu'on lui dicta  ? 

    "Judith Butler, philosophe : "Le féminisme français m'a beaucoup inspirée" - Pour cette pionnière de la théorie du genre, être un homme ou une femme est une construction. Toujours subversive, la féministe américaine se... " http://www.telerama.fr/idees/judith-butler-philosophe-le-feminisme-francais-m-a-beaucoup-inspiree,107027.php
    Ainsi donc en 2014, la télévision ajoute à la confusion en nous serinant qu'il n'y a pas de théorie du genre, il n'y a que des réflexions sur le genre. Terme diabolisé devenu "mot-démon", comme tout polysème, pourtant nom de nom que le voilà bien défendu par tous les media toutes tendances confondues. http://blogs.rue89.nouvelobs.com/les-mots-demons/2014/01/30/theorie-du-genre-de-quel-theorie-parle-t-bon-dieu-232237
    • Néodéterminisme socialpar subversion de l'identité, sexuelle en premier ? Contribution qui n'est donc pas de préciser particulièrement le concept mais de se servir d'un concept linguistique, la performativité, afin de peser contre la puissance publique et pouvoir de l'Etat en  l'empêchant de définir stablement l'identité de ses citoyens. http://www.cnrtl.fr/definition/performatif
    Peu challant, en fin de compte du bien être collectif (social) qui devrait être la cible et d'avoir créé une mine d'or récurrente pour les industries de biopouvoir, plastique et pharmacochimique, avec à l'avenant des problèmes de santé publique à venir, qui restent indéchiffrables pour lors : 
    "Elle pense donc qu'il ne faut pas confier à l'État seul le soin de décider ce qui est dicible ou pas." http://fr.wikipedia.org/wiki/Gender_Studies
    Les anglicistes sauront mieux apprécier les nuances des critiques faites à cette rhétorique et théorie d'idéologie allosexualisante (queerisante) performative, qui commence à laisser des traces tangibles physiques douloureuses sur des cohortes humaines. http://www.akad.se/Nussbaum.pdf

    La "seconde peau" inscrite par bistouri dans la peau ? Butler soulignait en 2004 l'absence de toute accointance avec Money, tout en gardant le terme qu'il a créé et sa réassignation genre/sexe pour les adultes auquel il s'essaya sur les jumeaux Reimer à fracas et, à ma connaissance, restant taisante sur les arrêts artificiels de puberté de petites filles, se prétendant de sexe masculin, donc des petits garçons, par administration hormonale en vue généralement de mutilations ultérieures, afin de se donner illusion d'appartenir au sexe où elles ne sont pas nées mais dont elles se révèlent irréfutablement pour les médicaments qui ne conviennent pas. 

    La cible de la théorie transgenre reste donc la transgression du genre par l'annihilation du sexe ? Justifier les "gender feelings" qui rendent possible le changement de genre par son amputation, aux fins de prouver philosophiquement que détricoter l'affaire consiste à asseoir que le sexage est délié du sexe (anatomique et génétique) à choisir à sa guise (s'autodéterminer).

    Cette philosophie queere refuse, d'une part, l'opération de réorientation sexuelle d'un nouveau né hermaphrodite vers le sexe le mieux conformé des deux (s
    e référant de même probablement à la circoncision religieuse juive d'office et, d'autre part et au contraire, banalisant la mutilation sexuelle à l'âge adulte ? 

    Ainsi Beatriz Preciado (compagne de Virginie Despentes qui promeut leur idéologie commune dans ses romans), suivant cette école, teste en personne et se produit en exemple sur les plateaux tévé. Selon ces dernières, la justification des mutilations sexuelles de transition réassignatoire résiderait dans l'abus représenté par l'ablation sexuelle (en situation rare de nouveaux nés avec les deux sexes inégalement opérationnelsanciennement dit hermaphrodite et nouvellement intersexué) Pour résumer, supprimer pour ce qui est visible son sexe de naissance pour revêtir les vêtements sociaux de reconnaissance du sexe opposé ? 
    "(...) Défaire le genre. Elle critique aussi bien l’usage normatif d’une théorie constructiviste du genre qui permet à Money de décider qu’un enfant sans pénis doit être éduqué comme une fille, que les théories naturalistes de la différence sexuelle défendues par Diamond, selon lesquelles l’anatomie et la génétique doivent définir le genre." http://littlevampire.canalblog.com/archives/2014/03/15/29439454.html
    Ainsi, l'on peut se poser la question de savoir en quoi permettre à une petite fille ou une femme de devenir en apparence un homme, favoriser pour ce faire leur castration, avec stérilisation ou sans, servirait le féminisme et surtout les droits des femmes en général ? Beauvoir à laquelle Butler s'associe constamment dans les media, où de plus en plus présente en France, trouverait-elle que ce copiage béat du sexe masculin et ses organes est féministe ? Cela fait chic de se réclamer des Françaises ou est-ce pour mieux ensemencer de queer l'espace féministe français ? http://www.franceculture.fr/emission-hors-champs-kate-millett-2014-03-18
    • L'Iran s'est singularisée dans le monde pour avoir poussé ses homosexuels (vus comme travestis et féminins) à se castrer...
    Annihilation des homosexuels, et personne ne dit rien au nom du transgenrisme queeristique ? Dans la foulée, doctement encadrés et bien considérés en malades (voir le double "s") "la transsexualité est établie médicalement et reconnue par un juge religieux" (jusqu'à 23 opérations onéreuses pour parvenir à ce semblant) ; il est vrai qu'aucun droit démocratique n'étant garanti par cette république théocratique, l'état dictatorial n'est pas affaibli en droit par ces permissions religieuses. http://trans-islam.blogspot.fr/2012/12/reportage-en-iran-paris-match.html
    Afin de contourner l'interdiction de détecter le sexe féminin par échographie, l'Inde a saisi au vol cette genrification* propice au sexe mâle et les techniques mises au point grâce à l'activisme transgenriste :
    "(...) : ils les transforment en garçons dès leur plus jeune âge, grâce à une génitoplastie pénienne (...)" Dr Michèle Dayras. http://sisyphe.org/spip.php?article3956
    "Le Dr V. P Goswami, président de l'Académie indienne de pédiatrie à Indore, se dit choqué par ces informations : "la génitoplastie peut se faire sur un bébé normal, quel que soit son sexe, mais plus tard, les organes génitaux ne grandiront pas avec l'influence hormonale et les personnes concernées seront infertiles et impuissantes." 
    TABLEAU des MUTATIONS du GENRE 

    "Old" "genre"

    "New" "genre"
    Définition
    Le "genre" Un système de relations sociales de pouvoir structuré par une division binaire entre les "hommes" et  les "femmes" La catégorisation en étant basée sur le sexe biologique, mais le "genre", comme nous le savons, est un objet plus social que biologique (cf. masculinité et féminité différemment définis en lieux et places divers
    Aspect de l'identité individuelle et sociale, à laquelle vous êtes assigné à la naissance à la vue de votre sexe biologique (mais ce lien "naturel" est une illusion-- de même que l'idée qu'il faille compter avec deux "genres", de même que les deux sexes)
    Oppression
    Le fait d'oppression de ce système social est basé sur la subordination d'un genre (femmes) par l'autre (hommes)



    Fait d'oppression d'un système binaire. Forçant toute personne à s'identifier en tant qu'homme ou femme (ni sans, ni les deux à la fois, ou quelque chose entre les deux ou quelque chose d'entièrement autre) et punit tout ceux qui ne s'y conforment pas. (Oppressant tout autant hommes que femmes, tout spécialement ceux qui ne s'identifient pas avec le modèle prescrit par leur genre)


    But d'une "politique contre  le genre" radicale
    Féminisme : Les femmes organisées pour surmonter le pouvoir masculin ainsi que tout son système de "genre" (Pour certaines féministes radicales, l'idéal tendant à "0 genre")
    "Genre allosexuel*" : Femmes et hommes rejettent le système binaire et se proclament en "hors-la-loi du genre" (cad queer, trans) et demande la reconnaissance de "l'identité de genre" (Dans cette perspective, l'idéal des genres serait… infini ?)

    M/Traduction libre -extrait selon Debbie Cameron and Joan Scanlon at London Feminist Network’s ‘Feminar’ in May 2010, Talking about gender, par Delilah Campbell
    *queer "l'Office québécois de la langue française a reconnu le terme en novembre 2001 et propose la définition suivante: « Le terme allosexuel, formé à partir du préfixe allo-, qui signifie « qui est d'une nature différente », a été inventé pour rendre en français le mot anglais queer. Ce dernier terme, traditionnellement utilisé pour parler péjorativement des hommes homosexuels, a été récupéré, vers la fin des années 1980, pour désigner, dans une nouvelle acception inclusive et axée sur la différence sexuelle, l'ensemble des personnes homosexuelles, lesbiennes, bisexuelles et transgenres. ».  http://fr.wikipedia.org/wiki/Allosexuel
    "Ostrakhos" - Les osselets de la mort (à l'époque de leur utilisation, le jugement de bannir hors la ville valait peine de mort) 
    Des personnes ne s'y reconnaissent en rien et restent rigoureusement écartées avecdes menaces verbales, intimidations, parfois physiques et, ne sont jamais sollicitées, ainsi que leurs alliées, par les media séduits et fascinés par le transgenrisme des queer's theoricians, comme par des najas menaçants qui les hypnotisent. http://lesboseparatiste.canalblog.com/archives/2010/06/19/18360737.html
    • 1998 - Genre neutre imposé par l'Etat ?
    Suède chérie et queerisation scolaire, "Pédagogie neutre" ou l'enfer pavé de bonnes intentions. Une norme substituée à une autre, roulez jeunesse... Je ne prendrais pas de gants que ce soit en suède ou suédine. La belle et douce suédine leurre gravement, succédané, apparences... et cache bien son jeu. On la croirait peausserie et c'est tissu traité de façon à imiter le suède. "Peausserie utilisée surtout pour la confection de gants, préparée à l'envers du sens habituel," http://www.cnrtl.fr/definition/su%C3%A8de

    Hen - Neutralité n'est pas égalité, tout comme identité n'est pas égalité ! 
    Mazette, il y en a qui ne vont pas avec le dos de la cuiller, hein... http://www.arte.tv/guide/fr/048395-000/il-elle-hen

    L'universalisme poussé en son retranchement le plus tordu car, au passage, l'on remarquera donc la tentation non voilée exercée par ce modèle suédois identitaire individualiste neutralisant par la création d'un pronom neutre à l'usage des enfants. Leur organe de sexe biologique devenu neutre, caché, nié, sous prétexte qu'il ne produise plus de catégorie sexuelle et de stéréotypes. Supprimer l'organe devrait, si l'on saisit bien leur logique, faire table rase de la discrimination. Mesure drastique de tyrannie des adultes qui ménage un réveil cauchemardesque sur terre à la petite fille qui sera cruellement confrontée à la réalité de la ménarche de son sexe biologique incontournable.


    De l'ascension à la descencion - "en particulier l'emploi du neutre pour désigner les enfants" et des prénoms qui dissimulent leur sexe biologique aux enfants... Mince alors, ont-ils oublié qu'élever dans le mensonge, c'est tout le missel religieux en deux mots et que cela est donc loin de la Raison et, de surcroît, de toute élévation spirituelle ! On sent bien la tradition religieuse pastorale derrière le rideau...

    Quel triste programme génétique, finalement symboliquement eugynique*. Qui pourrait croire que c'est un progrès transhumaniste d'annihiler le sexe féminin et d'effacer ses différences ? Fondre le sexe féminin dans le sexe masculin, autrement dit au fond nier tout le fonctionnement cognitif de mise en catégorie qui nous permet de discerner le monde, de l'ordonner et de l'humaniser : L'effet final allant à la déshumanisation totale ?


    De bêtification à béatification - Snippa vient de snopp comme zézette vient de zizi (je maudis l'idiot qui a inventé une telle bêtification), le modèle pénil toujours mis à l'honneur- Et l'on voit bien comment cela consiste à remplacer l'égalité par la neutralité ? Quel sens de l'égalité, n'ayant pas de mots pour le sexe de la petite fille, oh miracle on copie et diminue sur modèle du sexe du petit garçon, c'est merveilleux...  - Incohérence et mystique boréales ? 
    "pas de terme pour désigner le sexe des petites filles et nous avons imaginé le mot ‘snippa’ [dérivé du terme snopp qui désigne le sexe des garçons]." http://www.courrierinternational.com/article/2012/03/01/l-egalite-des-sexes-des-le-plus-jeune-age
    Le seul objectif serait-il donc de former un individualiste au masculin neutre, comme quoi on l'a déjà en français toujours à l'avant-garde ;o) ? Un enfant ne s'est jamais forgé son identité lui-même, ce n'est qu'un avatar du gosse tout puissant enfant-roi à la Dolto, sous forme toujours plus individualiste, plus identitaire. Même plus de personne en vue, plus personne ? Totale grisaille de l'absence de libre arbitre. http://360.ch/blog/magazine/2013/05/suede-un-genre-d-avance-22385/

    Ces méthodes sont mises en oeuvre dans cinq écoles certifiées queer (lgbtquia), type de structure plébiscitée par la voix droitière en 2011. http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20130218.OBS9257/suede-au-pays-des-enfants-sans-sexe.html

    Pourtant, l'anthropologue ethnologue à l'origine du concept de "valence différentielle des sexes" souligne "L'égalité homme/femme n'est pas l'indifférenciation" sans que cela n'empêche, entre autres femmes, nombre d'intellectuelles de se pâmer devant l'invention du règne du neutre. Ce qui parait identique nous empêche de différencier, de distinguer et de rendre justice. http://www.slate.fr/france/83201/francoise-heritier-egalite-homme-femme-pas-indifferenciation

    L'on dirait bien que cela nous vient en héritage de l'hermaphroditisme, rebaptisé intersexuation par la ligue LGBTQIA) dont on sait pourtant à présent qu'il n'a rien de monstrueux. Les escargots montrés en exemple ne font peur à personne. Il serait temps de dire la vérité aux enfants s'ils sont nés avec les deux sexes biologiques. Reste à savoir qu'est ce qu'il vaut mieux, attendre ou ne pas attendre l'âge adulte pour privilégier le sexe le mieux abouti des deux ou laisser les deux, si cela ne représente pas un risque pathologique. Il n'en reste pas moins que des pays n'étant en rien au même niveau de santé publique et dans le domaine materno-infantile, des situations épineuses concernant des athlètes inscrites aux compétitions féminines internationales concurrenceront inéquitablement par leurs performances de niveau masculin des femmes, et alors que se révélera aux examens anti-dopage que leurs taux de testostérone indiquent des cryptotesticules et donc un hermaphroditisme indétectable dans leurs nations d'origine.

    Par ailleurs, ce qui se trouve désormais classé en quelque sorte en hermaphroditisme psychologique, le travestisme (appelé désormais trans) est devenu une pratique banale. De plus en plus, il est su que la sexualité humaine se plie à des normes fluctuantes et localistes, qui soit éduquent à des normes homosexophiles masculines ou féminines, ou seulement hétérosexophiles. 
    http://www.slate.fr/story/46739/societe-homosexualite-masturbation-akas
      • Système viriarque patriarcal triomphant - Papa passe-partout- Les queers parlent "genre" pour dire plusieurs choses, égalité des sexes, égalité en genre, voire neutralité du sexe... comme ça leur chante,  au choix. Celui qui passe pour liberté de choisir sexe, ou plutôt simulacre, sur catalogue.
    Sortes de mélanges et d'indifférenciation que chacun pourrait moduler à sa guise jusque physiquement transformer durablement le corps, attributs secondaires et sexe lui-même. Et il n'est pas question là de chant mais subitement d'un droit à l'enfant, y compris pour tous trans, puisque le sexe n'est plus déterminant ni caractéristique ; le genre sexuel prééminent et prédéterminant chapeauterait tout :
     "...précède le sexe ; dans cette hypothèse le sexe est simplement un marqueur de la division sociale". Christine Delphy, 2003, "Penser le genre : quels problèmes ?", p. 94-95 in M.-C. Hurtig, M. Kail, & H. Rouch, Sexe et genre. De la hiérarchie entre les sexes p. 89-102, CNRS Éditions, Paris 2003
    "...c’est la stylisation répétée des corps, une série d’actes répétés à l’intérieur d’un cadre régulateur plus rigide, des actes qui se figent avec le temps de telle sorte qu’ils finissent par produire l’apparence de la substance, un genre naturel de l’être" p. 109, Judith Butler, Trouble dans le genre. Le féminisme et la subversion de l'identité, La Découverte, Paris 2006 http://fr.wikipedia.org/wiki/Trouble_dans_le_genre Explicité notamment par Serge Hefez, Le nouvel ordre sexuel, pourquoi devient-on fille ou garçon ? 
    Ainsi que signifie de réduire la maternité, l'accouchement, le rapport sexuel à de la technique ? Certaines paraissent en avoir la conviction mais est-ce bien là analyse féministe ? Obnubilées, aveuglées par les techniques médicales et le pouvoir du monde de l'industrie chimique, plastique, médicale, apeurées ou fascinées ? Il semble pourtant bien qu'il suffise d'organes et corps au complet pour que cela passe comme une lettre à la poste.

    En tout cas, leur "appareil" (cela ne me serait pas venu à l'idée seule d'appeler mon beau sexe un appareil mais allons-y gaiement, nous suffit à beaucoup et c'est ce que tout de même nombre de femmes vivent parmi nombre de femmes indépendantes, émancipées, conscientes de l'aliénation patriarcale ambiante- 

    Cette phrase misogyne à un degré inégalable en mépris des femmes, les pauvres filles en brousse sans techniques n'accouchent donc pas ? Elles se retiennent certainement de manquer de technique !
    "Pour être enceinte, il faut avoir certaines fonctions reproductives opérationnelles, mais aussi des techniques. Ça ne suffit pas d’avoir un appareil reproducteur biologiquement féminin. " Ursula Del Aguila, Têtu Mag n° 138, nov. 2008, Entretiens Butler / Preciado. http://www.tassedethe.com/cadres/souscadre/journpages/questiongenre.htm#PHILO
    Tout cela reste donc témoignage d'absurdes essais inachevés en variations de queerisation anatomique de la seconde auteure qui s'essaye depuis des années à la copie partielle d'attributs masculins par divers stratagèmes qui ne paraissent efficaces qu'en première impression et ne résiste pas à une analyse approfondie. Tout en en faisant le fer de lance de son combat contre la chape patriarcale des pères religieux du catholicisme qui sont encore puissants dans son pays d'origine ibérique ? Les deux complices paraissent surtout obsédées par les pères contre lesquelles elles ne font que s'arcbouter illusoirement pour avoir le dernier mot ? Quelle meilleure preuve illustrée de ce que les mutilations sexuelles et prises de produits de synthèse, quel qu'en soit le prétexte moral, non seulement ne sont pas combattues mais adoubées et favorisées. Les labos doivent se frotter les mains avec ces intellos qui propagent de telles illusions. Nulle condamnation de l'atteinte à l'intégrité du corps et ses organes ou du biopouvoir de l'industrie pharmaceuticoplastique, bien au contraire. http://www.youtube.com/watch?v=9bOVZVBp5PM

    Beaucoup croient encore que toutes ces théories restent confinées et ne sont pas reprises en fait e acte, alors que rien ne reste là en symbolique. Il y a des effets tangibles dévastateurs, comme toutes ces petites filles qui réclament sans en saisir un seul instant la portée l'arrêt de leur puberté puis leurs mutilations irréversibles avec reconstructions hasardeuses. On leur vend du vent.

    Où l'on voit donc que c'est tout l'inverse de ce que le féminisme réclame en égalité et droits des filles et que la castration androcide? Quelle différence avec les castrats et les eunuques, désormais augmentés qui restent à l'ordre du jour au nom du désir désormais. Qui l'aurait un jour imaginé ? Probablement les uranistes le rêvèrent.

    • Concept sociologique solide et fiable ? "Sociologie performative"*
    Quel est donc ce sociologisme et psychologisme où l'on discerne qu'il faudrait trouver "normal" que des femmes procèdent délibérément à leur propre négation sexuelle, voire d'infantes sous l'égide de la décision parentale tout comme la coutume de l'exérèse féminicide du clitoris.

    Que certains exercent ce type d'action prouverait que ces théories transinistes devraient être vraies et bonnes ? Je me refuse à les nommer une seule seconde transhumaniste car pas une goutte d'humanisme dans cet océan d'amertume. Liberté de choix oblige... en mélange du genre et du sexe, on déconstruit l'organe coupable de tout- Prétendant dénaturaliser le sexe, l'on s'applique à reformer l'organe, prétendant que le sexe ne serait que question de morphologie et d'apparence sociale. Toute la tentative de prétendre occuper le féminisme par nature ambiguë (ce n'est donc rien de clair, rien de solide et voilà le féminisme pris en otage et bientôt castré si nous n'y prenons garde ; la tension de l'ambiguïté nous définirait ? C'est un sabordage en règle, nous n'avons rien à voir avec cette confusion sexuelle masculine et leurs néonormes*.

    "La nature ambiguë du genre, à la fois normatif et critique, est aujourd’hui une tension qui définit les études féministes". opus cité plus haut Eric Fassin
    La déconstruction allant toujours en sens unique, plutôt masculin ? Récemment lors de sa promotion en radio de dernier opus concernant la guerre et le deuil, la prof' de rhétorique Butler, littérature comparée et philosophie, rappelle sa ligne éditoriale du genre troublé à la confrontation au deuil des gays décimés par le sida -aux US, sous entendu par leur rejet des pères blancs, esclavagistes et colonialistes, moralistes notamment wasp, guerre des religions entre protestantisme et judaïsme ? et l'endeuillement du conflit. En américaine bon teint, elle se réfère d'avoir été élevée dans le sionisme colonialiste et y être rebelle donc contre ses pères hébraïques en plus que réformés ? Stupéfaction d'entendre que faisant toujours référence, alors que nous sommes en 2014 à la notion de "race" par dessus tout, elle considère faire partie d'une race ? Sa philosophie parait relever plus d'une culpabilité judéo chrétienne, voire compassionnelle plutôt que de quelconque féminisme. Dans ses propos, difficile de voir où sont concernées au premier chef les filles, alors que, en termes de succomber à la mort par maladie, grossesses précoces, accouchements, etc. deuils donc de soi et des autres, les femmes n'ont jamais été à la traîne, bien plus nombreuses à succomber qu'au sida. http://www.franceculture.fr/emission-la-suite-dans-les-idees-israel-palestine-pour-une-ethique-de-la-cohabitation-judith-butler-

    A noter que, par ailleurs, les mêmes partisanes du choix sont tentées de mettre en règlement et droit des coutumes antiques contre les femmes, trouble de la liberté, confusion des genres, choix confondu avec liberté -liberté de choix passant pour liberté- comme la coutume antique de servage sexuel (monté et soutenu par "pornoboskos"), venant objectivement en soutien au STRASS "autoentrepreneurial" car autogéré, dont l'idéal reste le bordel mixte en autogestion à la néo-zélandaise, ainsi qu'aux voileurs de pudicité. Ce qui montre pourtant tout le stigmate de l'impureté des filles avec complémentarité des sexes de croyances et coutumes on-nepeut-plus patriarcales (mêmes des non féministes le comprennent). Ce qui constitue renforcement et institutionnalisation de la construction sociale d'entrave en ce qui concerne les filles, tout au contraire de l'émancipation ou libération de qui que ce soit : les garçons restant totalement coincés et empêchés par la même occasion de libération sexuelle eux aussi. Ce qui entraîne une interrogation sur le caractère de rejet de cette position s'enracinant à nouveau des pires marques de sexxisme patriarcal, démontré que seules les filles d'Afrique ou d'Asie n'auraient pas accès aux droits fondamentaux non relativistes et à leur protection par l'Etat ? En plus donc philosophie raçocentrique, malgré toute la commisération qui semble y être dispensée aux cousins eux aussi "sémites" ?
    • Voyage en transgenrisme francophone -
    Au Québec, la francophonie possède son fer de lance en matière de genrisme queeristique, car y est cultivé (instillé par qui ?) la peur de perdre son identité et où le droit au choix de l'identité trans se trouve confondu avec l'identité linguistique française, semble-t-il par l'effet d'une homéopathie, empathie, sympathie, voir compassion (la religion patriarcale y fût pesante et tente de l'y redevenir) envers la souffrance d'hommes -qui se sentent des femmes (et qui en ont subi un parcours douloureux de transition hormono-chirurgicale). Frappant de voir que c'est là que se niche toute l'influence anglo-saxonne déguisé du droit à la coutume et au sentiment, de la défense du traditionalisme, qui fait la nique au principe de non atteinte à l'intégrité. Pourtant, est-il besoin de dire que la coutume, les valeurs ne doivent pas se substituer au principe, au risque de n'avoir plus le droit étatique qui protège la langue constitutionnelle. Certaines féministes le voient
    "L'identité juridique anglo-saxonne est basée sur un vice : octroyer des droits qui font fi des principes." http://quebec.huffingtonpost.ca/sylvie-bergeron/ffq-feminisme-anglosaxon_b_4674983.html
    Culturalisme américain (US comme Canada) entretenant de longue date cette substitution, trop peur de voir se diluer dans le métissage et l'universalité leurs objets d'étude ? Et de nous faire leçon, alors qu'il n'y a pas plus multiculturel que le féminisme français et la France, à voir les grandes voix qui ont fait sa notoriété et enflamme sa puissance culturelle. Il est de tout repos d'atomiser, communautariser, régionaliser pour se libérer des principes qui leur les gênent en virilité ? Ceux-là mêmes sur lesquels s'appuient la puissance publique et la res publica ou bien commun, soit dit en passant ?

    Je ne m'étendrais pas sur la notion de consentement mise à toutes les sauces -et sous tous les spots-, les moins ragoûtantes (viol féminicide, notamment incestueux, la petite fille aime son père... et même parfois son fils- la tyrannie du désir, etc.), cette vieille ritournelle nous susurre mielleusement à l'oreille, elle le veut bien, ce que femme veut, Zeus le veut... 
    • Transgenre sexuel
    En trente ans, les travestis (voir les différentes variations chez Bourcier) sont devenus des transgenres grâce à l'activisme queer et aux poussées libertariennes plus visibles de gauche, mais peut-être à ne pas négliger du côté droit non plus, se fichant totalement des victimes qu'elles sèment sur leur route- Pour la plupart nombre d'entre eux ont eu recours à diverses opérations et ingestions d'hormones / antihormones de synthèse pour améliorer l'apparence désirée, souvent à vie.

    Beaucoup de suicides et personne n'interroge la déception de constater sur pièces que le genre n'est pas le sexe, comme l'inverse, le sexe n'est pas le genre ? Aucune mutilation sexuelle n'est neutre, aucune atteinte à l'intégrité n'est exempte de conséquences sociales graves- Peut-être que les opérations désormais bien rodées depuis les premières entreprises en Prusse au XIXème donnent une excellente apparence esthétique mais qui ne sait que l'extraordinaire organe féminin ne peut se copier, à part ceux qui portent des oeillères ? http://m.slate.fr/monde/83161/suicide-trans-americains


    http://corporate2point0.wordpress.com/2010/05/10/anecdote-1-0-veridique/oeilleres/

    Dans ces voyages en sexe et genre, l'on ne peut ignorer désormais le troisième terme du genre en transit- Du grand art médical ? Au départ du temps du "transvestiten", n'étant question que de se travestir en femme pour éprouver les sensations que les femmes sont censées éprouver sous les codes vestimentaires qui leur sont assignés dans différentes sociétés, allant souvent de pair avec des croyances dans l'androgynie et l'hermaphroditisme humains natifs, originels, soit de divine nature. L'origine de l'emploi du préfixe "trans" parait issu, comme déjà évoqué en chronologie plus haut, de
    Die Transvestiten: Eine Untersuchung über den erotischen Verkleidungstrieb, mit umfangreichem kasuistischem und historischem Material. Verlag Alfred Pulvermacher, Berlin 1910, où le médecin naturopathe "évoque ces femmes soldats aux comportements héroïques".  Ses théories ne sont pas suivies par tous : "Certains comme Friedlander désapprouvaient la comparaison de Hirschfeld entre homosexuels et handicapés. Ils estimaient également que les hommes gays ne sont pas nécessairement féminins. En 1903, une scission eu lieu et certains, avec Aldof Brand, ont créé le Geminschaft der Eigenen (GdE) ou « communauté de l'unique » (à comprendre comme « communauté des gens spéciaux »)".  http://fr.wikipedia.org/wiki/Magnus_Hirschfeld
    Cette forme prit le relais de drag queen "Queen, « reine » en anglais désignant péjorativement les gays, DRAG étant l'acronyme de « Dressed as a Girl », litt. « habillé comme une fille »", travesti en femme. http://fr.wikipedia.org/wiki/Travestissement

    Crêpes flambées, une des recettes (les hommes aussi savent faire des desserts, condescendons donc à le leur concéder) - Une clique de queers intersectionnels trollent (tactique entriste facilitée par les outils informatiques) systématiquement les groupes féministes pour y imposer leur diktat hoministe-

    "Le flamebait fait partie de la panoplie des trolls professionnels pour ruiner un forum ou pour y assurer leur prise de pouvoir idéologique." fr.wikipedia.org/wiki/Flamebait
    Cela se fît, sulfites, notamment à l'occasion de la performance artistique d'Avery Edison, UK qui a mis dans un mauvais cas la police des frontières canadiennes avec son passeport de sexe féminin et ses roupettes sans rouflaquettes, en émule de Snowden qui réclame sa prison de femmes à cor (voir hallux) et à cri. Ainsi il faut désormais faire confiance à un mâle non mâle avec tous ses bijoux de famille qui a peur d'être forcé à des relations sexuelles en prison qui donne sa parole qu'il ne présente aucun danger pour des femmes ? On veut bien le croire sur parole, donc autant faire des prisons mixtes, ce sera plus fun et j'ai peine confiance en tous les messieurs du monde du moment & les litanies. Je me mélange dans les esperluettes, tout éberluette que je suis- http://www.cbc.ca/news/canada/toronto/transgender-woman-avery-edison-moved-to-women-s-jail-after-outcry-online-1.2532392
    • Au futur simple
    A - Raisons pour lesquelles il se voit bien que ceux qui prétendent défendre les personnes trans n'en ont cure et ne parlent que d'eux mêmes (idéologues, leurs associations et avocats)

    Les mêmes ne pensent pas une seule seconde à leur bien être et avenir, et se gausse des principes les plus élémentaires de Santé publique, de Droits fondamentaux universels, et restent obnubilés de stratégie politique queeristique :


    1 - qui se préoccupe des séquelles des hormones ? des contre hormones ? des ratages chirurgicaux ?

    2 - combien de suicides, une fois constaté les opérations (lourdes et multiples) ne répondant à rien et ne changent pas le sexe au fond ?


    3 - des problèmes de pharmacologie qui vont faire qu'elles ne seront pas soignées avec les médicaments adéquats (car l'adn cellulaire femelle des femmes ne réagit pas identiquement aux cellules mâles des hommes, en dépit de toute déclaration d'intention) ?


    4 - certains en guerre contre les vaccins et d'autres molécules qui ont des effets secondaires, comme toute substance pharmacologiques et autres approximations, et pas de souci sur ces longs traitements sans fin ?

     
    5 - le biopouvoir dénoncé par Foucault est passé de l'autre côté de la barrière ?

    6 - athées et agnostiques croyant aux antiques croyances de l'être humain de création hermaphrodite ou androgyne, devenus créationnistes ?


    7 - l'amen à la casse de la garantie des droits fondamentaux par les états, basée sur l'identité administrative stable du citoyen, à casser par fluctuation (psychologique) qui va dégarantir tout droit et tous programmes qui en découlent ?


    8 - ce que sera leur 3ème âge, ou lorsque ne pouvant plus prendre leurs hormones et qui les soignera alors ?

    9 - 
    "Female" après castration mais en conservant leurs gamètes mâles ? Un autre volet de taille qui ne parait pas préoccuper grand monde, "père biologique" en même temps que et "mère légale" - Quoi que désormais avec la modification dans tous les codes en terme vague de parent, la voiture est avancée.

    Afin de procréer, sont réclamées par des personnes trans l
    a conservation de sperme et la dépathologisation, autrement dit l'arrêt du statut d'Affection de Longue Durée (hors cadre) de la prise en charge par les Caisse Primaire d'Assurance Maladie des remboursements de mutilations sexuelles, hormones, antihormones, et autres traitements. http://www.agence-biomedecine.fr/IMG/pdf/pv_co_du_19_dec_13.pdf


    10. Il est parfaitement compréhensible qu'une femme simplement travestie puisse concevoir, même si se prétendant "Male", le hic serait plutôt au niveau des doses d'hormones dont on ne sait rien des conséquences sur la génétique des enfants, ainsi que les risques psychosociaux sur les mêmes. Cet aveuglement ne s'apparente-t-il pas à de la maltraitance ? Quelle soit délibérée ou pas.
    "Aux Etats-Unis, Thomas Beattie, une personne FtM n’ayant pas eu d’intervention chirurgicale stérilisante, a pu concevoir un enfant avec ses propres gamètes et mener une grossesse à terme [15]. Cette personne a eu ensuite deux autres enfants et des cas similaires ont été rapportés en Espagne, en Allemagne et en Israël." http://www.academie-medecine.fr/wp-content/uploads/2014/03/25.3.14-JOUANNET-info2.pdf
    Cependant, si le ou la travestie prend ou a pris des produits de synthèse de type perturbateurs endocriniens à dose régulière longuement pour changer son apparence pileuse, entre autres, que seront les répercussions sur les enfants ainsi que sur les générations futures ?

    Mais aussi, comment élever sainement des enfants dans l'idée que l'organe du sexe féminin est copiable, quelle sera la répercussion sur l'appréhension d'une petite fille de son propre sexe, alors que la complexité d'un vagin, d'un clitoris, de sa sensualité ainsi que de la jouissance féminine sont inégalables et incomparables avec un organe mâle démuni et réarrangé ?
    Illustration terrible des vieilles lunes religieuses de la honte du sexe, en particulier féminin !


    Quoi de neuf en maîtres mots ? Jusqu'ici, nous n'avions pas atteint le bout mais la fixette sur la paternité et les patenôtres ont atteint sa culminance, on ne peut aller plus avant. Devenir patron pour exalter sa haine du patronat ou l'extrême fordisme. Comble du conformisme, ah mimêsis quand tu nous tiens. Néoconservatisme de faire paternité à tout prix et se couler dans le moule paternel en s'accrochant de toute force au rôle de père ? Ce ne serait que sous-réalisme, contrairement aux apparences de surréalisme, de voir accoucher cette idée fixe de la paternité conçue par et pour les hommes reprise à leur compte par des femmes... Jamais innover, toujours copier. Immémorial sexisme antiféministe et désormais antilesbique, dont sans être grande clerc, l'on imagine ce que l'enfant va intégrer de négation des femmes et de la lesbianité. Nous voilà là avec fivette à l'appui en Vierge Parie tout simplement car ce ne sera pas pour cette fois la parthénogénèse -Y a contribué tout en restant vierge- L'avènement du transpatriarcat, le patriarcat est au complet et démontrant toutes ses facettes, s'il en était besoin, et va pouvoir être globalement combattu ? A noter que passant pour poète, alors qu'insultant violemment toute contradictrice sur tous les groupes fcbk dans lesquels a ses entrées, nourrisson ourson va être abreuvé au son de l'insulte ? A trop en faire et à moins d'être masochistes, le divorce lesbien est consommé. Fascination d'Anna Arnaud envers le légionnaire à l'état pur ? http://yagg.com/2014/08/29/arthur-cest-papa-par-arnaud-vauhallan/

    GBTQG - Culminer en tyrannie virile de confusion mentale - A
    u motif de devoir prouver leur gender par leurs papiers qui notent leur sexe = Beau résultat des âneries crasses du genrisme queeristique, une gosse se voit interdite de chiottes ? Le symptôme du délit de faciès contre une jeune lesbienne habillée unisexe montre la pénétration des esprits grâce à la propagande incessante "lesbiangaybitransqueer[gender]", les premières ayant été incluses pour la forme au départ, afin de se les concilier les bonnes filles ?   
    "Show your ID to pee" ! https://stoptranschauvinism.wordpress.com/2016/04/14/lesbian-teen-kicked-out-of-mcdonalds-for-using-womens-bathroom-failing-to-prove-gender/
    Avec la fascination du virilisme guerrier du sable chaud qui copient la paternité que nous venons d'évoquer, les politiques vont vraiment devoir se pencher urgemment et décisivement sur la protection de l'enfance ! La sursexualisation n'est pas pour rire. En annexe, l'on peut aussi se demander pour quelle raison en comparaison, une femme célibataire sans aucuns troubles ni obsessionnels, ni de l'identité, ni idéologique, voulant adopter ou concevoir par procréation médicalement assistée restera examinée sous toutes les coutures par les services sociaux et sera recalée ? Mais c'est simple, pourtant, ce n'est qu'une femme sans fioritures, trop seinple !? Des transes lucides et honnêtes nous alertent. http://genderapostates.com/transgender-ideology-needs-to-change-to-support-women/


     - Sais-tu d'où les bébés sont ? - Ben, sais pas comment trouver ! -... Ici, laisse-moi regarder à l'arrière de ton polo. - Taïwan.
    - Hon                                                                                                                                                                                       
    • Emeute du 28 juin 1969 - Emergence du mouvement queer autour d'un bar, Stonewall
    Le genre (sexuel) s'y entendait donc uniquement bidécliné, développant les deux genres grammaticaux, féminin et masculin, en fonctions sociales. Le genre "old fashion" que manipulait partie du féminisme, celui qui servit humblement à mettre au monde le "new genre" du go beetween. cf. tableau ci-haut extrait de Debbie Cameron and Joan Scanlon at London Feminist Network’s ‘Feminar’ in May 2010, Talking about gender, par Delilah Campbell

    Quatre décennies d'effervescence nous obligent à passer à la loupe d'étude le troisième terme de transgenre, genre sans l'être, ou être du genre, d'autant que le terme semble mine de rien appelé à regrouper les variantes connues, autant qu'à venir, transsexuel, transexuel, intersexué, transgenre. Ce générique semble mis en jeu et en place afin de parvenir à remettre en question l'identité administrative. Il est question de déclaration de sexe et non pas le genre : Immiscer, voire substituer, le genre en sexe participe d'un tour de passe-passe pour infiltrer la logique juridique.

    Pro-q- Ainsi en rebond  des années 70 du XIXème chaussant celles du XXème, la propagande queer commence à battre son plein de déconstruction de "le genre", où l'on pourrait choisir, naviguer, puis en monter un troisième, qui serait sexe, et neutre... En français, queer se traduisant "altersexuel" ou "allosexuel", comme évoqué plus haut. Ce mouvement se fonde donc sur le combat contre crainte et le rejet de la marginalité (de la marginalisation, de l'inattendu ou de l'inexplicable), comme majorité d'entre nous. http://fr.wikipedia.org/wiki/Altersexuel#Altersexualit.C3.A9

    De concomitance à la revendication de choix individuel de se soumettre à l'industrie pornographique et à l'autoproxénétisme (vente sexuelle sans intermédiaire, écarté le "pornoboscos" classique), se peut donc surnommer plus globalement pro-q, sans pouvoir déterminer qu'est-ce qui fût à l'origine de la poule ou de l'oeuf dans le courant queer de Stonewall. http://fr.wikipedia.org/wiki/F%C3%A9minisme_pro-sexe

    Des bricolages psychosociologiques aboutissent au bout de trente ans à des campagnes médiatiques de faits divers de genre ou de genre divers. L'on y peut remarquer dans l'ensemble, qu'elles visent à victimiser de pauvres hommes empêchés de vivre le genre (féminin qu'ils choisissent), au passage souvent cibler la mère, éternelle responsable des misères selon la thèse freudienne et descendances. Ces articles de journaux en chapelet donnent à voir sans complexe mais avec des photographies édulcorées et charmeuses, les actes mutilatoires et toxiques sur grandes et petites, censés prouver la pérennité de la position psychologiste, identitariste, ultralibérale désormais, des rôles sur la question. Il faudrait tout de même qu'un jour les théoriciens rendent des comptes de responsabilité sociale sur les retombées de ce qu'ils défendent. http://www.txy.fr/blog/2013/10/01/euthanasie-dun-homme-ftm-insatisfait-des-resultats-de-ses-chirurgies/

    Sans cependant évoquer plus que le BDSM (bondage, technique japonaise de sauçissonnage des prisonniers http://fr.wikipedia.org/wiki/Bondage_japonais, et sadomasochisme à la marquis de Sade, diverses érotisations de la violence) qui est une des multiples pratiques allosexuelles (français québecois) rassemblées sous la bannière du mouvement queer, que l'on pourrait surnommer "proq", étant "pro-sex" de choisir pornographie  /prostitution / autoproxénétisme et le trangenrisme très théoriquement. Le scepticisme vis à vis du genre queer se voyait pourtant, mais sans un mot des transitions qui battent déjà leur plein ? Sabine Masson et Léo Thiers-Vidal, Pour un regard féministe matérialiste sur le queer, Mouvements 2/2002, n20, p. 44-49. http//www.cairn.info/revue-mouvements-2002-2-page-44.htm

    Je rajouterais rapidement qu'à un bout de ce large mouvement des orientations figure la variante asexuelle, dont les actions de la précurseure de cette position en orientation sexuelle, Madeleine Pelletier, auteure de "La femme vierge" (autobiographie, 1933), "(...) ont été vues comme un attentat porté contre l'identité sexuelle"http://fr.wikipedia.org/wiki/Madeleine_Pelletier

    Une opération de mutilation a été condamnée sur la plainte suivante : "il n'était plus un homme sans être pour autant une femme" ! L'atteinte à l'intégrité du corps humain deviendrait-elle de plus en plus floue, afin de justifier les servitudes volontaires ? Au terme d'une action en justice et neuf ans après le suicide de Jean-Marc Oyac (opéré à 24 ans), Jean Vacant, urologue, Jean-Claude Masson, chirurgien et neuropsychiatre, condamnés à 6 et 4 mois de prison avec sursis et 20 000 FF d’amende par la Cour d’Aix en Provence en 1990 et, en 1995, le Tribunal civil de Nice condamna les trois médecins à 432 000 FF, de préjudice corporel, et 230 000 FF de préjudice personnel. http://www.liberation.fr/vous/0101131237-trois-medecins-condamnes-apres-le-suicide-d-un-transsexuel-a-nice

    C'est ne pas voir plus loin que son nez ;) que de réduire cette triste épopée à une affaire d'euthanasie ou d'opération ratée d'un homme, lorsqu'il s'agit d'une petite fille qui s'est cherchée toute sa vie et que des malhonnêtes ont d'abord entraînée vers la chirurgie, faisant croire que genre et sexe de même pourrait être changés, puis un cancérologue vers l'euthanasie ! Rayez-les de l'ordre et du barreau, qu'ils descendent de leurs échelles, tous ces coqs. http://gendertrender.wordpress.com/2013/10/02/belgian-woman-is-euthanised-for-gender-dysphoria-after-completing-treatment/

    Détransition, retransition - Désormais, si besoin était, comment ne pas voir la confirmation qui est là que naviguer en genre n'est pas changement de sexe ! Pourtant, voilà que cela repart dans l'autre sens, après la transition de genre à l'ordre du jour, la détransition ? Change de genre, qui veut ce n'est qu'affaire de mot et d'apparence, changer de sexe restant impossible. http://retransition.org/2013/09/a-transgender-detransition-video-that-i-like-despite-i-almost-totally-disagree-with-it/

    Ce n'est pas une paille, 31 % des transitions de mutilations tirent vers le suicide, bien évidemment, c'est la faute de l'entourage mais surtout pas des psychochoses, des Diafoirus, ou des labos, tous si philanthropes, bien sur ;o? http://www.lauras-playground.com/transgender_suicide_report.htm

    Ces hommes n'ont donc pas de vergogne à faire exemple et ne se sentent jamais responsables d'entraîner des vocations chez des enfants, faire joujou en majorette et puis revenir à leurs petites voitures ? http: ?//www.huffingtonpost.com/2013/08/09/transgender-nfl-cheerleader_n_3728301.html
    Camion de pompiers à friction et à échelle de marque Majorette

    Pour ce qui est des adultes, un questionnaire rempli par 381, 73,8% MtF et 25,2% FtM,
    "très nombreux (85,3 %) a être traités par des hormones. Les opérations génitales ne concernent a contrario qu’un nombre restreint de sujets : 22 % ont eu recours à la chirurgie de stérilisation et 29,4 % à la chirurgie de réasignation de sexe. Cependant, chez ceux n’ayant pas encore eu recours à ces interventions, 66,9 % des personnes interrogées disent les souhaiter à l’avenir." http://www.jim.fr/en_direct/pro_societe/e-docs/00/01/F5/5F/document_actu_pro.phtml - "vécu des complications suite à une intervention chirurgicale sur les organes génitaux. Près de la moitié (48,9%) des individus opérés dans un hôpital public français ont déclaré avoir connu de telles complications, contre seulement 17,6% et 23,7% respectivement de ceux ayant réalisé l’opération en clinique privée en France ou à l’étranger." p. 433, Alain Giami, Emmanuelle Beaubatie, Jonas Le Bail, Caractéristiques sociodémographiques, identifications de genre, parcours de transition médicopsychologiques et VIH/sida dans la population trans. Premiers résultats d’une enquête menée en France en 2010- Inserm, Centre de recherche en épidémiologie et santé des populations, U1018, Équipe Genre, santé sexuelle et reproductive, Le Kremlin‑Bicêtre, Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) de l’Institut de veille sanitaire (InVS), n° 42, 22/11/11 http://www.invs.sante.fr/Publications-et-outils/BEH-Bulletin-epidemiologique-hebdomadaire/Archives/2011/BEH-n-42-2011
    Voilà comment un mot "poussé au cul" par des phallocrates libéraux génère une véritable industrie plastique et chimique, et corollaires. 

    Déjà Sheila Jeffrey a fait les frais d'avoir osé désigner cet aspect. Au passage, réduit le féminisme à néant car si celui-ci était de ressembler à des hommes et que, dans la tête des hommes, il y a des femmes, et qu'ils sauraient mieux que nous qu'est-ce qu'être une femme est, à quoi bon lutter contre cet essentialisme déguisé ? http://www.unapaf.com/docs/Pousse%20au%20cul.pdf

    Un petit pas par résolution qui rappelle chez les enfants la nécessité de l'intégrité du corps, mais qui laisse encore la bride sur le cou car laissés sans contrôle aucun les métiers de la psychologie et de la psychanalyse qui banalisent le recours à la mutilation sexuelle et des attributs secondaires avec prise d'hormones inversives, comme auparavant Marie Bonaparte légitimait sans ciller l'excision féminicide. http://assembly.coe.int/nw/xml/XRef/X2H-Xref-ViewPDF.asp?FileID=20174&lang=fr

    Ainsi tout est combattu mais le sexxisme n'a pas l'air d'être à l'ordre du jour, pourtant les plus horribles tortures de masse sont bien les excisions féminicides et par centaines de millions ? http://www.assembly.coe.int/nw/xml/News/News-View-FR.asp?newsid=4692&lang=1&cat=133

    De plus que timide, elle comporte une définition incomplète et imprécise de l'intersexuation et ne cite pas même, comme sans les connaître, les mutilations sexuelles génitales pour raison de nouvelles et anciennes théories psychanalytiques et psychologiques naturalistes et essentialistes, qui professent que le transgenrisme serait génétique, ou que le transsexualisme serait une pathologie pédiatrique qui se soignerait par la mutilation génitale et l'empoisonnement hormonal, à voir compte rendu d'une intervention de colloque universitaire. http://www.iukb.ch/fileadmin/iukb/conf13/nketei.pdf

    En particulier auparavant concernant les bébés nés avec les deux organes de sexe (appareil génito urinaire et reproductif) plus ou moins développés, les médecins choisissaient les organes et attributs qui leur paraissaient superflus en laissant ceux leur paraissant de meilleur aloi pour la croissance et l'épanouissement. Désormais, les individus eux-mêmes vont devoir attendre la maturation de leurs organes génitaux, qui restera manifestement incomplète (et non pas neutre ou indifférenciée) pour choisir de favoriser un de leurs sexes, alors que n'en ayant qu'un ? Vont-ils toujours gagner au change, leur avis est-il unanime à ce sujet, tous ont-ils été informés et le mouvement des intersexués est-il représentatif ? Sachant que le terme pose problème et ne constate aucun progrès.

    N'ignorons pas et ne sous estimons pas la difficulté de vivre de personnes trans (je m'en tiens à la formule générique mode (voir hipster qui masque des situations sans autre commune mesure autre que le travestissement sexué pour toutes les variations existantes en la matière) et signalons tout de même que si Magnus (années 30) et John (années 500 n'avaient pas fait joujou,sous l'influence du mouvement uraniste des deux Numa (Karl-Henrich et Wilhem, et Karl-Maria - années 60 du 19ème), aucun de vos amis n'auraient souffert leur calvaire de transition opératoire, complications et séquelles, suicides de déception et dépit, comme vu plus haut- Sans compter celles non encore advenues car qui prendra en compte la souffrance de leur troisième âge ? Datation d'émergence dans http://susaufeminicides.blogspot.fr/p/androcides.html

    L'indifférenciation et le masquage du sexe biologique pose des problèmes en tout cas de santé publique - Autre problème de santé publique, de ce que jusques ici, l'on a sous estimé les spécificités de réactions pharmacologiques ou de pathologies, et que les petites filles et les femmes ont subi des dommages, on commence tout juste à en tenir compte. Si les changements d'identité se font au gré des désirs et ressentis psychologiques que se passera t il si pour bonne partie de la population, si l'on donne à savoir le contraire de ce qui est cellulairement et biologiquement ? voir item EGALIBERTE* http://susaufeminicides.blogspot.fr/2013/02/index-illustre-bal-feministe.html

    Geai givré des chênes

    Colonialisme du règne du désir - Anthropologie juridique et politique du changement légal de sexe SF/SM et de l'invention d'une case neutre SN
    L'expansionnisme magique des politiques identitaires a trouvé son autoroute. Le mot sexe n'est pas une expression, le sexe est un état et n'est pas un processus, soit-il processus d'unification, au contraire de la position d'une inventivité étonnante de juges québecois à propos de "l'expression sexe", "le sexe non seulement s'entend de l'état d'une personne mais encore comprend le processus même d'unification, de transformation que constitue le transsexualisme." A partir de jurisprudence américaine et bien que l'acception du Code civil y soit complète, comptant anatomie, génétique (immuable), métabolisme, l'on voudrait y ajouter un quatrième volet de l'ordre de la subjectivité du sentiment ; en fait, la république du Tribunal y fait la loi et non plus le collège des élues, élus, électrices et électeurs ? Afin de régler l'éventuel interrogation de la naissance hermaphrodite, il suffirait de simplement indiquer une troisième possibilité, non pas indéfinie mais double sexe, dont il serait loisible ou pas de sortir en privilégiant le sexe plus favorisé des deux. voir p. 6 et 8 d'une recension juridique militante trans/queer. http://www.usherbrooke.ca/droit/fileadmin/sites/droit/documents/RDUS/volume_41/41-1-bureau.PDF

    Le sexe, notion fondamentale qui n'est pas qu'apparences, reste un pilier majeur de l'identité administrative, qui se trouve très précisément délimité a contrario, soit défini par défaut (notion bien connue en sciences de l'information et linguistiques). Ainsi, toute personne jugeant de changer un ou, pourquoi pas, tous critères ressentis inadéquats grignote la garantie de ses droits citoyens par l'Etat (liés à son identification première d'état-civil) devenant labile et incontrôlable. L'Etat protecteur des droits nationaux (intégrant les droits internationaux dont universels) n'aura plus de moyen de s'assurer du bénéfice légal de ce que l'ensemble des caractères du droit à l'identité juridique (statique) se moulerait sur les appréciations d'apparence et de convictions intérieures uniquement, dont les arbitres ne pourraient être que des écoles psychologiques -L'une des deux corporations devenant toujours plus puissantes, barreaux compris- C'est porter loin la liberté d'expression. C'est confondre mixifier avec mixité.

    A propos d'échapper à toute détermination sociale, l'on pourrait imaginer de naître sans nom, sans prénom, et d'attendre d'être prête à le choisir, attribut social parfois très déterminant ? Un nom portant préjudice de par son apparence et son sens se modifie par la Cour de Cassation et n'a pas commune mesure avec un sexe. En modifiant à l'envi ce dernier, on le compare donc juridiquement avec le nom ou le prénom qui est uniquement attribut social. Le sexe n'étant d'aucune façon un attribut social. Il est le socle de diverses constructions sociales. L'objet même ne peut être son propre attribut. http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F1656.xhtml

    - Les pays qui permettent de s'assurer d'un sexe uniquement sur l'apparence (soit-elle modifiée par pharmacologie et chirurgie ou pas) ne pèsent pas les conséquences à long terme.

    - Quant aux Etats-Unis de tradition de liberté individuelle et de droit jurisprudentiel (donc coutumier adaptatif) croient faire une bonne affaire en tentant d'imposer ce principe relativiste et individualiste en Union Européenne et alentours de façon à saper des états nationaux (où prévalent le principe de bien commun des républiques et le droit romain -si la jurisprudence y est source de droit, elle  n'a pas force de loi-), afin de renforcer l'atlantisme, les états protecteurs devant devenir des sortes de grandes régions. Ce qui reste un retour aux sociétés traditionnelles de droit coutumier et communautaire.

    - Juridiquement, l'identité relative de volonté personnelle s'attache à saboter le système d'identité administrative étatique et met en péril le contrôle citoyen.

    - L'on sait bien toute l'importance dans leur stabilité (voire immobilisme) revêt le stéréotype du sexe et la valence différentielle déséquilibrée des sexes qui n'est aucunement remise en cause par ses changements administratifs. Modifié n'en reste pas moins sexe, puisque il est demandé aux tribunaux et, en Suède et Belgique, à la loi de permettre de modifier ou d'invalider le concept même de sexe distinct.

    'Le changement d'état civil est actuellement en France une procédure uniquement basée sur la jurisprudence, laquelle est constante depuis le fameux cas de Coccinelle dans les années 1960." http://fr.wikipedia.org/wiki/Transsexualisme
    Pseudo sauveurs et leurs scalpels, bistouris et molécules sophistiquées qui ne changent rien à leur nocivité et augmente toujours plus leur chiffre d'affaires... J'aurais aimé me servir de l'outil conceptuel féministe du genre mais il nous a été ravi, transformé en outil protéiforme comme un petit couteau suisse, et se trouve désormais trop sali de sang pas encore séché par de sagouins criminels.

    Parlons politique et surtout féminisme, où l'on se doit de faire acte et preuve de responsabilité largement, complètement, et il n'est question que de principe du début à la fin, non respecté ; défendons nous une fois pour toute l'intégrité du corps humain, quel que soit sexe et origine, et sa dépatrimonialisation totale à terme, oui ou non ? Et, au cours des siècles passées, n'avons-nous pas déjà eu quelque souci et démêlés avec la sempiternelle liberté de choisir la couleur de ses sentiments, la couleur des ses chaînes et le corollaire du consentement ?

    Bref résumé conclusif - 
    Abstract - Le terme genre (sexuel) se trouve donc en tension au plus haut dans le rapport entre deux courants, culturalisme et naturalisme, qui veulent croire à leur extrême que, ou tout est détermination culturelle (ou sociale), ou tout est de fait naturel, voire divin.En germe depuis longtemps, l'idée que rôles et fonctions masculines sont inventées sur desiderata de la gent masculine, avec pour prétexte et excuse nos caractéristiques naturelles, déplacées modernement en biologiques pour certains. Comme soupçonné et subodoré depuis longtemps, la masculinité / virilité et la féminité, toujours mis en second, représentent aussi des constructions (sociales) comme le slogan beauvoirien le voulait exprimer en 1949 s'exprimant sur le second sexe où l'on ne naît pas (mais bien sur l'on naît tout de même munies de notre sexe féminin).

    On en étudie les impacts et dans des secteurs disciplinaires, mécanisme du genre et ses conséquences. Des théories diverses y germent et pour certaines en surimpression dans les secteurs politiques, l
    'ensemble des individus amenés à remplir ces rôles et fonctions sociaux se nomme une classe, le genre s'y trouve restreint en rapports de classes (2) hiérarchiques dépendant de l'appréhension économique des classes- Une autre théorie, issue directement du droit anglo-saxon hors principes, postule que la liberté de choix constitue toute l'émancipation des filles. Des traverses diverses existant entre ces deux tendances.

    Les droits des femmes n'étant pas que sexe, sexualité et donc sexuels, et rapports entre les uns et les autres rendus politiques, une autre analyse politique émet que la libération des femmes (et des filles) ne se satisfait ni de la neutralité du genre faite passée pour égalité des sexes métamorphosées en genres, ni de la neutralisation de la nature (dite dénaturalisation du genre), ou de l'idéologie du choix et de patrimonialisation individuelle, toutes concédées par le système patriarcal toujours en vigueur et qui y trouve son compte.

    • B - Pourquoi le transgenrisme va notoirement à l'encontre des droits sociaux des femmes 
    1.Toute patrimonialisation du corps constitue une erreur féministe de se considérer en propriété privée. 
    2. Quant à mélanger le genre et le sexe administratif, cela entraîne par absence d'identité fixe, l'abandon des garantie de droits fondamentaux universels des filles. Que deux camps, évangélistes libertariens et queers libertaires, s'entendent sur le dos des femmes, cela fiche les jetons.


    - Là où il n'y a pas d'état, les femmes et les filles n'ont jamais voix au chapitre et sont malheureuses comme les pierres et n'ont pas même le recours du droit, pas garanti, puisque pas d'état :'°°(( Pour casser l'état, on oublie les fillettes et les femmes qui ont des droits non respectés ?

    .Les programmes sociaux de soutien aux femmes de ce fait ne se tourneraient plus, comme cela en est la raison d'être et l'objet, vers des filles mais confusément vers le sexe féminin, sorte de genre féminin mixte où entrent les trans qui ont obtenu le changement administratif, et peuvent ainsi exiger les aides sociales réservées jusqu'ici aux filles. http://feministcurrent.com/5033/rape-relief-v-nixon-transphobia-and-the-value-of-women-only-space-an-interview-with-lee-lakeman/
      "Pour les féministes, les effets de l’expérience sociale vécue ne sont pas négligeables, et on ne peut les transcender par un simple acte de volonté individuelle. Il faut plutôt transformer la nature de l’expérience sociale à travers l’action politique collective, afin de changer la société." - "(...) version essentialiste du trans qui affirme le caractère naturel et l’universalité intemporelle de la division entre « trans » et « cis », et utilise deux autres discours : d’une part, de la pop-neurologie (vous ne pouvez remettre en question le sexe de mon cerveau), et d’autre part, une politique identitaire au néolibéralisme exacerbé (vous ne pouvez remettre en question mon oppression, mon compte rendu de mon oppression, ou les choix individuels que je pose pour résoudre mon oppression)." Delilah Campbell, Qui possède le genre ? http://sisyphe.org/spip.php?article4423 http://www.troubleandstrife.org/new-articles/who-owns-gender/
    Mass'art avec remake du "L'habit ne fait pas le moine" rempilera-t-il en 2014 ? Le cirque médiatique n'a rien à envier aux cirques d'antan- Volontaires car cela leur donnait un statut social plus appréciable d'être hors norme- Aucune différence notable et pas un poil de progrès, amuser la galerie au détriment en fait du droit de ces personnes- La toile du net ressemble à s'y méprendre à une toile de chapiteau. Ceux qui ont peur veulent faire croire que ce sont les autres qui ont la haine, projections ? http://leplus.nouvelobs.com/contribution/945846-eurovision-conchita-wurst-candidate-au-centre-d-une-polemique-transphobe-pitoyable.html
    • Hirsutisme
    On ne fit pas tant de cas d'hommes glabres, qui ne sont pas pris en femmes. Il est vrai que d'hormones il n'est pas question mais de mycose.

    Voici quelques maladies susceptibles d'accroître chez une femme le niveau d'hormones mâles, normalement bas :

    Syndrome de Stein-Leventhal (syndrome des ovaires polykystiques) ;
    Syndrome de Cushing ;
    Tumeurs des ovaires ou des glandes surrénales (cancer) ;
    Hyperplasie congénitale des surrénale  https://fr.wikipedia.org/wiki/Hirsutisme
    Auparavant, l'ignorance scientifique comme populaire tenait lieu d'étonnement parfois horrifiée devant les femmes à barbe des foires mais notre époque devrait naviguer loin de ces superstitions sur les méfaits divins ? Rien à voir avec des hommes qui se travestissent tout en laissant leur barbe allant.

    D'autres, d'extractions plus aisée, faisaient faire leurs portraits de famille, comme Magdalena allaitant, vue En magnum naturae miraculum

    Jusepe de Ribera, La mujer barbuda (Magdalena Ventura con su marido) 
    /La femmme à barbe -Madeleine Ventura avec son époux et son fils 
    https://fr.m.wikipedia.org/wiki/La_Femme_%C3%A0_barbe_(Ribera)

    A notre époque, Clémentine Delait, Lorraine très nature et femme d'affaires avisée, aurait-elle appris à chanter pour l'Eurovision pour damer le pion à Dana ? De nombreuses photographies montrent, en tout cas, que des femmes fortes et sans complexe avaient une vie bien remplie et n'étaient pas des parias du fait de leur différence, comme voulu constamment faire croire par les doigts pointés constamment vers de prétendues intolérances. Difficile de les imiter. http://www.mylorraine.fr/article/clementine-delait-ou-la-femme-a-barbe-/3465


    http://www.mylorraine.fr/article/clementine-delait-ou-la-femme-a-barbe-/3465

    Culture de masse missique du sexify,  toujours très prompte à cristalliser les atours féminins selon les canons de WD princesse et consorts.. du bois saint très répandus depuis les produits dérivés des poupées non pas à barbe, mais simplement barbie. http://www.7sur7.be/7s7/fr/1527/People/article/detail/1414072/2012/03/26/Une-candidate-transgenre-viree-de-Miss-Univers.dhtml

    L'olympisme voit agitée la bannière queer par Valery Luxuria à Sotchi en Crimée. http://abonnes.lemonde.fr/jeux-olympiques/video/2014/02/18/le-cio-defend-l-arrestation-de-l-ex-deputee-transgenre-vladimir-luxuria_4368908_1616891.html

    • Conséquences graves - Intégrité et parité, poubelle ?
    La parité en politique fût instaurée pour rééquilibrer l'absence flagrante de femmes aux postes électifs, ceci tombera en désuétude de plus que l'identité administrative grignotée. Plus de sexe, que le phare éblouissant qui vous fait voir toutes les nuances du gris toujours au service des désirs virilistes. Il est donc bien inutile d'instaurer la parité pour se la faire ravir, tout le monde aura droit à nos droits à ce compte-là, il suffit de le dire et de clamer sa bonne foi... http://m.midi-pyrenees.france3.fr/2014/02/17/toulouse-la-candidate-transgenre-bouscule-la-parite-en-milieu-de-liste-europe-ecologie-les-verts-417145.html

    Des refuges et des abris refusés aux femmes victimes de féminicides intimes ; inimaginable, n'est-ce pas ? Eh bien pas du tout, une loi a réussi en substituant à l'égalité des sexes, "gender identity" ; plus de refuge possible : Ce sont des génies avec leur loi Toby... http://www.torontosun.com/2014/02/15/shocking-case-proves-tobys-law-is-flawed


    Traduction robotique approximative : http://translate.googleusercontent.com/translate_c?act=url&depth=1&hl=fr&ie=UTF8&prev=_t&rurl=translate.google.fr&sl=auto&tl=fr&u=http%3A%2F%2Fwww.torontosun.com%2F2014%2F02%2F15%2Fshocking-case-proves-tobys-law-is-flawed&usg=ALkJrhgObYPslyrWAhfuRSCT-oef5w9g-A

    • La souffrance génère des droits ? Ainsi, il suffit de se plaindre que souffrant (de ne pas être une femme) ou qu'étant opprimés et tant lésés en leurs oeuvres vives (comme les pères masculinistes), et l'on obtient des droits en prime ?
    Travesti pas travesti, relooké pas relooké, genre debout et rebaptisé chic de trans, à l'ancienne transvesti, ou plus Pigalle, travesti, plus intello, transexuel, ou plus psyk, transsexuel, qu'est ce qui change, hormis les apparences ? Les femmes ne sont même plus tranquilles dans leurs refuges acquis si chèrement et encore si insuffisants ? Le refuge n'a pas pu le refuser "en vertu des nouvelles lois juridiques "l'identité de genre», qui remplacent les anciens protections fondées sur le sexe pour les femmes et les filles."http://translate.google.fr/translate?sl=auto&tl=fr&js=y&prev=_t&hl=fr&ie=UTF-8&u=http%3A%2F%2Fgendertrender.wordpress.com%2Ftag%2Fvancouver-rape-relief%2F&edit-text=&act=url


    Au fait, n'oubliez pas d'aller saluer Toby à Strasbourg, il vient d'immigrer en Europe, de poser ses valises, et de bientôt s'installer définitivement. http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do;jsessionid=?cidTexte=JORFTEXT000027778791&dateTexte=&oldAction=dernierJO&categorieLien=id

    C - Totale déchiquetage des droits des enfants

    Au nom du père, du fils et du saint genre - Des enfants dont on bloque la puberté par des hormones qui risquent de plus de provoquer des pathologies graves pour les préparer à des mutilations qui parait-il les sauveraient du genre sexuel (ou sexage) . les psyk sont devenus complètement dingues de faire de telles expériences (on savait les hommes sans empathie pour les enfants ou leurs prochains mais là ça dépassent toutes les bornes) -oui, je sais c'est mignon tout plein, il y a des scouts camps, oh qu'ils sont gentils les libéraux américains et les tribunaux religieux iraniens qui convertissent au rasoir et à tour de bras tout gay, et toute lesbienne, qui passe à proximité-, ou ils sont profondément puritains et tentent de maquiller ce qu'ils trouvent efféminés ou en tendance homosexuelle ?

    Comment un enfant saurait ce qu'est être une femme juste parce qu'il aime se travestir (crossdressing) et employer des robes ou du vernis à maman ? Ou copier papa ou les frères, où les copains, comme Claude, le garçon manqué, du Club des cinq ?


    Et s'il aime les toges, on le change en romain antique ? Cette notion sociale totalement abstraite que même des adultes averties ne comprennent pas serait un truc inné chez les gosses ? 

    Condamner les gosses à perdre partie de leur sexe et ne pouvoir jamais atteindre l'autre, oui c'est rester entre deux mondes, et c'est criminel ! Sacrifier des organes et leur sexualité, juste pour prouver que des adultes auraient raison dans l'indifférenciation sexuelle. Mais enfin, regardez donc avant cela ce que signifie le mot gender et même son étymologie. Plongée dans le Rubicon.

    "Transgenderism Kills Feminism", lorsque ce sont les mecs qui le disent, ils se reconnaissent bien entre eux émoticône smilele nouveau blase de décathlon de Jenner est une insulte aux femmes émoticône smile 
    http://www.theblaze.com/contributions/calling-bruce-jenner-a-woman-is-an-insult-to-women/

    Sous un post de scoutisme qui faisait apologie des transgosses*, un contact disait, "on leur apprend depuis quand à dire que les hongres sont des juments ? !"
     
    L'on va donc rembourser la longue maladie dans un sens et après dans l'autre... ? C'est sans fin l'éternel retour, et pendant ce temps on reste sans dents et sans lunettes pendant qu'on engraisse l'industrie plastique !? C'est aussi un mec qui le dit... Conversion, détransition, qu'est-ce qui va rester au bout ? Voir tous les regrets d'un converti http://www.sexchangeregret.com/
    Siècle du sensationnalisme - Jusques aux juges y cèdent aux éclats du neutre ? Le queerisme* (ma première utilisation en 2013) avance des pions en instrumentalisant des personnes d'un sexe ou de l'autre en situation exceptionnelle de syndrome, ou d'autres encore plus rares en situation bisexuelle... Serait-ce au fond pour déconsidérer la garantie de citoyenneté de l'état-civil par l'Etat ? Ce qui nous rappelle les registres paroissiaux, pas fous les clercs, le bon moyen de contrôler toute la politique, du temps où l'église couchait avec les féodaux. Si tout le monde voulait changer fonction de son ressenti, qui restent les seigneurs ? A terme, finis les droits des femmes, spécifiquement attachés au sexe féminin ? Un sexe n'est jamais neutre, les juges ont été bien trompés par les discours idéologisés du transgenrisme. La photographie illustrant l'article par un travesti reste symptomatique du mensonge politique et nous éclaire, comme si être une femme se remarquait par le rouge à lèvres... Summum des stéréotypes sexistes renforcés par ces manoeuvres politiciennes. Renforcer le sexage, bravo la patriarchie remonte en grade- Le plaignant témoigne du corps médical qui de peur d'être attaqué n'ose plus parler de prévention, au nom des discours des créateurs du sacro-saint concept de Money, Stoller, Oakley et Bem... 

    Ce refus du dimorphisme sexuel relève d'une stratégie juridico politique initiée par Wilhem Ulrichs en Prusse, reprise par Magnus Hirschfeld, arrosait ensuite aux US par les révolutionnaires du sexe, comme Kinsey, Money, Benjamin, tous échangeant constamment, récupérée par le nihilisme actuel et les évangélistes grands ouverts à reprendre les termes de la gnose. Les Terriennes ne peuvent se laisser prendre au piège à ce fade miel. http://information.tv5monde.com/terriennes/genre-neutre-il-ou-elle-pas-besoin-de-choisir-60046

    Sont-elles de celles qui prêchent de l'exception et refusent de s'occuper sérieusement du sujet ? Ce n'est pas bien grave, c'est si rare, et que l'analyse générocritique de ce calepin inutile du fait de l'exception et rareté de la transitude (Québec) ? https://fr.wiktionary.org/wiki/transitude

    Examiner quel est le chiffre visé par le milieu qui souhaite imposer cette norme, lui-même, laisse à penser que des années de traitements remboursés pour affection de longue durée de non pathologie sexuelle et ses castrations chimiques et physiques, réagencements et séquelles font tout de même des sommes importantes ou la puissance publique doit exercer un contrôle strict, et sur sa duplicité idéologique ? 
    La population mondiale en 1940 tournait autour de 2,5 milliards. Si la proportion de 1:500 s'y appliquait, le chiffre potentiel de transexuels serait de 5 millions..." / "The world population in the 1940s was around 2.5 billion. If the 1:500 ratio applied then also, there would have been 5 million potential transsexuals, but only a small few were offered the opportunity. Even the discredited 1:10,000 ratio would give 250,0000."
    D'autres détails multiples dans ce blog transéducatif* zagria.blogspot.fr/2011/09/tg-word-and-concepts-part-4-myth-that

    Le féminisme ne se laissera plus prendre à avaler la fiction insignifiante du sexe neutre... 

    Tendre à neutraliser le sexe, que voilà un propos des plus puritains et des plus virils. Ils craignent leur propre sexe et ne savent plus comment s'en sortir ; et, pour cela après avoir mimé, envoient des filles sur la ligne de front ?



    Post-scription - Féministe, puis-je dire de naissance sans révérence ou fascination particulière pour le sexe masculin, une cinquantaine d'années passée, j'ai pris sur le nez ce concept fouillis, auquel certaines féministes faisaient part belle, en même temps qu'elles taisaient quasi-totalement celui si parlant et utile de féminicides -ce qui m'a époustouflé au premier abord,  je dois l'avouer, et je pense aujourd'hui que cela n'est pas anodin-

    Désormais, la position genriste serait tempérée par certaines donnant l'explication d'excès et abus de l'idée- Je n'avais donc jamais eu vent de ce mot auparavant, ni, au cours de mes nombreuses pérégrinations, ni pendant mes études universitaires dans plusieurs établissements, depuis le lycée en 1967,
     l'outil "sexage" me parait des plus suffisants, ne souffrant aucune confiscation et ne faisant jamais le lit du confusionnisme ambiant.

    Pourquoi aux deux sexes en froid, qu'on les prennent pour des pôles ou pas, l'on substituerait deux genres, féminité et masculinité et un éventail ? Absurde et contre indiqué pour les droits du sexe féminin. Pas de néon à l'horizon, ce n'est pas une lumière mais un post qui clignote. Même plus du féminisme, dépassé et abandonnent chacune à la communauté du père...le post féminisme cornaqué par toutes les règles virilistes, y compris religieuses...

    La générocritique* (critique du genre humain et critique du concept faussement nommé par le barbarisme genre) s'attaque à la racine du sexisme sans l'ombre d'une misandrie, au contraire de ce qu'un certain néomasculinisme tenterait de faire admettre.

    L'asexage consisterait à permettre d'en terminer avec les stéréotypes sexuels, ou plutôt les préjugés, qui jusqu'ici étaient sexistes, et non pas avec les différences sexuelles, alors que le vain combat créationniste contre les deux sexes, prétexté de progressiste de détruire la hiérarchie binaire en multipliant les sexes n'a finalement comme conséquence que l'annihilation du sexe féminin, 

    Alors qu'il existe bel et bien car même les futurs hommes, et ex-hommes* (ceux qui refusent leur sexe masculin) y passent neuf mois au chaud pour commencer.

    Le conservateur finalement bien heureux de donner un nom à ce processus social qu'il souhaite maintenir contre houles, vents et marées.

    Je serais très triste que le nombre des victimes de cette coûteuse tactique de remplacer le terme sexisme par celui de genre grandisse... Ethnologie du sexisme, et anthropologie du sexisme, études féministes ou études du sexisme suffisent bien largement pour défendre envers et contre tous les droits du sexe féminin, et je défendrai toujours cette approche féministe.

    Nous avons donc débusqué nombre d'indices et preuves, qui indiquent sans retour en arrière que la propagation de l'anglicisme "genre" effaceur des deux sexes biologiques nuit manifestement aux droits du sexe féminin, favorisant et renforçant le processus sexiste bien à l'inverse de ce que le féminisme recherche pour toutes.
    • me conclusif
    Ce qui devrait mettre la puce à l'oreille des personnes sensées et des dirigeants de nos états, législateurs et autres personnes responsables et aux responsabilités :
    "Les organes génitaux sont asexués
    mais vous avez un esprit de fille ?
    " source 

     photo de Stop Trans Chauvinism 2.0.

    Insoluble contradiction -l'incohérence est-elle soluble dans l'effervescence ?- de prétendre l'absence des genres mais d'en forger un, puis cent, ainsi que celle des sexes mais de s'attribuer l'opposé... Absurde au dernier degré, encore plus si réellement les deux sexes n'existaient pas..

    Ma conclusion en forme de question, plus écourtée et bien traduites par -
    "GENITALS ARE SEXLESS BUT YOU HAVE A GIRL BRAIN?" (Mème anonyme ) / Vos organes sont asexués mais vous avez le cerveau féminin" ?"
    Christine Gamita, Ph. D., doctorat ethnologie, anthropologie culturelle et sociale des mondes contemporains, spécialisation en rituels pyrobates - ex-ingé Etudes informatiques, spécialisée en en management de la qualité des services, systèmes informatiques et systèmes d'information

    Perrette tricyclée - Laitière - Anonyme
    http://raymichemin.canalblog.com/archives/2009/09/26/15208280.html

    Notes de bas de fin
    ___________en cours de réagencement

    [1] 1200 - cf. étymologie du genre http://www.cnrtl.fr/etymologie/genre
    [...] 1943 - Perelandra de Clive Staples Lewis ""Both the bodies [of the Oyarsas] were naked, and both were free from any sexual characteristics, either primary or secondary. That, one would have expected. But whence came this curious difference between them? He found that he could point to no single feature wherein the difference resided, yet it was impossible to ignore. One could try — Ransom has tried a hundred times — to put it into words. He has said that Malacandra [the archon of Mars] was like rhythm and Perelandra [the archon of Venus] like melody. He has said that Malacandra affected him like a quantitative, Perelandra like an accentual, metre. He thinks that the first held in his hand something like a spear, but the hands of the other were open, with the palms towards him. But I don’t know that any of these attempts helped me much. At all events what Ransom saw at that moment was the real meaning of gender. Everyone must sometimes have wondered why in nearly all tongues certain inanimate objects are masculine and others feminine. What is masculine about a mountain or feminine about certain trees? Ransom has cured me of believing that this is a purely morphological phenomenon, depending on the form of the word. Still less is gender an imaginative extension of sex. Our ancestors did not make mountains masculine because they projected male characteristics into them. The real process is the reverse. Gender is a reality, and a more fundamental reality than sex. Sex is, in fact, merely the adaptation to organic life of a fundamental polarity which divides all created beings. Female sex is simply one of the things that have feminine gender; there are many others, and Masculine and Feminine meet us on planes of reality where male and female would be simply meaningless. Masculine is not attenuated male, nor feminine attenuated female. On the contrary, the male and female of organic creatures are rather faint and blurred reflections of masculine and feminine [emphasis mine]. Their reproductive functions, their differences in strength and size, partly exhibit, but partly also confuse and misrepresent, the real polarity… he of Malacandra was masculine (not male); she of Perelandra was feminine (not female)."
    1965, USA: The word 'transgenderism' is first used in a medical text by Dr John F. Oliven, where he uses it is to mean transsexualism.* It is given quite a different meaning and popularized by Virginia Prince (1913-2009) in the 1970s. Prince claims to have invented the word herself, and uses it to define people who live full time in their chosen gender, without necessarily having had, or even wanting to have, gender confirming surgery. The difference in meaning between Oliven's and Prince's use of this word creates discontent and divisions in some sections of the trans community to this day." * Oliven JF, Sexual hygiene and pathology: a manual for the physician and the professions, Philadelphia: Lippincott, 1965, p. 514
    • Crédit photo et illustrations
    [Ill. 1] Représentation tridimensionnelle de l'ADN (Acide DésoxyriboNucléique)
    A savoir, découverte réalisée grâce au premier cliché X, 1951, Rosalind Franklin, biologiste. http://www.franceculture.fr/emission-la-marche-des-sciences-rosalind-franklin-depossedee-de-l-adn-2013-01-03
    • Calepins fondamentaux de l'ethnoblog
    - Evaluations chiffrées des féminicides http://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/01/combien.html
    - Proposition politique http://susaufeminicides.blogspot.fr/2013/08/salon-de-demoiselles.html
    - B - Androcides http://susaufeminicides.blogspot.fr/p/androcides.html
    - Proportion mondiale http://susaufeminicides.blogspot.fr/p/cest-de-la-carte-tentative-darticle.html

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